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Mgr Viganò : "L’Église catholique de plus en plus obscurcie par la secte qui se superpose abusivement à elle"

Le site américain LifeSiteNews a publié une interview de Mgr Viganò réalisée par Maike Hickson.

 

Excellence, dans un article récent, j’ai fait remarquer que l’autel papal de la basilique vaticane n’a pas été utilisé depuis qu’il a été profané par l’offrande présentée à l’idole de la Pachamama. À cette occasion, en présence de Bergoglio et de sa cour, un très grave sacrilège a été commis. Qu’en pensez-vous ?

La profanation de la basilique du Vatican lors de la cérémonie de clôture du Synode panamazonien a souillé l’autel de la Confession, puisqu’un vase dédié au culte infernal de la Pachamama a été placé sur sa table. Je trouve que cette profanation et d’autres profanations similaires d’églises et d’autels reproduisent en quelque sorte d’autres gestes similaires qui se sont produits dans le passé et nous permettent de comprendre leur véritable nature.

 

À quoi faites-vous référence ?

Je fais référence à toutes les fois où Satan s’est déchaîné contre l’Église du Christ, des persécutions des premiers chrétiens à la guerre de Khosro contre Byzance, de la fureur iconoclaste des mahométans au sac de Rome par les Lansquenets, et puis à la Révolution française, à l’anticléricalisme du XIXe siècle, au communisme athée, aux Cristeros au Mexique et à la guerre civile en Espagne, jusqu’aux crimes exécrables des partisans communistes pendant et après la Seconde Guerre mondiale et aux formes de christianophobie que nous constatons aujourd’hui dans le monde entier. Chaque fois, invariablement, la Révolution – dans toutes ses nombreuses variantes – confirme son essence luciférienne, faisant émerger l’inimitié biblique entre la lignée du Serpent et la lignée de la Femme, entre les enfants de Satan et les enfants de la Sainte Vierge. On ne peut expliquer autrement cette férocité contre la Vierge et ses enfants.

Je pense en particulier à l’intronisation de la « déesse raison », qui a eu lieu le 10 novembre 1793 en la cathédrale Notre-Dame de Paris, au plus fort de la Terreur. À cette occasion aussi, la haine infernale des révolutionnaires voulut remplacer le culte de la Mère de Dieu par le culte d’une prostituée, érigée en symbole de la religion maçonnique, portée sur les épaules, sur une chaise à porteurs, et placée dans le sanctuaire. Les analogies avec la Pachamama sont multiples et révèlent l’esprit infernal qui les inspire.

N’oublions pas que le 10 août 1793, quelques mois avant la profanation de Notre-Dame, la statue de la « déesse raison » a été érigée sur la place de la Bastille, sous les traits de la déesse égyptienne Isis : il est significatif de trouver cette référence aux cultes de l’Égypte ancienne également dans l’horrible crèche qui se dresse aujourd’hui sur la place Saint-Pierre. À l’évidence, les analogies que nous trouvons dans ces événements s’accompagnent même d’un élément absolument nouveau.

 

 

Voulez-vous nous expliquer en quoi consiste ce nouvel élément ?

Je me réfère au fait que si jusqu’au Concile – ou, pour être indulgent, jusqu’à ce « pontificat » – les profanations et les sacrilèges étaient effectués par des ennemis extérieurs à l’Église, depuis lors, les scandales impliquent activement le sommet de la hiérarchie, dans le silence coupable de l’épiscopat et au scandale des fidèles. L’Église bergoglienne donne d’elle-même une image de plus en plus déconcertante, dans laquelle la négation des vérités catholiques s’accompagne de l’affirmation explicite d’une idéologie intrinsèquement anti-catholique et anti-chrétienne ; et dans laquelle le culte idolâtre de fausses divinités païennes – c’est-à-dire de démons – qui sont propitiées par des actes sacrilèges et des profanations de choses sacrées n’est même plus caché.

Poser ce vase immonde sur l’autel de la confession est un geste liturgique, avec une valence précise et un but qui n’est pas seulement symbolique. La présence d’une idole de la « terre mère » est une offense directe à Dieu et à la Sainte Vierge, un signe tangible qui explique en quelque sorte les nombreuses remarques irrévérencieuses de Bergoglio à l’égard de la Sainte Vierge.

Il n’est donc pas surprenant que ceux qui veulent démolir l’Église du Christ et la papauté romaine le fassent depuis la plus haute Chaire, selon la prophétie de Notre-Dame de La Salette : « Rome perdra la Foi et deviendra le siège de l’Antéchrist ». Il me semble qu’aujourd’hui nous ne pouvons plus parler d’une simple « perte de la foi », mais nous devons prendre note de l’étape suivante, qui s’exprime dans une véritable apostasie, tout comme la subversion initiale du culte catholique avec la réforme liturgique évolue dans une forme de culte païen qui implique la profanation systématique du Saint-Sacrement – surtout avec l’imposition de la Communion dans la main, sous le prétexte du Covid – et dans une aversion de plus en plus évidente pour l’ancienne liturgie.

En substance, de nombreuses formes de « prudence » initiale dans la dissimulation des véritables intentions des innovateurs disparaissent, révélant la véritable nature de l’œuvre des ennemis de Dieu. Le prétexte de la prière commune pour la paix, qui à Assise légitima les poulets égorgés et d’autres abominations scandaleuses, n’est plus nécessaire aujourd’hui, et l’on théorise que la fraternité entre les hommes peut être séparée de Dieu et de la mission salvatrice de l’Église.

 

Quelle est votre évaluation des événements survenus depuis octobre 2019, en particulier l’abandon par Bergoglio du titre de Vicaire du Christ, le fait qu’il ne célébrait plus à l’autel papal et la suspension de la célébration publique de la messe à Sainte Marthe ?

Le principe philosophique Agere sequitur esse (l’agir suit l’être) nous enseigne que chacun se comporte selon sa façon d’être. Celui qui refuse d’être appelé Vicaire du Christ a de manière évidente l’impression que ce titre ne lui convient pas, ou même regarde avec mépris la possibilité d’être Vicaire de Celui que, par ses paroles et ses actes, il montre ne pas vouloir reconnaître et adorer comme Dieu. Ou plus simplement, il ne considère pas que son propre rôle au sommet de l’Église devrait coïncider avec le concept catholique de la papauté, mais avec une version actualisée et « démythifiée » de celui-ci.

En même temps, ne se considérant pas comme le Vicaire du Christ, Bergoglio peut aussi s’exonérer de se comporter comme tel, en adultérant avec désinvolture le Magistère et en scandalisant tout le peuple chrétien. Célébrer in pontificalibus à l’autel érigé sur la tombe de l’apôtre Pierre ferait disparaître l’Argentin, occulterait ses excentricités, cette expression de dégoût perpétuel qu’il ne parvient pas à dissimuler chaque fois qu’il célèbre les fonctions papales : mieux vaut pour lui se mettre en évidence sur le Sagrato désert de Saint-Pierre, en plein lockdown, attirant sur lui l’attention des fidèles qui autrement serait dirigés vers Dieu.

 

Reconnaissez-vous donc la valeur « symbolique » des actes du pape François ?

Les symboles ont une valeur précise : le choix du nom était symbolique, la décision de vivre dans la Domus Santa Marta, l’abandon des insignes et des vêtements propres au pontife romain, comme la mozzette rouge, le rochet et l’étole, ou les armoiries papales sur la ceinture. L’insistance obsessionnelle sur tout ce qui est profane est symbolique, tout comme l’impatience devant tout ce qui rappelle symboliquement un contenu spécifiquement catholique. Le geste par lequel, à l’épiclèse lors de la consécration de la messe, Bergoglio recouvre chaque fois complètement le calice, le bloque de la main, comme pour empêcher l’effusion du Saint-Esprit, est peut-être symbolique.

De même, tout comme l’acte de s’agenouiller devant le Saint-Sacrement témoigne de la foi en la Présence réelle et est un acte d’adoration envers Dieu, en ne s’agenouillant pas devant le Saint-Sacrement, Bergoglio proclame publiquement qu’il ne veut pas s’humilier devant Dieu, alors qu’il n’a aucun problème à se mettre à genoux devant des immigrants ou des fonctionnaires d’une république africaine. Et en se prosternant devant la Pachamama, certains frères, religieux, clercs et laïcs ont accompli un acte de véritable idolâtrie, honorant indûment une idole et adorant un démon. Les symboles, les signes, les gestes rituels sont donc l’instrument par lequel l’église bergoglienne se manifeste pour ce qu’elle est.

Tous ces « rites » de la nouvelle église, ces « cérémonies » plus ou moins évoquées, ces éléments empruntés aux liturgies profanes ne sont pas fortuits. Ils constituent une des étapes de la fenêtre d’Overton vers l’acceptation de ce qu’en réalité Bergoglio avait déjà théorisé dans ses discours et dans les actes de son « magistère ». D’autre part, le sorcier qui fait le signe de Shiva sur le front de Jean-Paul II et le Bouddha vénéré sur le tabernacle d’une église à Assise peuvent être compris dans leur parfaite cohérence avec les horreurs d’aujourd’hui, tout comme dans le domaine social, avant d’envisager un avortement acceptable au neuvième mois, il fallait le légitimer dans des cas plus limités, et avant de légaliser le mariage entre personnes du même sexe, il était prudemment préférable de laisser croire que la protection de la sodomie ne remettrait pas en cause l’institution du mariage naturel.

 

Excellence, pensez-vous donc que ces événements auront un développement supplémentaire ?

Si le Seigneur, le Grand et Éternel Prêtre, ne daigne pas mettre fin à cette action de perversion générale de la hiérarchie, l’Église catholique sera de plus en plus obscurcie par la secte qui se superpose abusivement à elle. Nous avons confiance dans les promesses du Christ et dans l’assistance spéciale du Saint-Esprit, mais nous ne devons pas oublier que l’apostasie des dirigeants de l’Église fait partie des événements eschatologiques et ne peut être évitée.

Je crois que les prémisses énoncées jusqu’à présent – et qui remontent en grande partie à Vatican II – conduisent inexorablement et de manière de plus en plus explicite à une « profession d’apostasie » de la part des dirigeants de l’église bergoglienne. L’Ennemi exige la fidélité de ses serviteurs et si, dans un premier temps, il semble se contenter d’une idole en bois vénérée dans les jardins du Vatican ou d’une offrande de terre et de plantes déposée sur l’autel de Saint-Pierre, il exigera bientôt un culte public et officiel, qui remplacera le Sacrifice perpétuel. C’est-à-dire que ce que Daniel a prophétisé sur l’abomination de la désolation qui se tient dans le lieu saint deviendrait concret. Je rappelle l’expression précise de l’Écriture Sainte : « Cum videritis abominationem desolationis stantem in loco sancto » ; il est clairement écrit que cette abomination se maintiendra, c’est-à-dire qu’elle se trouvera dans une position d’imposition effrontée et arrogante d’elle-même dans le lieu qui lui est le plus étranger. Ce sera une honte, un scandale, une chose sans précédent devant laquelle les mots de condamnation font défaut.

 

Qu’est-ce qui nous attend si les choses continuent dans cette direction ?

Ce à quoi nous assistons représente à mon avis la répétition générale pour l’établissement du règne de l’Antéchrist, qui sera précédé par la prédication du faux prophète, le précurseur de celui qui mènera la persécution finale contre l’Église avant la victoire finale et écrasante de Notre Seigneur.

Lire l’interview entière sur medias-presse.info

 

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62 Commentaires

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  • Je conseille vivement la lecture de "Le Pape doit mourir" par David Yallop.
    Loge,mafia etc tout y est et tout est vrai !

     

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  • Si l’église n’avait pas prôné depuis 2000 ans l’accueil de l’étranger, l’amour de ses ennemis, l’humilité, la repentance et la culpabilisation on n’en serait pas là ! Le pape actuel n’est que l’aboutissement de cette idéologie mortifère !

     

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    • Bref, si l’Eglise n’avait pas, sous cet angle, imité le Christ.... Loufoque, cette réflexion.

       
    • L’Église, tout comme Jésus lui-même suivant en cela le côté lumineux du judaïsme qui allait mourant de son temps, était pour l’accueil de l’étranger, et non pas pour l’installation de l’étranger chez soi. Une bonne action consistait à accueillir un pèlerin pour environ trois jours, au-delà ce n’était pas recommandé et la suite de la bonne action consistait à aider le pèlerin à poursuivre sa route. L’Église s’est toujours méfiée des gyrovagues, c’est à dire des pèlerins ayant tendance à s’installer à demeure dans une région en tant que parasites comptant sur l’accueil perpétuel de la part des monastères ou des simples particuliers sans suivre la discipline d’un itinéraire particulier à un ordre. Pour les réfugiés politiques la tradition était de les accueillir environ trois mois ou trois ans (suivant l’exemple de Jésus en Égypte) et qu’ils retournassent dans leur pays sitôt corrigé le pire de la persécution politique ayant motivé leur fuite. Or aujourd’hui il y a un passage par trop automatique de la condition de réfugié à celle d’immigrant reçu.

      L’amour des ennemis auquel se réfère Jésus et l’enseignement traditionnel de l’Église concerne assez strictement les ennemis à l’intérieur du groupe d’appartenance ou de fréquentation, et très strictement les ennemis à l’intérieur du groupe de même foi, ce que le latin de la vulgate rend par le mot inimicus, ceux pour qui on éprouve une répulsion plutôt que de l’attirance, ou avec qui on se querelle. Il ne concerne pas vraiment les sujets du groupe ethnique ennemi (latin : hostis) et absolument pas les ennemis déclarés de la foi, les hérétiques, ceux-là au contraire doivent faire l’objet de méfiance obligatoire, on doit faire preuve à leur égard d’une attitude qu’on dirait conspirationniste (toujours subodorer l’intention hostile) alors même qu’on se sentirait attiré vers eux par sensualité ou par exotisme.

      De manière générale le christianisme pratiqué avec intensité tend à renforcer les systèmes immunitaires identitaires et donc à souvent multiplier les nationalismes et les régionalismes comparé à d’autres religions comme l’Hindouisme et l’Islam qui tendent à favoriser de grands ensembles multi-culturels lâches et sans grande identité particulière et sans autre division que celle des intérêts des chefs féodaux et bandes armées locales.

       
    • Mirville

      Permettez moi de saluer votre culture théologico historique qui remet les pendules bien à l’heure ( je crois que la plupart des prêtres de la " droate tradie " n’ont pas votre niveau, loin de là... ) et votre patience...Que moi je n’aurais pas eu !! Bravo Frère !

       
    • Peut-être, mais l’Eglise, 2000 ans après, est toujours là !

       
    • @kal. Mais dans quel état de décomposition ! Les pyramides sont toujours là et en meilleur état et elles ont 5000 ans !

       
    • Faux l’immigration délibérément déstructurante nous est imposée au forceps par une certaine communauté par le biais de ses associations dites antiracistes. La finalité est de casser les nations afin d’instaurer le Nouvel Ordre Mondial avec selon Jacques Attali "Jérusalem pour Capitale"

       
  • La surprise face au phénomène de déstabilisation se trouve plutôt dans l’ébahissement de certains... Comme le laisse fort justement entendre Mgr Viganò, la Déception fut prévue et même prophétisée. On peut évidemment ne pas y croire ou inversement, y inclure d’autres éléments (selon l’angle métaphysique à partir duquel sont analysées les choses), reste qu’il serait difficile de ne pas saisir que nous sommes en effet, en tant qu’hommes, à un carrefour important si ce n’est essentiel. Que cela soit ou non acceptée, l’Église (mais en réalité TOUS les êtres humains) va devoir redécouvrir le sens du martyr... Non pas nécessairement de manière physique (quoique...) mais surtout en acceptant, comme le Christ, de perdre avant de gagner !
    Le problème ne se trouve donc pas dans l’action inversatoire de quelques-uns (elle fut prévue et à même cours dès l’origine de l’Église), je pense que le crucial se discernera au niveau de la réaction personnelle qui, quoi qu’on puisse librement penser le contraire, nous indiquera à quel point nos réponses individuelles s’ajusteront à l’Enseignement de l’Oint... Par conséquent, combattre le mal certes, mais il serait dangereux et fortement illusoire d’utiliser des armes et des méthodes identiques ! Faut-il s’avilir au point de ressembler à ceux-là même que l’on affronte pour espérer une victoire définitive ? Toute la problématique du futur se décèle dans cette dernière question : et il est clair que d’aucuns ne percevrons pas le piège posé devant eux. Si l’élitisme de certains (au sein même de l’Église) pointe déjà en temps de paix, il n’est pas difficile d’imaginer ce qu’il en sera lorsque certaines forces seront libérées et que des manques, très essentiels, seront en pénurie...

     

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  • A voir aussi la salle papale Paul VI au Vatican, c’est un serpent. C’est totalement fou ! Et la crèche de Noël, enfin si on peut appeler cela crèche !
    Les apparition de la Salette (dont une partie a été caché longtemps) le disent. Le diable s’infiltrera jusqu’au plus haut sommet de l’église, dans l’église.
    Et Bergoglio qui dit ne pas être le vicaire du Christ ! Il est qui c’est homme ?

     

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  • La République n’est que de la vaseline pour faire pénétrer le sabattaisme...

     

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  • #2630764
    Le 1er janvier 2021 à 00:52 par qui va piano va sano
    Mgr Viganò : "L’Église catholique de plus en plus obscurcie par la secte qui (...)

    Je suis étonné que personne ne l’ait fait avant moi.

    Alors je rajoute un lien relatif au "Conseil pour un capitalisme inclusif" qui acte publiquement la collaboration du Vatican avec la famille Rothschild (article de F. William Engdahl).

    https://reseauinternational.net/lalliance-dangereuse-de-rothschild-et-du-vatican-du-pape-francois/

    On ne peut que constater combien Bergoglio a sa place dans le Grand Reset et est une pièce du puzzle mis en place par les mondialistes (je suis un peu lent à la comprenette).

     

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  • Qu’importe le niveau et le nombre de persécutions des forces occultes contre elle, la Sainte Église commence déjà à retrouver la lumière et elle Triomphera à la fin.
    De la Passion, de la résurrection et du triomphe final de JÉSUS-CHRIST en son Église

    par Mgr Louis-Gaston de Ségur

    JÉSUS-CHRIST et l’Église forment un tout indivisible. Le sort de l’un, c’est le sort de l’autre ; et de même que là où est la tête, là également doit se trouver le corps, de même les mystères qui se sont accomplis en JÉSUS-CHRIST durant sa vie terrestre et mortelle doivent se parachever en son Église durant sa vie militante d’ici-bas. JÉSUS-CHRIST a eu sa Passion et son crucifiement : l’Église doit avoir, elle aussi, et sa Passion, et son crucifiement final. JÉSUS-CHRIST est ressuscité et a triomphé miraculeusement de la mort : l’Église ressuscitera, elle aussi, et triomphera de Satan et du monde, par le plus grand et le plus prodigieux de tous les miracles : celui de la résurrection instantanée de tous les élus, au moment même où Notre-Seigneur JÉSUS-CHRIST, entrouvrant les cieux, en redescendra plein de gloire avec sa sainte Mère et tous ses Anges. Enfin, JÉSUS-CHRIST, Chef de l’Église, est monté corporellement au ciel le jour de l’Ascension : à son tour, l’Église ressuscitée et triomphante montera au ciel avec JÉSUS, pour jouir avec lui, dans le sein de DIEU, de la béatitude éternelle.
    La suite
    http://resistance-catholique.org/ar...

     

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  • . Ancien testament : Joseph prototype de Jésus.
    - Joseph à eu une naissassance miraculeuse, Jésus aussi.
    - Joseph avait 12 frères, Jésus avait 12 disciples.
    - Joseph fut vendu pour 20 pièces d’argent, Jésus fut vendu pour 30 pièces d’argent.
    - Frère Judah suggère de "vendre" Joseph, Judas suggère de vendre Jésus.
    - Joseph commença son oeuvre à l’age de 30 ans, Jésus commença son oeuvre à l’age de trente ans.
    Il y a d’autres coincidences. En plus de cela, y’a t’il eu une seule preuve NON BIBLIQUE de quelqu’un vivant sous le nom de Jésus fils de Marie, voyageant avec 12 adeptes, guérissant la population ? NON, aucuns fait réèls aucunes traces écrites, rien avant l’an +60 environ. Il y avait une grande quantité d’historiens et philosophes qui vivaient autour de la méditérannée soit pendant, soit juste après l’existence supposée de Jésus, bref des contemporains du dit Jésus. Voiçi la liste de certains : Aulus perseus, Sénèque, Quintillien, Phlégon, Plutarque, Valeririus Maximus, Philon d’Alexandrie et bien d’autres. Combien parmi eux relatent dans leurs écrits ce personnage de Jésus ? Pas un seul ! Il existe 4 historiens auxquels on fait référence pour justifier l’existence physique de Jésus : Pline le jeune, Suetonius, Tacitus sont les 3 premiers, chacunes de leurs inscriptions se limitent au mieux à quelques mots et elles font uniquement référence à Christus qui en réalité n’est pas un nom mais un titre qui signifie : loin de dieu, personne qui a été consacrée. La 4 ème source est Josephus mais il a été prouvé pendant des siècles qu’elle était fausse, malheureusement elle est toujours considérée comme la vérité par l’église catholique. Les Romains qui notaient tout et qui auraient soi-disant crucifié ce Jésus ne le mentionnent nulle part dans leur écrits, étrange. Jésus et tout ce qu’on lui attribue, les Romains, ne connaissent pas ! Ce prétendu Jésus n’a jamais rien écrit. les évangiles puis la bible ont été écrits longtemps après la supposée mort de Jésus, on peut tout imaginer ; puis de toute façon les premiers chrétiens étaient des gnostiques et leur spiritualité était différente sur bien des points de ce que l’église Romaine a enseigné par la suite ; l’église à supprimé bien des enseignements comme l’idée de réincarnation qui à été bannie au 2 ème concile de constantinople, alors que les premiers chrétiens y croyaient. La reilgion catholique c’est le prolongement du paganisme et des mythes solaire dont l’archétype (au sens Jungien) Christ en est la sainteroue.

     

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    • Les premiers chrétiens n’étaient pas des gnostiques, toutes les hérésies gnostiques ont été répertoriées par saint Irénée de Lyon qui était disciple de saint Polycarpe qui était lui-même disciple de saint Jean dans son fameux traité contre les hérésies.
      Votre principale erreur est de regarder tout cela avec un prisme actuel, vous conjecturez tout avec les yeux d’aujourd’hui, comme si pour l’époque les traces écrites étaient aussi importantes qu’aujourd’hui.
      La meilleure preuve de l’existence de Notre Seigneur Jésus Christ c’est d’abord son corps mystique qu’est l’Eglise constitué à la Pentecôte, ensuite il existe tout un tas de preuves par la négative comme le saint Suaire ou encore le Talmud. Si ces rabbins ont dit d’horribles saloperies sur Notre Seigneur Jésus Christ, c’est donc bel et bien la preuve qu’il a réellement existé, sinon ils auraient dit : cet homme et sa mère n’ont jamais existé, ces chrétiens racontent n’importe quoi.

       
    • @ Bon et ces preuves ? " Un bout de tissu ? le Saint" auquel tu fais référence n’est que le point de vue de l’église de Rome qui d’ailleurs l’a "adouber " puisque cannonisé, donc son avis m’importe peu et ne prouve rien. Si les premiers chrétiens étaient des gnostiques. La religion ça commence dans le mysticisme et ça finit en politique. Va falloir un jour regarder autrement que par la lorgnette catho-politique qui n’est que du réchauffé de judaïsme.

       
    • Il ne faut pas confondre Simon Pierre et Simon le magicien, or quand je vous écoute j’ai plutôt l’impression pour vous que c’est au deuxième que Jésus a donné les clés ...

       
  • Quand il parle de faux prophète, de qui parle t’il ?

     

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  • #2633149

    Depuis le 8 décembre 1965, « l’Église néo-moderniste dite conciliaire » a remplacé en tant qu’âme l’Église catholique et depuis anime l’Église universelle sur les fondements de la doctrine néo-moderniste qui voue un culte à l’Homme, doctrine en soi satanique. L’église universelle n’est donc plus catholique, elle relève d’une autre religion. On ne peut donc pas affirmer que le terme « Église conciliaire » est une métaphore pour désigner un esprit nouveau. On ne peut pas affirmer d’autre part que le corps peut être animé par deux âmes que tout oppose par leur essence et leur substance. En conséquence de quoi, on ne peut que conclure que l’Église universelle est depuis Vatican II uniquement animée par une âme satanique, « l’Église néo-moderniste dite conciliaire », dont l’essence et la substance lui commandent d’anéantir le Christianisme et donc le Catholicisme, en étant le collecteur de toutes les hérésies, et qu’en aucun cas, on ne peut lui trouver une quelconque catholicité quand bien même les Révolutionnaires lui accolent pour tromper leur monde l’étiquette de catholique.

     

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