Le maire sortant, Pierre Cohen, était connu pour ses liaisons avec l’extrême-gauche. Il a créé en février 2012 l’Espace des diversités et de la laïcité, un espace hébergeant les associations communautaires LGBT et les antiracistes comme la Ligue des droits de l’homme. Les riverains de la rue d’Aubuisson ont désormais l’immense privilège de voir le drapeau arc-en-ciel tous les jours.
Toujours en 2012, à l’occasion de la journée nationale des langues régionales, le maire sortant avait fait cette célèbre déclaration :
« Tout ce qui est nationaliste, Front national ou autre, je considère que réduire leur présence voire l’éradiquer, c’est important. Il y a deux moyens : par la loi et le rapport de force physique. »
Il faut voir dans cette déclaration une main tendue vers le parti occitan, qui au premier tour des municipales 2008 avait préféré la liste socialiste dissidente à la liste de Pierre Cohen [1].
Contrairement à ce que son patronyme laisse penser, Pierre Cohen n’est pas l’homme des réseaux sionistes. Il rappelle d’ailleurs régulièrement qu’il n’est pas juif malgré son nom. Ses déclarations pro-palestiniennes, puis la mise en place en 2009 de la coopération entre Toulouse et Ramallah [2], le positionneront dans le viseur des réseaux sionistes. L’ancien maire de Toulouse tentera même d’éviter Benjamin Netanyahou de passage à Toulouse pour rendre hommage aux victimes de Mohamed Merah.
À partir de cet épisode, Pierre Cohen sera définitivement tricard chez les sionistes. Certains médias, comme dreuz.info [3], se demanderont même ce que faisait Marc Szutlman, ancien président du CRIF, sur la liste de Pierre Cohen au premier tour des municipales 2014. Les relations tendues de la mairie avec le CRIF expliquent très certainement la tenue sans encombre du spectacle de Dieudonné à Toulouse le 22 février 2014.
[...] L’autre réseau d’influence présent autour de la liste socialiste est la franc-maçonnerie, par l’intermédiaire de Jean-Jacques Rouch. En effet celui-ci est présent sur la liste PS à titre de membre de la société civile, mais il est également membre d’une autre société, beaucoup plus secrète : le Grand Orient de France.
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