Alain Soral et ERTV n’ont pas eu besoin d’être accusés de « viol » pour se voir privés de revenus publicitaires par YouTube, avant d’être carrément radiés des GAFA ! L’insoumission idéologique était déjà de trop à l’époque pour la plate-forme détenue par Google et dirigée par Susan Wojcicki (ex-belle sœur de Sergey Brin, co-fondateur et co-propriétaire de Google... Une affaire de famille, quoi !).
Le totalitarisme de la bien-pensance poursuivant son avancée en France, rien de surprenant à ce qu’une des vedettes et marionnettes françaises du YouTube Game ne perde ses petits privilèges en fonction du vent du moment.
Norman, le youtubeur blanc, trentenaire et hétéro, n’y échappe pas et se voit donc gentiment lâché par la maison-mère uniquement sur la base d’accusations sans fondements autres (a priori) que l’air du temps.
À revoir : « Opération #balancetonporc ! »
Extrait de Soral a (presque toujours) raison #4 (mars 2018)
Extrait de Soral a (presque toujours) raison #4 (mars 2018)
Les vidéos du Youtubeur ne peuvent plus accueillir de publicité.
Une décision prise « pour une durée indéterminée ». YouTube a annoncé dimanche avoir retiré toute publicité sur la chaîne de Norman Thavaud, pionnier français de la plateforme, accusé de viol. Elle le prive ainsi des publicités générant des revenus, associées à ses vidéos suivies par 12 millions d’abonnés. Cette décision fait suite à celle prise lundi par le groupe Webedia (AlloCiné, PurePeople…) de suspendre toute collaboration avec le trentenaire.
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Devenu célèbre à coups de vidéos humoristiques, Norman Thavaud, 35 ans, aux 2,7 milliards de vues sur YouTube, est accusé de viol dont certains sur mineures. Placé en garde à vue lundi pour « viol » et « corruption de mineurs », il a été libéré le lendemain sans poursuites à ce stade, après les plaintes de six jeunes femmes.