Cela s’est passé dans la ville de Raqqa au nord de la Syrie. On ne sait pas à quelle date.
Une foule de gens assiste à l’exécution publique de trois Syriens. Les "rebelles" affiliés à Al-Qaïda déclarent qu’ils doivent être exécutés parce qu’ils sont Alaouites.
Attention : images très choquantes !
Ces actes barbares sont commis quotidiennement en Syrie depuis deux ans par des criminels que les médias traditionnels et les gouvernants engagés à déstabiliser Damas qualifient improprement de « rebelles ».
Ces atrocités, les journalistes qui ont couvert ce conflit les ont largement cachées au public. Ils ont menti par omission, déformé, dénaturé la réalité, pour avoir dès le début des troubles en Syrie, pris fait et cause pour les terroristes.
Ils les ont présentés comme des « libérateurs » incarnant une « rebéllion » populaire. Et quand il ne leur était plus possible de masquer tous leurs crimes, ils ont tergiversé, parlé de cas isolés.
Ils ont continué de tromper le public en se fondant sur les dires d’une unique source : l’OSDH, un organe de pure propagande en faveur des gangs armés. Ces gangs que l’armée du gouvernement combat avec le soutien de la grande majorité des Syriens, des ONG humanitaires comme MSF les ont innocentés.