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Libération exhume un réseau pédocriminel de haut vol à Paris

On ne pourra pas relayer, juste résumer cette étonnante enquête de Libé sur un réseau pédocriminel de haut vol qui a sévi à Paris pendant des années.

 

Ainsi, le journal de Dov Alfon se lave-t-il des accusations passées de complaisance envers la pédophilie. Cela dit, les personnalités médiatico-politiques évoquées dans le premier article de cette série de six épisodes sont soit mortes, soit cramées (Matzneff). L’enquête entière se fonde sur le témoignage, forcément tardif, d’une femme qui avait entre 4 et 13 ans à l’époque des faits, Inès Chatin. Mais ils sont suffisamment corroborés pour que Libé prenne le risque de balancer les noms. Mais pas tous. Ce qui suit est le résultat de soixante heures d’entretiens avec la victime et ses proches.

Alors que depuis des décennies, voire depuis toujours, la gauche majoritaire dans les médias et la socioculture nous serine qu’il n’y a pas de réseaux de haute pédophilie en France, que c’est un fantasme des complotistes d’extrême droite, voici que Libération, le canard le plus à gauche, dévoile un pan de l’univers pédocriminel d’un noyau de l’intelligentsia parisienne des années 70-80. Vous nous direz, 50 ou même 40 ans après, ça sent la prescription, mais ça donne une idée de l’occultation de la chose par les organes dits d’information. Seuls les sites d’information non conventionnels ont eu le courage de briser ce mur du silence.

Inès Chatin témoigne de viols et d’abus commis, de ses 4 à ses 13 ans, par un groupe d’hommes gravitant autour de son père adoptif, Jean-François Lemaire, médecin magouilleur auprès des assurances, fasciné par les cercles de pouvoir et les sociétés secrètes. Perpétrées dans plusieurs lieux, dont l’épicentre était le domicile familial du 97, rue du Bac, les violences ont débuté non loin, rue de Varenne, dans un appartement mis à disposition par des amis de Jean-François Lemaire. Des jeux sexuels sordides – autre euphémisme, qu’elle utilise devant l’Ofmin – y ont été réalisés sur des enfants, auxquels ont participé de façon certaine, selon Inès Chatin, le fondateur et directeur historique du Point, Claude Imbert, l’écrivain et académicien Jean-François Revel, l’avocat Francis Gibault, 92 ans aujourd’hui, défenseur en leurs temps de Bokassa et Kadhafi, Matzneff et Jean-François Lemaire, son père adoptif.

Et là, on entre dans le dur :

Lors de ces séances, où ces hommes n’étaient pas forcément tous présents en même temps, plusieurs enfants étaient rassemblés et devaient endurer des pénétrations réalisées tour à tour avec des objets métalliques. Ordre était donné de ne jamais exprimer sa douleur : « Si quiconque pleurait ou manifestait une résistance, c’est sur lui que les hommes se concentraient, insistaient », raconte Inès Chatin, le corps encore bardé de spasmes. Durant ces pratiques sadiques, les hommes « avaient le visage masqué », et portaient « sur eux une sorte de cape ou de manteau ».

On n’est franchement pas loin d’un réseau pédocriminel sataniste ! D’ailleurs, le 97 rue du Bac a été surnommé l’antre du Malin par le mari d’Inès...

On se souvient maintenant, et ça ne figure pas dans Libé, de Claude Sarraute, l’épouse de Revel, morte aujourd’hui, qui vantait la puissance sexuelle de son mari... Si Libé ne livre que quelques noms peu connus du grand public, comme le président de la Banque Worms Claude Janssen ou l’architecte italien Ricardo Gaggia, on sait que les enquêteurs ont récupéré le livre d’or des dîners mondains organisés rue du Bac et des correspondances entres ces hommes, qui se désignaient sous le terme de « la bande ». Une bande qui avait l’habitude de voyager à Bangkok... Le frère d’Inès, Adrien, a lui aussi subi les pires sévices. Deux autres enfants ont témoigné dans cette affaire étourdissante.

Affaire dans l’affaire, Inès a découvert sur le tard que ses parents ont effectué des dons à l’association la Famille adoptive française (FAF). Pas besoin de vous faire un dessin, c’est là-dedans que les pédocriminels piochaient. Libé écrit :

La FAF a laissé prospérer en son sein, au début des années 70, une filière parallèle de recueil d’enfants abandonnés. Inès Chatin est passée par ce circuit détourné, arrivant chez les époux Lemaire de façon particulièrement nébuleuse.

Les enfants Imbert et Revel, qui font aussi partie de l’élite, disent tomber des nues. C’est le livre de Camille Kouchner La Familia grande sur les viols du pédocriminel incestueux Olivier Duhamel, un homme au cœur du pouvoir profond, qui a convaincu Inès de parler. La suite au prochain numéro, avec nos informations supplémentaires.

Pédoland, le paradis des élites

 






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31 Commentaires

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  • #3379578
    Le 15 juin à 18:59 par violôdörmïr j’l’ai dans l’$lip
    Libération exhume un réseau pédocriminel de haut vol à Paris

    Certainement un coup du ramasse et des complotistes pro-Poutine hein ?

     

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  • #3379585

    Paris aujourd’hui, est l’épicentre de l’effondrement politique et spirituel de la civilisation dite occidentale, nous avons beaucoup de soucis à nous faire quant à notre avenir, n’importe qui d’un peu équilibré et avec un minimum de conscience politique peut le constater tous les jours, c’est pour cette raison que j’ai quitté pour toujours cette ville en 2015 après y avoir vécu 38 ans, j’y suis arrivé à l’âge de 21 ans et l’ai définitivement quitté à l’âge de 59 ans.
    Je tiens à dire ici que j’ai beaucoup d’estime et de respect pour le travail des militants d’ E&R même si je ne partage pas toujours systématiquement leur point de vue sur tous les sujets, mais c’est tout simplement la vie qui veut ça..
    Bien cordialement.

     

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  • #3379683

    Libé 1968 : Apprenez l’amour à vos enfants (une image d’enfant suçant un pénis d’adulte accompagnait ce titre en une du journal)
    Libé 2024 : Enculer des enfants de 4 ans c’est pas bien.

    Merci Libération, mieux vaut tard que jamais hein, n’empêche que quand le vent soufflait dans ce sens vous étiez les premiers apôtres de cette saloperie organisée et plus que jamais pratiquée aujourd’hui dans certains cercles fermés.

     

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  • #3379728

    Je me souviens que dans moult entretiens, M Soral a expliqué tout ça !
    Ces gens sont tellement saturés de pouvoir et de fric, qu’il leur faut toujours plus augmenter les transgressions pour arriver à obtenir du plaisir, car dans l’absolu, ils sont blasés, ils peuvent tout acheter, ils influencent énormément, donc il leur en faut toujours plus !

    C’est le même principe qu’un drogué, qui doit augmenter ses doses de produit, parce que les dose du début ne font plus d’effets, c’est la spirale bien connue de l’addiction !

    Ces gens sont véritablement des malades, par contre je ne sais pas si on peut les soigner en quoi que ce soit, mais je ne suis pas de la partie, donc je me trompe peut-être !

    Je ne me souviens plus à quelle occasion Alain Soral avait expliqué tout ça, si c’était lors d’un entretien sur le canapé rouge, je n’ai pas archivé cette séquence (qui a été répétée et détaillée il me semble....), mais E&R doit avoir ça dans ses archives et pourrait peut-être la remettre en ligne, mais en tout cas c’est vraiment une exellente explication et amha, la seule valable.

    Il en est ainsi malheureusement de la nature humaine, certains n’arrivent plus à se contrôler, il existait avant des systèmes qui permettaient d’amortir ces dérives, cet hybris, mais ils ont peu à peu été neutralisés, puisqu’il s’agissait de la religion catholique en l’occurrence, même si au sein de celle-ci, il y a aussi beaucoup de dérives qu’on déplore, comme l’expliquât la Sainte Vierge, lors de son apparation à La Salette entre autres !

    Et quand Monsieur Soral parle de réseaux pédo-criminels sataniques, là encore, l’analyse est complètement réaliste.

     

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    • #3379856

      " La perversion n’est pas une maladie mentale mais une absence de sens moral & c’est inguérissable " c’était l’introduction de cour sur les sociopathes du Pr Châtel dans les années 70 .

      Certains post-trauma s’ils se conduisent comme des pervers ne le font pas pour les mêmes raisons il faut faire la différence entre pervers & border-line

       
    • #3380183

      Ce n’est pas directement car ils peuvent acheter ce qu’ils veulent qu’ils vont de plus en plus loin comme des drogués, même si cela les rend beaucoup plus vulnérables.

       
    • #3381261

      ’Certains n’arrivent plus à se controler’ ça laisse supposer qu’on a tous envie de Violer et torturer des enfants mais qu’on se retient...Non certaines personnes ont des pulsions de ce genre et se retiennent mais je doute que ce soit en grand nombre, par contre je pense qu’à force de fréquenter des personnes pire que soi on finit par a avoir les mêmes aspirations que Satan c’est a dire désir de toute puissance sur les plus faibles et plaisir a torturer et pervertir. De la même manière qu’en fréquentant des saints on peut finir par la grâce de Dieu d’en devenir un soi même et ou même juste être porté au sacrifice de soi, à la protection des plus faibles en gros a l’amour bienveillant et désintéressé .

       
  • #3379734

    "Pedoland la praxis des élites"
    élite = les meilleurs d’entre nous, le terme est donc le plus mal choisi.
    Soral dans son dernier livre utilise le terme d’"anti-élite", j’aime bien.
    Il n’y a aujourd’hui pas d’élite politique en France, ils sont tous mauvais, l’âme pourrie.

     

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  • #3379735

    Juste atroce.

     

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  • Je l’ai déjà confié ici il y a quelques temps... je reconfirme mon propre témoignage.
    Dans les années 91-92 je faisais du doublage pour un petit studio à Chelles-Gournay. Que des séries B pour M6 ou quelques dessins animés. Il arriva un court moment de rupture dans la fourniture de ces téléfilms et séries... les 2 proprios (dont l’un est décédé, l’autre...j’ignore) ont reçu, je ne sais ni par qui ni comment, quelques "snuff movies" que nous devions "doubler" ("enrichir la bande son de façon appropriée !).

    Les quelques premières images que j’ai découvert (avant de faire un malaise qui me permit de sortir du studio et de rentrer chez moi) confirme exactement les descriptions des sévices dont parle cette Inès... les visages des enfants et des adultes étaient floutés ! tous étaient nus et l’attitude des enfants (entre 5 et 12 ans) indiquaient qu’ils étaient vraisemblablement drogués.

    Comme je l’ai déjà dit aussi, j’ai arrêté définitivement le doublage 15 jours plus tard tant j’étais secouée par ce que j’avais vu. C’est aussi à cette époque que j’ai pris conscience de l’esprit "collabo" de pas mal de comédiens qui tenaient à leur gagne-pain...

     

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  • #3379806

    construire un Guantanamo en France pour anéantir tous ces criminels d’enfants

     

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  • #3379868
    Le 16 juin à 11:34 par Autour du dolmen
    Libération exhume un réseau pédocriminel de haut vol à Paris

    Mais les affaires du moment sont dénigrées par Libé et les autres médias subventionnés.
    Ils dénoncent l’eau froide, toute ma compassion à Inès Chatin, pendant qu’un volcan bouillonne sous leurs yeux.

    Checknews/Libération :



    « Réseaux pédocriminels » : que sait-on du film « les Survivantes », nouveau docu de Pierre Barnérias, réalisateur de « Hold-up » ?Projeté dans une poignée de salles (combles) depuis le 15 mai, le film donne la parole à huit femmes présentées comme victimes de réseaux pédocriminels. Son réalisateur était déjà à l’origine d’un film ouvertement complotiste sur le Covid-19.Au CGR de Nanterre, jeudi 23 mai, la salle affiche quasi complet. L’une des rares projections du film les Survivantes en Ile-de-France se tient dans le plus grand espace de ce multiplex. Peu de temps avant la séance, dans les allées ou sur le parvis du cinéma, les spectateurs échangeaient déjà. « Tu as vu les autres films de Barnérias ? », demandait un connaisseur. « Oui je suis une grande fan, j’ai déjà vu Hold-up », répondait son interlocutrice. Deux heures plus tard, au clap de fin, des applaudissements nourris retentissent dans la salle. Certains spectateurs ressortent en larmes, bouleversés par les témoignages de huit femmes « survivantes ».

    Trois ans après son documentaire Hold-up, qui entendait dénoncer une vaste conspiration mondiale autour du Covid-19, Pierre Barnérias...




    La suite de l’article est payante. L’intro n’augure rien de bon.

    Midi Libre, le fond n’est jamais abordé :



    Pierre Barnérias, ancien journaliste et réalisateur de plusieurs films pointés pour dérives complotistes revient avec un long-métrage. Le 15 mai 2024, il a sorti Les survivantes, qui donne la parole à huit femmes se disant victimes de réseaux pédocriminels.




    Rien à attendre de cette presse.

     

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  • #3380160

    faudra montrer ce dossier aux joueurs de foot pour qu’ils redescendent de leur planète

     

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