C’est beau, une nation qui fête Noël ! Fête de l’amour, de la générosité, on pense aux pauvres, à ceux qui n’ont rien, toute cette fraternité, ça fait plaisir à voir.
Le Parisien du 28 décembre 2022 écrit :
Chasse au trésor en Israël : une plage d’Ashkelon était jonchée ce mardi de milliers de produits de grande distribution, des tétines aux emballages, en passant par… un frigo, sorti des eaux par plusieurs hommes. Et pour cause, plus tôt dans la journée, neuf conteneurs issus d’un cargo sont tombés en mer ; six d’entre eux se sont échoués sur la côte.
Les Israéliens s’en sont donné à cœur joie pour les récupérer, empoignant des sacs remplis. Intéressés par le butin que ces conteneurs comportaient, des voleurs ont même tenté d’éventrer ceux qui étaient restés fermés.
Une bien belle image de ce pays !
Le comportement de ces gens pose question : sont-ils vraiment riches ? Fait-il bon vivre dans ce pays volé aux Palestiniens ? Où en est le coût de la vie ? Visiblement, il y a quelque chose de pas net derrière la promesse de la Terre promise. Pour certains, cette dernière se situe un peu ailleurs, comme le Portugal...
L’aliyah à l’envers, ça existe, ça concerne même un tiers des partants français, mais c’est caché, pour des raisons d’image, justement. Car la vie dans les territoires volés aux Palestiniens n’est pas facile. Au-delà de la résistance palestinienne et de l’image déplorable du pays dans le monde, il faut avoir un bon job, de l’argent, c’est comme rester à Paris pour les Français de la classe moyenne : seuls les plus aisés et leurs servants sont autorisés à y rester, loyers délirants obligent. En plus il faut se fader l’impôt foncier de la bande à Hidalgo, qui rackette tout ce qu’elle peut, rapport à sa gestion désastreuse. Sans oublier la LGBTisation de la ville, la hausse des violences due au quart-monde constitué par les migrants qui vivent sur le dos de la bête. Cette brésilianisation ne donne pas envie, la vie devient meilleure en province (on saute la banlieue).
Cette petite famille de la classe moyenne juive est donc obligée de partir dans un pays matériellement plus accueillant. On espère pour Netanyahou que la balance des entrées va compenser celle des sorties, car la démographie, c’est le grand problème de ce pays dont la création en 1947 a mené à bien des guerres avec les pays arabes.
Le Portugal offre des avantages fiscaux à ses nouveaux résidents, qu’ils soient européens ou pas. Le magnat des médias Patrick Drahi est devenu lui aussi citoyen portugais, entre autres. Pour ce faire, en 2016, il a dû démontrer qu’il descendait de trois familles juives portugaises, qui ont été expulsées, sur le modèle espagnol. Il y a eu un petit pépin avec cette naturalisation, selon ledesk.ma :
En effet, des petits malins trafiquent leurs origines pour obtenir une nationalité qui rapporte, en termes fiscaux.