« Qu’est-ce que vous faites encore là, sale petit espion ? Ça fait trois jours que vous m’espionnez, rentrez à Paris écrire vos saloperies dans votre journal fasciste. Fichez-moi le camp, dégagez ! »
C’est en ces termes ourlés de courtoisie que le délicieux Jean-Luc Mélenchon s’en est pris une nouvelle fois à un journaliste, en l’occurrence un journaliste de l’Express parti à sa rencontre. On pourrait épiloguer à l’envie sur les raptus à répétition de cet olibrius, mais à quoi bon ?
Jean-Luc Mélenchon est à la politique ce qu’est l’alcool aux accrocs du comptoir : un verre ça va, deux verres bonjour les dégâts. C’est à croire que « bouffer » du journaliste participe de son adrénaline. Me refusant à pousser plus loin l’expertise médicale de l’intéressé, je vous livre seulement la réaction courroucée de la Société des journalistes de l’Express.
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