Faut-il porter plainte contre le CSA, instrument de censure médiatique qui recueille 1500 plaintes de téléspectateurs choqués par la blague de bigard sur le médecin qui viole sa patiente ?
Encore un matin.. ()
Encore un signalement @csaudiovisuel sur #TPMP.
Cette séquence avec Bigard n'est pas drôle, elle sert juste la #cultureduviol.— Raphaëlle Rémy-Leleu (@RaphaelleRL) February 13, 2019
Si on laisse faire, c’est le plus petit commun dénominateur qui va l’emporter, et emporter avec lui toute la liberté d’expression. À la fin de ce jeu sans gagnant, les anti-antisémites boufferont les anti-islamophobes qui auront bouffé les anti-homophobes qui auront tué les anti-Charlie qui auront tué les anti-islamophobes qui auront tué les anti-antisémites.
Il ne restera plus rien, toute parole pas absolument neutre, toute parole un tant soit peu heurtante sera condamnable, il ne restera que « il fait beau », et encore, ce sera de la laidophobie. La libération de la liberté d’expression passe donc par la mise au pas des réducteurs de parole et, en amont, de pensée. C’est la pensée qui est visée, derrière la mutilation de la parole.
Un mouvement gigantesque et totalitaire de mainmise sur la parole est en train de s’abattre sur la France, et on lui dit merde, et merde à tous ces petits hitler communautaires qui veulent nous faire taire. Il faut bien commencer par un acte symbolique de résistance.
A quel moment c’est drôle ça ? #TPMP pic.twitter.com/jDD5EL2apT
— Adrien (@adriexn) February 11, 2019
Si Bigard « banalise la culture du viol » avec ce sketch, alors Tarantino banalise la culture de la violence avec Kill Bill, Polanski la culture de la Shoah avec Le Pianiste, les USA la culture de l’extermination avec leurs carpet bombings de lâches, et « NousToutes » la culture de la délation avec leurs tweets de cagoles limitées qui pensent que c’est la blague d’un humoriste, aussi lourde soit-elle, qui rend possible les centaines de milliers de viols dans notre pays.
Alors que les viols sont le résultat d’une culture du silence, d’une culture du secret familial, d’une culture du patriarcat violent mais aussi du matriarcat pervers qui ne vaut guère mieux, d’une culture de l’ignorance qui mène les victimes vers leurs prédateurs, d’une culture de la soumission qui soumet les dominés à leurs dominants qui en profitent, bref, Bigard, là-dedans, il compte pour des prunes.
C’est une immense escroquerie qui consiste à le dénoncer comme vecteur ou source de viol, Dieudonné comme vecteur ou source d’antisémitisme, ce serait même plutôt le contraire : Dieudonné a mis sur la table la problématique – tellement énorme que personne ne veut ou ne peut la voir – du pouvoir sioniste sur les médias, la politique, la pensée. Et ça, ça fait baisser la tension, quoi qu’on en dise, une tension qui est réactivée à dessein par la communauté juive organisée (CJO) qui a besoin d’ennemis créés de toutes pièces pour justifier à la fois :
son emprise sur le débat public par le système de surveillance/délation,
son pouvoir médiatico-politique aussi disproportionné qu’antidémocratique (si l’on se base sur la démographie),
son addiction aiguë à la répression calquée sur la politique meurtrière israélienne,
et sa course éperdue dans des représailles politico-médiatico-économico-juridico-policières de plus en plus disproportionnées qui n’ont même plus besoin d’actes antisémites réels pour se déclencher : ça part tout seul.
La preuve, un croche-patte à Sarcelles devient en 24 heures un risque de nouvelle Shoah. C’est l’effet papillon récupéré par le lobby sioniste.
"Un Érythréen unijambiste qui arrive à Marseille et qui couche avec une
bourgeoise, c'est le pitch type du film français. Ça ne peut pas donner un chef-d'oeuvre."Éric Neuhoff, journaliste, s'en prend au cinéma français, à l'occasion de la sortie de "Très cher cinéma français" pic.twitter.com/sBII1pIYUm
— Konbini France (@KonbiniFr) September 11, 2019
La chasse au nazi sexiste et raciste Erich (on l’écrira à l’allemande) Neuhoff, qui rime avec Struthof
Tout est biaisé dans ce débat et la liberté de parole qui heurterait les communautés victimaires ou auto-victimisées a bon dos. Il s’agit juste d’un prétexte pour prendre le pouvoir politico-médiatique et briser toute résistance au mondialisme.
On pourrait renvoyer tous ces inquisiteurs, comme la triste Marine Turchi de Mediapart – tristophobie ! – qui scrute 96 émissions du Masque et la Plume pour y trouver trois vannes sexistes et pseudo racistes d’Éric Neuhoff, qui profite encore de sa liberté de parole dans un média de service public de plus en plus pris en otage par le camp du Bien, c’est-à-dire les socialo-sionistes.
Turchi, ou le journalisme bien-pensant qui bascule dans le maccarthysme pathologique, dans la délationite aiguë tendance 1942, dans laquelle les mal-pensants sont les nouveaux juifs, ou les nouveaux résistants, ou les nouveaux communistes, parce qu’il n’y a pas que les juifs qui en ont chié.
L’appropriation totale du champ victimaire – on va employer le mot préféré de Bourdieu, qui a mis 50 ans à imposer champ à la place de domaine et qui a été décrété quasi-génie pour cela –, l’appropriation totale du champ victimaire, donc, est la marque du totalitarisme actuel qui fonde sa force sur sa prétendue faiblesse, preuve ultime d’humanité, faiblesse qui ferait de lui un ami indépassable du genre humain. Je suis le plus gentil ! Donc tous les autres sont des salauds...
Lui, le communautarisme le plus exclusif, le plus néfaste, le plus antisocial ! Quelle blague !
Marine Turchi (@marineturchi) : « Dans l’affaire Besson, on a recueilli neuf témoignages de gravité différente. Certains parlent de harcèlement, d’autres de viol. On n'a jamais publié une enquête pour violences sexuelles avec un seul témoignage » #MediapartLive pic.twitter.com/9O5Rfdsud3
— Mediapart, le Studio (@MediapartStudio) December 19, 2018
Le turchisme ou le visage triste du nouvel humanisme antidiscriminatoire
Nous avons besoin, pour résister à la tentation totalitaire qui envahit nos médias et nos esprits, car il suffit de se soumettre pour vivre heureux, des vannes crades de Bigard, des analyses féroces d’un Soral, des contre-accusations jubilatoires d’un Dieudonné qui renvoie ses juges à la place des accusés.
Oui, on accuse ces gens-là de faire du mal à la France, à notre histoire, qu’ils transforment en champs de ruines et en torrent de saloperies, alors que la France a tant construit.
Ils, ceux qui ont brûlé Notre-Dame, veulent éradiquer nos spécificités qu’ils essayent d’écraser sous le bulldozer américaniste (Macdo & Hollywood, avec ce que ça charrie comme maladies du métabolisme et réelle culture du viol), notre culture qu’ils essayent d’hanouniser, notre pensée qu’ils essayent de criminaliser. Nous vivants, on ne sera jamais américano-israéliens, ces envahisseurs qui dégradent tout, cette espèce invasive qui tue la diversité à la française !
Messieurs les totalitaires négateurs de l’humain, les délateurs de voisins, les sanctionneurs de libertés, les juges des comportements, les arbitres à étoiles et cartons jaunes et rouges, les réducteurs de têtes bien faites, les bien-pensants chiants à crever, les communautaires racistes et racialistes, les pleurnichards à main tendue, les lacrymaires mauvais acteurs, les propagandistes pour trois deniers, les censeurs de la beauté, les sachants sans empathie, mêlez-vous de votre cul ! Ne touchez pas au cul des autres, sales violeurs !
En trois mots, on vous emmerde. Mais alors, d’une profondeur ! Tenez, votre connerie congénitale doublée d’un vice satanique nous donne envie d’aller encore plus loin dans la libération de la parole !