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Masques obligatoires dans les lieux publics clos : quel air respirerez-vous ?

Contrairement à l’antienne pseudo-scientifique écolo-bobo, le dioxyde de carbone (CO2) n’est pas un polluant d’une part et, d’autre part, il ne pourra jamais représenter un danger pour la santé humaine aux concentrations atmosphériques actuelle (0,041 % du volume, soit 410 ppmv) ou future.

 

Il faut monter à très haut niveau la concentration en CO2 dans l’air respiré pour que cela conduise à une détérioration de la santé qui lui soit directement imputable. En revanche, respirer un air confiné est préjudiciable et ce défaut de ventilation est généralement mesuré, justement, par la concentration en CO2.

L’Anses, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, nous explique que :

La concentration en CO2 dans l’air intérieur est l’un des critères qui fondent la réglementation en matière d’aération des locaux. Le titre III des Règlements sanitaires départementaux (RSD) fixe ainsi, pour les bâtiments non résidentiels, un seuil en CO2 de 1000 ppm dans des conditions normales d’occupation.

D’après les normes concernant la ventilation des bâtiments, un concentration en CO2 supérieure à 1000 ppm définit une qualité de l’air intérieur basse. Au-delà de cette concentration, une étude a montré « une augmentation de symptômes liés à l’asthme chez l’enfant, en moyenne sur une journée d’école – une altération suspectée de la performance psychomotrice due au CO2 seul chez l’adulte, en moyenne sur quelques heures. »

La durée d’exposition est primordiale. Les gens intelligents pourront toujours, pour l’heure, enlever leur masque en sortant d’un magasin. En revanche, pour le personnel qui y travaille toute la journée, c’est une autre histoire…

 

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85 Commentaires

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  • "Les gens intelligents pourront toujours, pour l’heure, enlever leur masque en sortant d’un magasin."

    Absolument. C’est ce que je fais dès que je sors du magasin ; la rue est un espace ouvert, le masque n’a pas sa raison d’être. A moins qu’il y ait foule, et encore.

     

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    • Pas de masque que ce soit dedans ou dehors faut provoquer les discussions avec les gens. Leur montrer l’absurdité d’obéir à de tels ordres.

       
    • Ne vous inquiétez pas, les contraintes vont être introduites de façon progressive. La prochaine étape sera le port du masque partout même dehors. Ils commenceront par certaines villes puis ça s’étendra petit à petit. La manne des 135 euros est bien trop juteuse. Je vous rappelle qu’au mois de mars, lorsque l’Allemagne était fière d’annoncer qu’elle était en capacité de procéder à 700 000 tests de dépistages hebdomadaire, la France était fière d’annoncer qu’elle avait dressé 900 000 PV pour non respect du confinement !

       
    • Premier jour de vacance. Deux monuments que je ne verrais pas avec mes enfants et ma femme. Après un premier refus et la huée du groupe car je ne le porterais dans des lieux publics non clos (roque saint Christophe par exemple) ma femme qui fait la gueule.
      Le combat est pénible. Mes vacances vont être longues....

       
    • Si tu a une boîte de masque regarde ,c’est bien écrit ne protège pas du Corona virus.

       
  • Il y a un biais méthodologique dans l’expérience, car de cette manière, on expire directement sur le tube à capteur, qui va se remplir anormalement de CO2 et faire calculer à l’appareil une mesure globale exagérée. Par ailleurs, lorsqu’on inspire, on ne ratisse pas que l’air à proximité, mais on attire de l’air aux abords du masque, qui sera plutôt pur, et qui viendra s’additionner au CO2 emprisonné, diminuant considérablement la proportion de CO2 dans le volume d’air inhalé.

    La bonne méthode est d’acheter un oxymètre (appelé aussi oxymètre de pouls), qui permet de mesurer le taux de saturation d’oxygène dans le sang par interférométrie, en le mettant à un doigt. Il y a des modèles tout à fait suffisants à moins de 20€. Si le test est fait sur 2h (en notant par exemple le résultat toutes les 15 minutes), on constate une baisse inquiétante de l’oxygène dans le sang, déjà notable après peu de temps.

    Subsidiairement, un masque à particules fines/charbon actif (aussi parfois appelé ffp3), avec un clapet anti-retour, permet, en milieu pollué, d’augmenter son taux d’oxygène dans le sang. Evidemment, on ne va pas se balader avec un truc qui ressemble à un masque à gaz, mais c’est tout de même intéressant et me conduit à vous inviter à faire vos propres tests. Il n’y a rien de plus valable ; et rien de plus simple !

     

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  • #2508463

    A connerie connerie et demie, si le port du masque m’était imposé dans les lieux clos là où je vis (en Suisse hors canton de Vaud et du Jura, les seuls à imposer cette mesure pour l’ instant), j’ opterais pour le foulard noir enroulé plusieurs fois autour du visage et ne laissant que les yeux de visible... Ils auront de moi la version taliban.

     

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  • A l’évidence, le masque altère totalement la respiration. Il n’y a pas besoin de démonstration pour le ressentir très vite.
    Quelle hérésie. Et de voir autant de soumission zelée, particulièrement des f. : les premières à vous faire remarquer votre manquement à le porter.

    A gerber.

     

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  • Tous les médecins et scientifiques sérieux savent que le port du masque facial est dangereux pour la santé et comportent des risques sanitaires importants pour certaines personnes comme les fumeurs ou maladies chroniques. De plus c’est un nid à bactérie et très favorable aux Cham pignons. Le port du masque ne protège pas du covid, c’est prouvé, et de plus il nuit à la santé. C’est juste un signe de soumission !

     

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  • #2508534

    Porté le masque sous le nez si vous avez pas le choix , personne ne vous dira rien
    (même les agents de sécurité le font )

    et ça vous permet respiré normalement .

     

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  • #2508563

    Bonjour,

    cette experience n’est pas pertinente.

    Ce qui est mesure ici est la concentration en CO2 de l’air expirer par cet enfant.
    Bien evidement le volume d’air present sous le masque (et tres concentre en CO2) est bien insuffisant pour remplir les poumons de l’enfant donc l’air qui va rentrer dans ses poumons est bien celui du milieu exterieur a 99.9%. Donc la concentration de l’air qui va rentrer dans les poumons sera extremement proche (quasi identique) a celle de l’air ambiant.

    Le port du masque est peut etre inutile et nuisible mais le prouver sera plus complexe que ce qui nous est montrer ici.

    Cordialement.

     

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  • Quel air va-t-on respirer ?
    Celui de la dictacture !
    De la mort et du mensonge.
    A cause de la malveillance des uns et de l’ignorance des autres.

    A part se sacrifier pour essayer de sauver ce qui peut encore être sauvé, je ne vois pas d’autre alternative pour ceux qui ont compris, mais les français peuvent ils encore être sauvés, du moins, le veulent-ils vraiment ? NON ! Ils veulent qu’on s’occupe d’eux de la naissance à la mort sans avoir à vivre et sans avoir à penser...

    Ca me rappelle cette phrase du Christ "laisse les morts enterrer leurs propres morts", mais je ne sais pas si elle correspond exactement à cette situation... Si des spécialistes passent par là, je veux bien leur avis.

     

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  • #2511018

    ceux qui veulent du concret, du scientifique, du randomisé sur l’inutilité des masques (meme le PPF2), dans les maladies virales peuvent se tourner vers les articles originaux en anglais (et traduit en francais sur le site sott.net)...
    les premieres etudes ont eu lieu en 2008, et les publications en 2010, donc ca ne date pas d’hier et ca permet de prouver l’escroquerie du masque (encore faut il que le mougeon veuille bien lire le texte, ce qui est peu probable puisque ca remettrait enc ause ses croyances), mais en cas de PV pour refus d ele porter vous aurez des arguments serieux a valider aupres du tribunal :

    l’article original est ecrit en anglais par le professeur Denis Rancourt :
    https://fr.sott.net/article/35687-L...

    il parle de l’etude de Shaman (2010) qui explique que ce qui propage le virus c’est plus l’air sec que l’air humide qui fait tomber les goutelettes virales par gravité,
    Lowen et ses collègues (2007) ont démontré le phénomène de virulence des virus aériens dépendant de l’humidité dans la transmission réelle de maladies entre cobayes, et ont examiné les mécanismes sous-jacents potentiels de l’effet de contrôle mesuré de l’humidité.

    "Le mécanisme sous-jacent est que les particules ou gouttelettes d’aérosol chargées d’agents pathogènes sont neutralisées au cours d’une demi-vie qui diminue de manière monotone et significative avec l’augmentation de l’humidité ambiante. Ce mécanisme est basé sur les travaux fondateurs de Harper (1961). Harper a montré expérimentalement que les gouttelettes porteuses de virus et d’agents pathogènes étaient inactivées dans des délais de plus en plus courts, à mesure que l’humidité ambiante augmentait."
    La percée réalisée par Shaman et al. n’est pas seulement un point académique. Elle a plutôt de profondes implications en matière de politique de santé, qui ont été entièrement ignorées ou négligées dans la pandémie actuelle de coronavirus.

    En particulier, le travail de Shaman implique nécessairement que, plutôt que d’être un nombre fixe (dépendant uniquement de la structure spatio-temporelle des interactions sociales dans une population totalement sensible, et de la souche virale), le nombre de reproduction de base de l’épidémie (R0) est fortement ou principalement dépendant de l’humidité absolue ambiante."

     

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  • #2519061

    Je ne rentre plus dans les commerces tant que la dictature sera en place pas de masques depuis 3 semaines.

     

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