Le journal Le Monde apporte ce samedi de nouvelles révélations sur le contenu des écoutes ayant conduit à la garde à vue et mise en examen de Nicolas Sarkozy pour corruption active, trafic d’influence actif et recel de violation du secret professionnel.
Pourquoi Nicolas Sarkozy a-t-il été mis en garde à vue par les juges Patricia Simon et Claire Thépaut ? Pourquoi, surtout, les chefs de la mise en examen qui a suivi ont-ils été si violents à l’égard de l’ancien chef de l’Etat : corruption active, trafic d’influence actif et recel de violation du secret professionnel, au point que beaucoup se demandent si les juges ont été trop loin ? Le journal Le Monde croit le savoir, qui publie ce samedi de nouvelles « révélations » sur l’affaire, fondées sur une lecture des fameuses écoutes du ou des portables de l’ex-président.
Le quotidien « a pu prendre connaissance des nombreux éléments matériels – écoutes téléphoniques, perquisitions – nourrissant la procédure à l’encontre de Nicolas Sarkozy, de son avocat, Thierry Herzog, et du premier avocat général près la Cour de cassation, Gilbert Azibert », assure ce samedi un article signé Gérard Davet et Fabrice Lhomme.