Il faut se regrouper par centres d’intérêt, puis s’organiser ensemble, au nom d’une cause commune (le sauvetage du pays), dans le but de restructurer la seule communauté nationale, pour tendre in fine vers l’unité.
C’est ce que préconise Valérie Bugault, et d’ailleurs Maurras disait "Une France forte est une France unie".
Mais s’unir sur le simple slogan "Liberté !" (de quoi ? de consommer ?) ça ne suffit pas, car nous sommes tous dépendants avant tout de notre fonction dans la société, économiquement, politiquement mais aussi... spirituellement.
Ensuite, une fois que toutes ces ’nouvelles corporations d’esprit’ sont faites, on peut tenter d’établir au moins théoriquement une nouvelle constitution, et là ça rejoint les travaux de Chouard.
Cela dit, je suis aussi d’accord avec Soral qui prône plutôt la Révolution, seulement :
est-ce qu’aujourd’hui 1 seul homme face à l’Empire peut tenir tête ?
On a évoqué la création d’un nouveau CNR, donc d’un petit comité... Ça montre bien qu’il y a un besoin de hiérarchie, laquelle part forcément du bas, de la base, c’est-à-dire des travailleurs eux-mêmes, de la multitude.
Et bien sûr il ne faut surtout pas attendre la récupération des syndicats (collabos, comme tout le monde l’a compris) : il faut s’organiser entre nous selon nos liens d’intérêt, en vue d’une cause supérieure, la FRANCE, parce qu’on y vit, nous et ceux qui suivront.
Ce qui permettra au passage d’évacuer les parasites, ceux qui ne participeront pas à la Relève - assos communautaristes, journalopes, think tanks, loges...
Peut-être qu’il s’agit davantage d’Évolution (spirituelle) que de Révolution ?
Mais n’oubliez pas une chose : si le Grand Reset est une attaque massive contre l’internet comme l’annonce Schwab, il faut ne pas compter entièrement sur ce moyen, et tisser des liens forts, rapidement, de manière déterminée en prenant au sérieux le véritable état de guerre dans lequel nous sommes !
Ces manifestations sont un permier appel de reconnaissance du mal, entre nous, mais il faut maintenant enclencher la deuxième.
Que revive la France et son génie !
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