Alors que tous les hommes qui ont conservé un minimum d’esprit logique sont convaincus que Notre-Dame n’a pas failli disparaître à cause d’un malencontreux mégot d’ouvrier négligent, la presse mainstream n’ose pas prononcer le mot interdit, le mot tabou, le mot dangereux : attentat.
Car ce mot ouvre sur un abîme de questions, et de réponses encore plus affolantes.
Qui a incendié Notre-Dame ?
Réécouter l’émission d’ERFM avec Alain Soral sur le sujet :
L’enquête sur l’origine de l’incendie de Notre-Dame de Paris aurait du plomb dans l’aile. Pendant que le chantier de restauration de la cathédrale avance à cadence soutenue, la procédure judiciaire censée déterminer les causes de la catastrophe pourrait faire l’objet à l’automne d’une ordonnance de non-lieu, a appris cette semaine Le Canard enchaîné.
Faute d’éléments, aucun responsable de l’incendie ne pourrait être identifié avec certitude et encore moins mis en examen, laisse entendre une source de l’hebdomadaire. « Le dossier va être classé car il nous est impossible de savoir si c’est la piste du mégot ou celle du court-circuit électrique qui est la bonne », a déclaré un magistrat du parquet cité par Le Canard. En ajoutant : « S’il y avait eu des victimes, la situation serait différente ».
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Épineuse enquête
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Malgré des retards à répétition provoqués par la sécurisation du site et la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19, plus d’une centaine de témoins ont été entendus et l’origine de l’incendie a pu être identifiée avec précision grâce au concours d’experts.
Retrouver les causes précises du sinistre, en revanche, s’est révélé autrement plus ardu. La piste criminelle écartée, une poignée d’hypothèses sur l’origine accidentelle de l’incendie a retenu l’attention des enquêteurs. Sont privilégiées la piste d’une cigarette jetée par un ouvrier – des mégots ont été retrouvés dans une zone critique où il était interdit de fumer –, et celle d’un court-circuit lié à l’installation en 2007 de cloches électrifiées dont les câbles filaient dans les combles de l’édifice.
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