Au bout de quelques pas, on pénètre dans un bar rustique mais convivial. Là, une dizaine de personnes bavardent. L’atmosphère est chill et détendue. Les participants à cette soirée clandestine, en grande majorité des quadras et des quinquas, dont deux couples, n’en sont pas à leur coup d’essai. Ils sont amis ou clients fidèles des lieux. Personne ne porte de masque et les coupes de champagne et de vin coulent à flots au milieu des volutes de fumée de cigarette. […]
En amuse-bouche : bouillon de bœuf aux fines herbes, suivi d’un foie gras aux figues et au poivre de Kampot. En plat de résistance : mijoté de bœuf aux carottes et purée. Un moelleux au chocolat pour le dessert. Le tout accompagné d’excellents crus genevois. Le repas est animé. […]
Je profite de cette ambiance plus intime pour parler argent. À combien se monte la participation à ces soirées clandestines ? « Il n’y a pas de prix fixe. Les coûts varient entre 150 et 200 francs par personne », répond le restaurateur. A-t-il conscience des risques encourus en cas de contrôle ? « Oui, mais je n’ai pas vraiment le choix. Malheureusement, j’ai dû emprunter plus de 70 000 francs pour payer mes frais, mon personnel et me sortir un petit salaire. Sans activité ni aide, je suis bon pour l’Hospice général. » (Genève Home Informations)
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« Le hérisson, ça se mange. Il y a deux races : le nez de chien et le nez de cochon. C’est le nez de cochon qu’on mange ». Gérard Depardieu. pic.twitter.com/TbgmR8YwcJ
— H Jean Edern (@JeanEdernH) February 27, 2021
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Comme n’importe quelle jeune femme, Laura Genbauffe se promène dans les rues de Liège (Belgique). Mais en réalité, la jeune femme est policière et va servir d’appât pour verbaliser les harceleurs de rue. Derrière elle, trois collègues en civil se tiennent à bonne distance. Sur la place principale, des jeunes l’abordent et commentent son physique. Les policiers interviennent, l’homme tente de minimiser l’infraction et très vite, le ton monte.
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Paul Sanfourche a rencontré Loana plusieurs fois à partir de 2018. Il explique dans son ouvrage, comment la jeune femme a été adulée avant d’être humiliée et abandonnée. Nos confrères de Femme Actuelle qui ont pu lire cet ouvrage avant l’heure révèlent que dans la troisième partie intitulée « Pour en finir avec Cosette », Loana revient sur la pire période de sa vie : celle où elle a rencontré son compagnon Raph, jaloux, violent, capable de l’enfermer chez elle elle et de partir avec les clés de son appartement durant plusieurs heures.
Raph aurait ainsi initié Loana à la drogue… au point de lui faire perdre pied. En 2007, la jolie blonde devient accro à la cocaïne : « Dès 10 heures du matin, je prenais deux traits. C’était devenu ma nourriture principale" explique-t-elle avant de préciser qu’elle a "de très gros trous de mémoire à cause de cette prise de drogue massive. » (Public)
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Florence Porcel a envisagé de déposer plainte pour viol en 2009 mais a renoncé par crainte de ne pas être crue au regard du statut de PPDA. Elle a conservé des messages dans lesquelles elle raconte à des amies du milieu avoir été « forcée » par le journaliste. (Le Parisien)
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« Elle a commencé à maigrir. Quand elle est revenue elle était très bien. On lui a dit qu’il fallait qu’elle s’arrête mais c’était déjà trop tard. Elle était prise dans l’engrenage », avait témoigné sa mère Véronique dans le documentaire Un jour, un destin. Malgré la mobilisation de ses proches, sont état ne s’était pas amélioré. À tel point qu’elle était descendue jusqu’à 27 kilos. Rongée par son mal-être, Solenn avait été hospitalisée à plusieurs reprises jusqu’à ce fameux jour de janvier 1995, où elle a commis l’irréparable.
Alors qu’elle devait partir en week-end avec son père Patrick Poivre d’Arvor, la jeune femme était introuvable. C’est en rentrant de classe que sa sœur aurait découvert une lettre qui lui était adressée, avant que l’ancien présentateur du 20h de TF1 ne découvre la sienne. Un drame dont ce dernier ne s’est jamais tout à fait remis... (Voici)
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L’oppression de longue date et les barrières historiques ont empêché de nombreuses personnes de couleur de se sentir à l’aise dans la nature américaine. Aujourd’hui, la situation pourrait changer. Des groupes de Californie du Sud et du reste du pays se sont donnés pour objectif de faire découvrir la nature aux personnes de couleur de manière positive. Leur mission est de retirer les barrières et d’aider les gens à vivre la connexion, qu’ils recherchent la forme physique, la guérison, l’accomplissement personnel ou la connaissance de tout ce que la nature a à offrir. Pour beaucoup, la première étape consiste à partir en randonnée. Voici des groupes qui œuvrent pour une plus grande diversité dans les activités de plein air. (LA Times, traduit par FDS)
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L'extrait choc de l'interview de #MeghanAndHarry à #OprahMeghanHarry. "Des membres de la famille royale s'inquiétaient de la couleur de peau de Archie". L'actrice (métisse) sous entend une attitude raciste du palais. Rupture totale, guerre de communication, tout y est. pic.twitter.com/qY7SpoCFHQ
— Agnès Vahramian (@AgnesVahramian) March 9, 2021
Visiblement très remonté, Thomas Markle n’a pas hésité à s’en prendre violemment à son gendre, en remettant sur la table de vieilles polémiques. « On fait tous des erreurs. Mais moi, je n’ai jamais joué au billard complètent nu et je ne me suis jamais déguisé en Hitler », a-t-il lâché. (programme-television.org)
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En France, les services de la criminalité financière de la police judiciaire s’activent en coulisses. Usurpation d’identité, piratage informatique et manipulation mentale, l’escroquerie aux faux ordres de virement (FOVI) a signé un retour en force en 2020. Le préjudice pour les entreprises et les collectivités s’est élevé à 114 millions d’euros l’an passé, contre 89 millions en 2019, selon les données de la police judiciaire. Dernière victime en date : des escrocs sont parvenus à détourner 14,7 millions d’euros à la société d’expertise-comptable marnaise CDER début 2021. Pendant une vingtaine de jours, des cybercriminels, entrés dans l’ordinateur personnel du président du groupe, ont envoyé des mails à la comptable en télétravail pour effectuer des virements à l’étranger. […]
En France, les mafias du crime financier franco-israélienne sont bien souvent à la manœuvre. […] Désormais, les services de l’État s’inquiètent des évolutions que pourraient prendre ces arnaques. L’intelligence artificielle intéresse les réseaux criminels, qui y voient une façon de crédibiliser leurs arnaques. « Les deepvoices ne sévissent pas encore dans l’Hexagone, mais cela ne saurait tarder. L’étape suivante pourrait être l’usurpation d’identité à travers un système de deepfake », conclut Thomas de Ricolfis. (Le Figaro)
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Emmanuel Kessler, déjà choisi en 2015 et reconduit en 2018, sera candidat à un 3ème mandat [à la présidence de la chaîne Public Sénat, NDLR]. Il sera opposé à Christophe Baldelli, ancien conseiller presse de Nicolas Sarkozy, DG de France 2 de 2002 à 2005, ancien président de RTL radio et mis sur la touche en mai 2019 par Olivier de Tavernost. En 2020 il avait été candidat non retenu à la présidence de France Télévisions. Le troisième candidat sera Damien Fleurot, BFMTV de 2005 à 2018 puis au service politique de CNews.
Les candidats seront auditionnés le 23 mars, puis le président du Sénat Gérard Larcher proposera (en fait désignera) un nom au Bureau du Sénat. (L’OJIM)
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Ce soir à 19h dans #Clhebdo !
Reconfinement : Macron a-t-il perdu son pari ? @NathalieStCricq & @FredericSays
Des néonazis dans l’armée française - @MatthieuSuc de @Mediapart
La philosophie de l’actualité - @AdeleVanReeth
Syrie : 10 après - @rpitti57 & @pierrehaski pic.twitter.com/qjB6z4gMn2— C l’hebdo (@clhebdo5) March 20, 2021
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« Je ne suis pas là pour passer vos humeurs, trouvez-vous quelqu’un d’autre ! » : voici ce que le Président a répondu à une citoyenne lui disant : « il n'y a plus de travail ». C'était le 1er mars à Paris, et c'est passé totalement inaperçu. Nouvelle preuve du mépris de #Macron. pic.twitter.com/Z79Mt1Cmjv
— L'insoumission (@L_insoumission) March 5, 2021
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Je ne sais pas si je suis arrivée quelque part, cette formulation ne me convient pas. Je préfère vous répondre : si je n’avais pas pris ce chemin-là, j’aurais été une extrémiste, une asociale, j’aurais fini en prison. J’étais très politisée étant jeune, attirée par les Brigades rouges italiennes et par tous ceux qui menaient des combats au péril de leur vie. Je croyais à la violence pour changer la société. L’égoïsme m’a sauvée. Très tôt, j’ai su que je voulais être actrice, j’étais animée par la conviction que ce qui est beau doit se partager, que ce qu’on lit tout bas doit être dit tout haut. Cela m’a ramenée à moi, j’ai abandonné l’idée de me jeter dans de grandes causes, avec une forme de honte d’ailleurs car je m’étais choisie. […]
Être mère m’a empêchée de m’enfoncer. Ça m’a sauvée et ça m’a permis d’arriver où j’en suis quels que soient les épreuves, les chagrins, les échecs. D’avoir été très malheureuse m’a rendue meilleure, c’est comme si je me délestais de ma colère. Les plus grands naufrages de ma vie ont été les gens que j’ai perdus, mais j’ai compris que ce n’était pas pour cela que je n’aimerais plus la vie. C’est difficile à tuer la vie. […]
J’aime les excès, les gens peu fréquentables, je n’aime pas les bien-pensants. Je ne cherche pas à provoquer, mais je ne veux pas qu’on me dise ce que je dois dire, penser, je ne veux pas rentrer dans le rang. Je respecte les êtres humains dans leurs contradictions. Je crois en la rédemption, on a tous le droit de faire des erreurs, on a le droit de dire des bêtises aussi. (Fanny Ardant, Le Monde)
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À travers ses sketchs, Ngijol pointe du doigt la schizophrénie d’une société qui accepte certains travers ordinaires mais condamne la première sortie de route. « Une maladresse et tu es raciste, homophobe, grossophobe… On a droit à l’erreur ! On ne change pas toute une société en deux ans. Au fin fond de la France, tu crois qu’ils comprennent #MeToo ? Bah non ! Et ce n’est pas grave. Il ne faut pas leur en vouloir de vivre dans une autre réalité et d’être d’une autre génération. »
Jamais contente, la France ? « C’est devenu une bagarre de saloon générale. Les gens voient le mal partout. Va creuser un puits en Afrique, on dira qu’il n’y a pas assez de femmes dans l’équipe. » (Paris Match)
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L’idée vient de Bertrand Uzeel. Ce dernier prépare son one-man show et demande alors des conseils à Énora Malagré : « Le one-man ça va t’amener à la téloche ». Très vite, la quadragénaire arrive au but. « Tu vas faire comme moi. Moi, j’ai commencé les cours Simon et après, je ne me suis pas emmerdée. Clac ! Hanouna ! Du petit slip doré ! De la tarte à la crème dans la gueule ! Ça fait pas de la jolie carrière ça ? ». Souhaitant aller jusqu’au bout de sa propre moquerie, Énora Malagré en fait toujours plus. « Qu’est-ce que tu te fais chier à vouloir donner la réplique à Dussollier ou être seul sur scène ? Quand tu peux te retrouver comme ça avec un string dans le c** ? Tu vois ? Une petite plume dans la rénette, et youpi tralala, tout ça pour 20 000 balles par mois ! Mais tu ne te rends pas compte ? ».
Si Bertrand Uzeel a finalement été pris à son propre jeu et se retrouve totalement bouche bée face aux propos de la chroniqueuse de C8, cette dernière n’a pas dit son dernier mot. « Après, si vraiment ça cartonne en téloche, tu te fais du placement de produit. Et là : “influenceuse” ! Moi, en ce moment, tu vois, je vends du slip pour les fuites urinaires. Alors d’accord, je me pisse dessus… Mais je prends 40 000 ! »… Voilà qui résume parfaitement les carrières d’aujourd’hui apparemment ! (Public)