Le Pr Didier Raoult, critiqué jusqu’à l’absurde par une majorité de la presse mainstream – corrompue par les annonceurs – et par l’entourage obscur du ministère de la Santé lié aux grands intérêts pharmaceutiques – une autre forme de corruption –, est passé en quelques mois seulement d’illustre inconnu à star mondiale du Net. Il a été auditionné ce mercredi 24 juin 2020 par les parlementaires pendant trois heures.
En défendant bec et ongles son protocole de soin pour la grippe chinoise, il a retourné les accusations dont on l’a couvert vers les vrais responsables d’une crise sanitaire qui n’était selon lui pas obligatoire et qui a dégénéré en crise économique. Et désormais en crise politique.
Ceux qui le suivent depuis le début de l’ingénierie sociale baptisée « Covid-19 » et qui connaissent sa communication, qui n’a pas varié d’un pouce depuis quatre mois, ont pu constater que le chercheur mondialement reconnu est resté droit dans ses bottes.
Didier Raoult : "Pourquoi je ne suis pas resté au conseil scientifique ? Parce que ce n'était pas un conseil scientifique" https://t.co/ya4uDo6RKq via @BFMTV
— Dominique Breuil (@dom2419) June 24, 2020
Fort de ses connaissances, de sa logique scientifique et du succès de son traitement (le taux de mortalité de Marseille a été 10 fois inférieur à celui de Paris), malgré les mensonges des responsables de l’État, qui ont objectivement voulu produire une crise sanitaire (pour des raisons que l’on découvrira), le professeur a rendu coup pour coup.
« Un ministre ne peut pas ne pas être sous influence. Si les gens qui représentent la force institutionnelle n’ont pas la capacité de le protéger, on arrive à des situations qui finissent par être paradoxales. »
Il s’est même offert le luxe d’incriminer deux proches du ministre de la Santé (Olivier Véran), en disant que ce sont eux « qui ont pris les décisions ». Les mots sont graves, car il faudra trouver une chaîne de responsabilité pour ces 30 000 morts dont le Pr Perronne dit qu’il y en a 25 000 de trop !
Des « situations paradoxales », les mots sont choisis, mais ils touchent au cœur de la politique sanitaire d’État. On va arriver bientôt à ce que Raoult prédisait, un procès à l’égal de celui du sang contaminé. En attendant, Raoult remet la chloroquine sur la table en assénant :
« Je ne comprends pas que l’on puisse interdire une molécule qui a été, encore une fois, prescrite l’année dernière. »
Il dénonce avec courage les « blaireaux » de la médecine française :
Là encore, avec des mots choisis, le professeur critique le confinement, c’est-à-dire le choix politique, très, très discutable, médicalement douteux et économiquement désastreux, fait par le gouvernement :
Aujourd’hui s’est ouverte la crise politique qui suit l’opération Covid-19 qui aura remis en selle un pouvoir ultra contesté. Aujourd’hui, grâce à la ténacité du Pr Raoult, les choses vont pouvoir commencer à se retourner, et les coupables à apparaître. La transformation d’une grippe spéciale en pandémie mortelle, suivie d’un confinement moyenâgeux, ressemble à une attaque terroriste préméditée par une organisation qui hait la France et les Français, qui veut réduire la résistance française au néolibéralisme et aux lobbies, qu’ils soient pharmaceutiques, confessionnels ou francs-maçons.
Quand une majorité de Français aura pris conscience de ce qu’il s’est vraiment passé derrière cette pseudo-peste, alors, comme le disait Raoult, des comptes devront être rendus et « ce sera sanglant ».
Revoir les 3 heures 8 minutes d’audition
Dernière minute : le conseil national de l’Ordre des médecins
ouvre une procédure contre le Pr Perronne !
C’est Le Figaro (sous la plume de l’anti-Raoult primaire Cécile Thibert) qui écrit :
« Cette instruction fait suite à ses propos tenus dans les médias dans le cadre de la promotion de son livre réquisitoire sur la gestion de la crise du Covid-19 (Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ?, Albin Michel). Le médecin a notamment affirmé sur BFMTV que l’hydroxychloroquine aurait permis d’éviter 25.000 décès si elle avait été prescrite plus massivement en France. Il a aussi accusé des médecins du CHU de Nantes d’avoir “laissé crever son beau-frère” en refusant de lui prescrire le traitement recommandé par le Pr Didier Raoult. »