Un par un, les poignards s’enfoncent dans le ventre de la gauche immigrationniste. La Badinter a lancé la fatwa et sonné l’hallali. Tout le monde peut donc se lâcher sur cette gauche à l’humanisme bêlant qui a été sanctuarisée pendant 35 ans.
Aujourd’hui, c’est le moment du lynchage, que les raisons soient justes ou pas. Il faut s’attendre, avec la pression nationale-sioniste, à ce que les actes islamophobes soient encouragés. Le pouvoir profond pousse le peuple français, profondément frustré de ne pas avoir pu protéger son pays et sa culture de l’immigration massive, à lyncher les immigrés, qu’ils soient de nationalité française ou pas. Pour l’instant, c’est la gauche qui a protégé et exploité électoralement les immigrés qui morfle.
Dans des magazines comme L’Express, qui charrient certes depuis le départ la bien-pensance politico-médiatique au profit de l’oligarchie, des choses délirantes peuvent être lues à propos de la lutte anti-islamiste, qui englobe tout et n’importe quoi. Il y a bien sûr les idiots utiles de l’immigration de masse, mais quelque chose de plus dangereux est visé par le national-sionisme (NS) actuellement : la fin de l’unité de la nation.
- Être philosophe et dire ça...
- Dans le même numéro de L’Express...
Nous en ferons état dans un prochain papier. Nous sommes bien dans un reset, mais pas seulement économique, c’est aussi un reset politique, confessionnel, ethnique. Ceux qui se parent des atours de la République sont en train de la faire voler en éclats. Il n’y aura bientôt plus que deux camps : les sionistes, et les terroristes. Étonnant, quand on sait comment le sionisme a commencé...
Proclamer Jérusalem capitale d'Israël, classer le Hezbollah terroriste, revoir notre diplomatie : Manuel Valls, connu pour sa proximité avec l'Etat hébreu, se fait désormais ouvertement et sans complexe le porte-parole d'Israël. https://t.co/0iF6P0hVsO
— Georges Malbrunot (@Malbrunot) October 27, 2020
À la fin de l’article du Parisien, on comprend que les Français, incapables de réagir à l’injonction sioniste pro-immigration pendant 35 ans, sont encouragés aujourd’hui à se lâcher contre les immigrés. Or, il fallait s’opposer à l’immigration de masse dans les années 80, comme Le Pen l’a fait, et ne pas attendre les ordres du pouvoir profond pour se venger, la plupart du temps sur des innocents (on met de côté les politiciens de la gauche socialiste complices du déséquilibre démographique et culturel français).
Ceux qui se prêtent à cette ingénierie raciste finiront eux aussi sacrifiés par les maîtres du jeu, qui sont eux les vrais racistes : ils n’aiment pas plus la France et les Français que ses immigrés !
Sur la page Facebook d’une conseillère municipale LR, des commentaires accusent la gauche, et plus particulièrement une adjointe au maire et conseillère départementale Front de gauche, de complicité du terrorisme. Elles ont toutes deux porté plainte pour diffamation.
C’est l’un des principaux débats qu’a fait émerger l’assassinat de Samuel Paty : comment réguler le flot de propos haineux sur les réseaux sociaux ? Dans une moindre mesure, la polémique née ce week-end sur les réseaux sociaux entre deux élues de Fontenay-sous-Bois prouve que la question est loin d’être anodine. Il aura suffi de quelques commentaires en ligne pour que les protagonistes portent l’histoire au commissariat.
Tout a commencé par… un hommage à Samuel Paty. Le 19 octobre, le groupe LR fait voter un vœu au conseil départemental relatif à l’attentat : il appelle le gouvernement à « prendre toutes les mesures nécessaires pour empêcher les thèses, discours et actes des islamistes radicaux de prospérer ».
Le lendemain, sur sa page Facebook, la conseillère municipale (LR) de Fontenay-sous-Bois, Brigitte Chambre-Martin, reproche publiquement aux élus « de la majorité socialo-communiste, à laquelle appartiennent Sokona Niakhaté et Gilles Saint-Gal (NDLR : les deux élus — Front de gauche et PCF — du canton de Fontenay) », d’avoir refusé de prendre part au vote. « Tous unis ? » interroge-t-elle. S’ensuit une série de commentaires insultants, visant d’abord le Front de gauche et la France Insoumise, accusés de « collabos ».
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Rapidement, des proches de Brigitte Chambre-Martin chargent l’élue [Sokona Niakhaté, NDLR], en lui faisant porter la responsabilité de l’acte terroriste visant le professeur. Certains messages ont été supprimés depuis, mais d’autres sont toujours visibles, malgré les signalements de l’adjointe auprès de Facebook. Elle a porté plainte samedi pour diffamation.
« Ce qui m’a fait mal, c’est qu’une élue comme moi, porteuse des valeurs de la République, soit associée à ces actes barbares. Je l’ai avertie (NDLR : Brigitte Chambre-Martin) de ne pas aller sur le terrain de la polémique, mais elle a surenchéri en me demandant si j’étais d’accord avec l’hommage rendu par le Président de la République. Derrière, on nous traite de collabo. Finalement, c’est la même façon de faire que pour Samuel Paty ».
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Face à l’ampleur de la polémique, Sokona Niakhaté a l’intention de faire une demande de protection fonctionnelle, par « peur que les gens règlent cette histoire à leur façon ». Brigitte Chambre-Martin, elle, joue désormais la discrétion. « Devant cette situation, j’ai décidé de prendre du recul en attendant que la justice fasse son chemin », écrit-elle, toujours sur Facebook.
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