Quels intérêts supérieurs représente cet homme, qui n’a pas l’air en bonne santé et qui donne le la en matière de santé à toute la France, alors qu’on ne lui a rien demandé et que son autorité est contestée par de brillants professeurs ?
Ce producteur de psychose, alors que l’augmentation des cas dits positifs n’est due qu’à la hausse du nombre de Français testés (qui se font tester par peur d’être infectés... par une propagande massive, unilatérale et ininterrompue), est capable, alors que le nombre de morts de cette grippe étrange s’est quasiment tari, de sortir ça :
« Et très clairement, l’enjeu de cette rentrée c’est, une fois de plus, comment s’inscrire dans la durée avec ce virus et comment vivre avec ce virus ? »
On sent que Delfraissy, qui fait partie de la grande chaîne humaniste Lévy-Buzyn-Salomon-Hirsch-Cymes-Lacombe, a besoin de faire vivre ce virus le plus longtemps possible. Pourquoi ? Pour qui ? Certains avancent qu’il y a un avantage politique pour le pouvoir (en perte de vitesse) à terroriser les Français, d’autres qu’il y a un avantage économique pour les grands labos et la médecine allopathique (en perte de vitesse), et enfin pour d’autres il s’agit tout simplement d’un avantage politico-économique pour le combo gouvernement-labos.
Sinon, les mots de cet homme visiblement en très mauvaise santé et qui représente le Conseil scientifique n’ont pas de sens.
Il faut entendre ça :
Et donc il faut qu’on apprenne à vivre avec ce virus, pour vivre avec ce virus il faut éviter qu’il y ait trop de multiplication de ce virus dans certaines régions.
Quel drôle de postulat que celui de devoir « vivre avec ce virus » ! Les Français, depuis le temps, vivent avec et 99,6 % d’entre eux s’en portent bien, malgré les morts du printemps, qui ne sont pas tous imputables, loin de là, à ce virus avec lequel il faudrait vivre, sous-entendu de manière éternelle.
Certains morts, notamment en Ehpad, sont dus aux conséquences de la politique de santé erratique du gouvernement et de ses sbires, dont le Conseil scientifique. D’autres ne sont tout simplement pas morts du coronavirus mais ont été inscrits comme tels dans les hôpitaux...
La manipulation statistique montre que le gouvernement, pour sa politique de terreur, avait besoin de falsifier et la quantité, et la qualité des morts.
Le virus doit vivre !
Les propos de Delfraissy sont non seulement tordus, mais indécents. Quand Sonia Mabrouk lui pose la question de la psychose, le président du Conseil scientifique est coincé : il ne peut qu’acquiescer.
Mabrouk : « Mais dans quel climat, dans quel climat doit-on vivre Jean-François Delfraissy ? Est-ce que vous vous sentez une responsabilité, une part de responsabilité, dans le climat de peur et de confusion qui prévaut actuellement ? »
Delfraissy : « Peut-être, puisque je fais le constat en effet que il y a une forme d’inquiétude de nos concitoyens... »
Une inquiétude gonflée à souhait par ses soins ! Et une relance assumée de la psychose coronavirussienne à 24 heures du retour des Gilets jaunes et des antimasques dans la rue, avouez que ça sent la très grosse coïncidence oligarchique.
On ne va pas ici faire la liste des aberrations de la politique sanitaire des grands intérêts qui se cachent derrière le triste Delfraissy, obligé d’exagérer la situation pour garder son poste, mais on peut tirer deux cartes au hasard :
France, 08 Septembre : “Les tests comme les masques doivent être ciblés. Jamais en épidémiologie on ne fait de tests de dépistage massifs sur des gens en bonne santé” (L.Barrand - President des Jeunes Biologistes Médicaux - LCI) #Covid #COVID19 #Tests pic.twitter.com/PxKOF4saMU
— Biobiobiobio (@biobiobiobior) September 9, 2020
Dt Bellier : « un masque au bout de 2 heures c est un bouillon de culture qui peut provoquer d autres maladies ! »pic.twitter.com/2Hjg8H3h39
— Asclépius (@medicalfollower) September 9, 2020
Big Pharma un jour, Big Pharma toujours ?
Delfraissy a entamé une tournée pour faire taire les vilains complotistes qui ne croient pas à son discours douteux destiné à vendre son virus éternel aux Français. La veille de sa date de gala sur Europe 1, Jean-François avait un gala sur RTL. Pour nous rassurer, poussé dans ses retranchements par la méfiance croissante de l’opinion publique que les journalistes mainstream sont bien obligés de remonter, il a dû renier ses liens avec l’industrie pharmaceutique :
« Je n’ai aucun lien avec l’industrie pharmaceutique depuis maintenant de très nombreuses années »
L’interview complète est ici :
Bonus : la très massive deuxième vague
Comme il ne faut pas comparer des pommes et des carottes, il ne faut pas non plus mettre en balance les morts plus ou moins justement attribués au coronavirus (et pour partie plus ou moins la conséquence de la gestion sanitaire de cette « crise ») avec les cas positifs détectés ces derniers temps, alors que les tests se multiplient. Tous les épidémiologistes le disent, il faut comparer les morts. Alors comparons. Voici la courbe de la mortalité quotidienne toutes causes confondues que nous fournit l’INSEE, jusqu’au 24 août, date de la dernière mise à jour des données disponibles.
Permettre aux médias de surfer sur une telle vague, c’est assurément les laisser nous décrire une réalité qui n’a rien de commun avec ce qu’il en est réellement.