C’est la preuve – s’il en fallait – de la collusion entre l’Élysée et les grands journaux, et ça ne choquera que les naïfs. En réalité, ces collabos, indirectement, sont payés par l’Élysée, c’est-à-dire vous, nous, tout le monde. Leurs journaux sont virtuellement en faillite, d’où cette collaboration sur le dos du peuple avec les puissances de l’argent. Parce que l’Élysée, c’est l’antichambre de la Banque.
« On y trouve Guillaume Tabard du Figaro, Dominique Seux de France Inter et des Échos, Françoise Fressoz du Monde ou encore Nathalie Saint-Cricq de France Télévisions »
Quand @EmmanuelMacron invite à déjeuner les éditorialistes pour distribuer ses éléments de langages avant la manifestation contre la #ReformeDesRetraites.@dseux, @NathalieStCricq, @Ben_Duhamel, @GTabard, @FFressoz faisaient partie des convives. pic.twitter.com/Hs1Z6t53DY
— Christophe Castagnette ᵖᵃʳᵒᵈᶦᵉ (@ccastanette) January 23, 2023
On peut ajouter à cette liste de la honte journalistique le fils Saint-Cricq, Benjamin Duhamel, qui sévit sur.... BFM TV.
Dans le même ordre d’idées, pour rabaisser ceux qui réclament l’abandon de la réforme des retraites, déclarés « irresponsables » par l’Élysée, on les amalgame à un idiot utile choisi parmi les manifestants. Qu’on relaie ensuite massivement sur les RS. Ici, il s’agit d’un sorbonnard qui, à peine sorti du nid, pérore sur le temps de travail, la retraite à 50 ans...
Enzo, manifestant contre la réforme des retraites : « On est prêt à aller jusqu’au bout, s’il faut aller bloquer l’Assemblée et dire c’est fini, je n’ai rien contre » #LaParoleAuxFrançais pic.twitter.com/kacdQ1mzqZ
— CNEWS (@CNEWS) January 21, 2023
Au niveau des « témoignages », RMC-BFM TV a fait encore plus fort avec le beau-frère d’Emmanuelle Wargon, qui a diabolisé les manifestations du 19 janvier chez Apolline de Malherbe !
La communication est bien l’autre nom de la désinformation.