Que l’on fasse partie des lunophiles ou des antilunophiles, il est toujours utile de s’intéresser aux détails. Ensuite, chacun se fait son opinion.
Que l’on fasse partie des lunophiles ou des antilunophiles, il est toujours utile de s’intéresser aux détails. Ensuite, chacun se fait son opinion.
E&R | Juillet 2019 |522 | DéfenseHistoireScience |
À l’occasion du cinquantenaire de la mission spatiale avec équipage « Apollo 11 » (lancement le 16 juillet 1969, alunissage le 24 juillet 1969), la Rédaction d’E&R vous propose de découvrir la première partie d’un dossier événement de 35 pages. La seconde partie est et sera immédiatement accessible aux contributeurs au financement participatif de la Rédaction d’E&R à partir de 2 euros/mois. (...)
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Pour info le film "American Moon" peut être vu gratuitement en VO sur le site : https://luogocomune.net/LC/32-le-gr...
Donc si j’ai bien compris les partisans du Moon Hoax (c’est le bon terme parce que moi je ne me considère pas du tout comme un pro-NASA ni même comme un anti-Moon Hoax, je suis juste un critique du Moon Hoax), les gens de l’époque (période 60-70) à la NASA sont dans le complot. OK. Mais donc les gens de la NASA actuels aussi (et ceux d’avant, logiquement, périodes 80-90-2000-2010) puisque d’après vous toujours, s’ils savent que les ceintures de Van Allen sont infranchissables (si c’est vraiment filmé en studio, ce serait à cause des ceintures apparemment), c’est donc qu’ils sont dans le complot aussi (pas forcément tous mais la plupart de ceux qui ont au moins le grade d’ingénieur j’imagine, et ça doit déjà faire un sacré paquet). Les Russes aussi sont dans le complot puisqu’ils ne disent rien. Les chinois idem alors qu’ils auraient largement de quoi prouver le contraire (idem pour les japonais, les sud-coréens et les européens). Nvidia est aussi dans le complot pour couvrir la NASA et, cerise sur le gâteau, Van Allen lui-même est dans le complot (je peux vous fournir sans souci un article officiel qui montre qu’il n’a aucun doute sur les missions Apollo, mais sans doute ment-il lui aussi, lui qui a découvert les ceintures qui portent son nom et que vous semblez connaître mieux que lui...).
Je ne prends pas mon paragraphe pour un contre-argumentaire rigoureux, mais je tiens juste à bien comprendre votre thèse. Et surtout, est-ce que vous pouvez tous me dire que vous n’avez aucun doute sur cette thèse (qui est au moins aussi farfelue que l’officielle) ou est-ce qu’à minima vous admettez que vous n’en êtes pas sûrs à 100% ? (moi le premier, je suis "plutôt convaincu" qu’on a bien été sur la Lune mais je ne le jurerai pas avec une absolue certitude).
Réponse qui n’engage que moi.
Pour être clair, je suis également partagé. Et le fait de batailler ici, c’est n’est pas pour emmerder le monde, mais pour mettre mes doutes à l’épreuve. Et il y en a.
Donc si j’ai bien compris [...] les gens de l’époque (période 60-70) à la NASA sont dans le complot.
Non. Pas tout le monde. Et comme dans toute entreprise ou organisation, tu trouveras des "Benalla" prêt à sacrifier la morale et l’étique pour du pognon, voir une idéologie (FM ?). Le syndrome du petit chef qui tapine avec le patronat, c’est pas que pour les prolos à l’usine.
Question pour toi : As-tu déjà travaillé dans une grand entreprise, sur des projets de grande ampleur, avec sous-traitance, à l’internationale ? - Tu réaliserais qu’on a beau être ingénieurs, impliqué, motivé, et tout le toutim. Si tu n’est pas dans le bureau R&D et/ou de la direction, tu est juste un exécutant qui ne sait rien de plus que la tâche qui t’incombe.
Si le doute réside uniquement sur la capacité à marcher sur la Lune, alors tout le reste est en place. Je veux dire, les scientifiques ont bossé, ils ont réalisé les machines, les outils, et tout ce qu’il faut pour y arriver, je n’ai aucun doute la dessus.
Mais donc les gens de la NASA actuels aussi (et ceux d’avant, logiquement, périodes 80-90-2000-2010) [...] c’est donc qu’ils sont dans le complot aussi
Pas forcément. D’après l’histoire officielle, un fois les missions Apollo terminé, ils ont plié les miches et rangés les données dans des centres de données. Ils ont travaillé sur les missions Challenger, les missions STL, Hubble etc... La preuve étant que la majorité des données télémétriques sont dorénavant inexploitable, les technologies auraient disparus et parfois ce sont même les données qui sont perdues définitivement.
A mon sens, il y a toujours un paquet de gars dans le "secret des dieux", y compris et particulièrement une partie des initiés qui montent dans l’ISS, mais la plupart des employés sont de bonne foi. D’ailleurs pourquoi cette vidéo polémique sur le fait de ne pas savoir franchir la ceinture de Van Allen ? Il est de bonne foi, actuellement ils charbonnent sur des projets comme s’ils repartaient d’un page blanche. Et c’est ça qui met le doute.
Maintenant, vont-ils retourner sur la Lune ? N’est-ce pas un énième effet d’annonce. Parce que des sondes ou des robots c’est bien. Mais à l’ère d’internet et du 8K HDR, il va falloir qu’ils assurent pour de bon !
Amiral je sens de la nuance dans votre dernier com et c’est pour ça que j’y répond .En ce qui me concerne je n’ai pas de thèse alternative à la thèse pro-Apollo mais seulement des doutes .J’essaie d’être ouvert aux arguments des uns et des autres ; lorsque vous avez fait remarquer justement dans le film de Mazzucco que le modele des ombres divergentes de la photo AS14-68-9486 était biaisé car ne tenait pas compte de la perspective (crête et pointe des ombres des objets) j’ai admis que pour le coup vous aviez raison.J’ai donc fait une projection 2D en en tenant compte.Depuis je suis allé voir d’autres modélisations sur le site https://luogocomune.net/LC/forum/mi... ,et j’ai été surpris de voir que les italiens étaient allés beaucoup plus loin (avec estimation de la profondeur d’après le panorama qu’avait photographié Mitchell) mais aussi qu’un internaute avait lui trouvé sensiblement les mêmes distances que moi .Sincèrement cette photo AS14-68-9486 me pose problème "où placer "le point lumineux" (hors cadre) de manière à rendre compte de la réalité du soleil ? "la question reste ouverte à tous ...
Pour finir j’apprécie le fait que reconnaissiez que la thèse "conspi" est au moins aussi farfelue que l’officielle .Je pense que la thèse officielle pro Apollo est en train de prendre l’eau de toutes parts ...
Pour info la réponse de Mazzucco à Ativissimo date de mars 2018 et honnêtement concernant la photo originelleAS11-40-5863 et le composite AS11-40-5863-69 (mis à part le soleil) voyez vous une réelle différence de lumière ?
Sur la même ligne que WTF.
Il faut que les "debunkers" se sortent de leur propre paranoïa. Vous croyez que les personnels de la NASA se posent ce genre de questionnement ? La conscience des gens est limitée. Ils ne se positionnent pas dans la vie selon ce paradigme.
Déjà, très peu doutent. Ensuite s’ils doutent, ils ont autre chose à faire dans leur vie que tout remettre en question en permanence. Ce qui fait qu’on peut les qualifier de "moutons". Ce n’est pas leur façon de concevoir le monde, ni leur but. Ils n’en voit simplement pas l’intérêt.
C’est la raison pour laquelle il est vain de vouloir "réveiller" la population si chaque membre ne se sent pas concerné. Ils ne sont ni dans le complot, ni en dehors. Ça leur passe complètement au-dessus de la tête.
WTF
Je n’ai jamais travaillé dans une entreprise type Airbus, non. Mais j’ai bossé en entreprise (statisticien), où il est vrai, chacun a sa tâche.
Mais là on parle de la NASA. Si je bossais dans une usine de sachets en plastique, j’irais sans doute pas questionner mes collègues. Mais là on parle d’aller sur la lune et les ingénieurs de la NASA sont certainement pas parmi les moins curieux du monde... De même que, l’exploit étant circonscrit (69-72), les mecs qui ont pris la relève jusqu’à aujourd’hui n’ont pas pu s’empêcher de faire les curieux. Et aucune fuite ne serait sortie ? Aucun doute un peu public ? Pourquoi pas hein, mais disons que ça ne me convainc pas (et en disant ça je n’aborde même pas la Russie, la Chine, etc).
Sur la vidéo récente sur Van Allen, le mec dit juste - de mémoire - que c’est un "challenge". Rien de +. Il ne dit pas que ce challenge n’a jamais été relevé. Et encore une fois, Van Allen lui-même a écrit sur les missions Apollo sans émettre aucun doute.
Puis c’est pas tout de faire un film. Il aurait fallu que TOUT LE MONDE fasse l’acteur. Y compris dans le centre de contrôle, où il y a 12 secteurs : l’officier de contrôle, le chargé d’environnement électrique, l’officier d’activité, l’officier de la dynamique, l’officier de trajectoire, l’officier de navigation, l’officier des instruments et de la communication, le booster, le superviseur du système informatique, l’officier de procédure, l’officier des retrofire et l’officier de télémétrie. Ils ont tous fait semblant ?
Et pendant le trajet alors ? Ils ont posé des fausses questions écrites à l’avance ? Avec des fausses réponses écrites à l’avance ? En informant les familles des astronautes de fausses nouvelles écrites à l’avance ? Et ils ont simulé des dialogues tout le long ? Dialogues qu’il a dû falloir répéter avant pour que ça passe crême... Et il n’y a eu aucun gros couac ? Sans parler des fausses mesures qu’il faut inventer dans l’espoir qu’elles soient crédibles (taux de radiation des astronautes malgré les ceintures).
Je m’imagine vraiment pas ça possible. Mine de rien, il faut avoir des couilles et être super préparé pour mentir à ce point. Je n’imagine pas les élites américaines avoir de si grosses couilles pour balancer une telle quenelle.
Coquinou
Désolé, pas vraiment le temps de répondre à tout... je viens de taper un long truc.
Pour la "fameuse" photo, rapidement, ma meilleure réponse est celle ci :
Prends la photo du lien ci-dessous, coupe la partie droite où se trouve le soleil (ou mets simplement ta main devant pendant quelques secondes), et tu auras une photo quasiment semblable en termes d’ombres à la photo soit disant "faite en studio avec un projecteur très puissant".
https://wallhere.com/fr/wallpaper/768763
@Amiral
De même que, l’exploit étant circonscrit (69-72), les mecs qui ont pris la relève jusqu’à aujourd’hui n’ont pas pu s’empêcher de faire les curieux. Et aucune fuite ne serait sortie ? Aucun doute un peu public ?
A mon avis, celui qui pose trop de question, ou met son nez là où ça craint vraiment il se fait remettre en place. Et je te renvoi à l’expérience de Milgran quant à la capacité des lambda à obéir sans broncher. Je penses qu’au niveau du recrutement, les éléments ayant une trop grande gueule ou une tendance à s’opposer à l’autorité son éliminés d’office. Et crois moi que tu trouvera toujours des bons scientifiques, bien intelligents, bien compétents mais surtout bien dociles.
Pourquoi pas hein, mais disons que ça ne me convainc pas (et en disant ça je n’aborde même pas la Russie, la Chine, etc).
Rassure toi, tu est loin d’être tout seul, je dirais même que tu fais parti du nombre. Pour ce qui est de la Russie et la Chine, il faut voir le monde à une échelle qui nous dépasse. Tu sais on parle souvent du Nouvel Ordre Mondial à venir, le problème c’est que moi je penses qu’on y est déjà et depuis belle lurette !
Sur la vidéo récente sur Van Allen, le mec dit juste - de mémoire - que c’est un "challenge". Rien de +.
Je n’ai pas dit le contraire, ni que ça confirmait quoi que ce soit. Juste qu’il est de bonne foi, qu’il doit comme les autres se dire qu’à l’époque ils ont pris le périph’ et ont esquivé une bonne partie des radiations.
fasse l’acteur. Y compris dans le centre de contrôle
En même temps, à chaque poste son domaine. Celui qui recevait le pouls des astronautes lisait ses données. Celui qui s’occupait de telle mesure remontait les informations et ainsi de suite. Houston c’est au Texas, Cap Canaveral c’est en Floride. Les mecs suivaient surtout des données principalement.
Ils ont posé des fausses questions écrites à l’avance ? Avec des fausses réponses écrites à l’avance ?
Et pour ce qui est des vidéos "live" de la Lune. Vu la qualité des écrans de l’époque, inutile de dire que s’ils étaient dans le bureau d’à côté, ils n’auraient rien capté. La latence entre les échanges peut se simuler facilement et même de façon électronique histoire d’éviter les bévues.
Et il n’y a eu aucun gros couac ?
Officiellement, il n’y a eu aucun couac, à part la mission 13.
Sans parler des fausses mesures
Effectivement, il y a des zones qui sont plus délicates.
Je m’imagine vraiment pas ça possible.
A suivre. 2500 !
@media zionist war
Déjà, très peu doutent. Ensuite s’ils doutent, ils ont autre chose à faire dans leur vie que tout remettre en question en permanence.
C’est vrai, pour 99% des individus. Mais pas pour 100%.
Car là, il faudrait supposer qu’il n’y aurait eu dans toute l’institution pas une seule personne pour cafter ou simplement poser des questions ? Ce n’est pas réaliste.
Il n’y a pas besoin de tant mentir que ca si on envoie une fusee, mais que l’equipage reste dans la navette. Ainsi les drapeaux, modules lunaires peuvent bien etre presents la-bas, mais on aurait jamais marche sur la lune.
Coherent avec :
l’impression donnee par la conference de nos 3 astronautes,
le risque de voir les astronautes ne jamais pouvoir revenir, et donc perir sur l’objectif de la mission, aurait de loin excede le benefice escompte en terme de communication.
@JP
Car là, il faudrait supposer qu’il n’y aurait eu dans toute l’institution pas une seule personne pour cafter ou simplement poser des questions ? Ce n’est pas réaliste.
On dit : La NASA. Mais aujourd’hui, combien de projets, combien de divisions, combien de personnes attachés à des missions diverses et variées qui ne touchent pas directement à la Lune et encore moins aux missions Apollo ?
Actuellement, mise à part ceux qui gèrent la mise en ligne d’archives des missions Apollo et ceux qui ont les clefs des archives physique des data-center, ça ne fait même pas une centaine de personnes.
En plus, la NASA, c’est aussi tout un tas de divisions : JPL, Goddard ... Bref ; des milliers de scientifiques qui se cassent les chicots à bien d’autres choses que de vérifier si les photos des missions Apollo sont fake ou pas.
D’ailleurs, ils ne sont pas différents de la majorité d’entre ceux, amateur, indépendants, qui y croient dur comme fer. Et comme il existe un gros paquet de "preuves" déjà "debunkées" depuis des lustres, autant dire que les mecs ont autre chose à faire que de piquer les clefs du local d’archives et de "leaker" des informations litigieuses, si tant est qu’il y en ai vraiment dans les archives autrement qu’à travers des données sur cassettes et bande magnétiques illisibles sans les machines et les protocoles.
Non, l’idée de croire que la NASA serait un monolithe où n’importe qui à accès à n’importe quoi, n’importe quand. Quid des autorisation d’accès et des niveau d’accréditation ?
WTF
Tu me parles que du pouls et des communications, mais y avait pas que ça comme données. Y avait les mecs qui analysaient la trajectoire/la navigation. Ceux qui bossaient sur la puissance, la dynamique, la télémétrie, etc. Les mecs étaient tous de gros ingénieurs dans leur domaine, ils savaient à quoi s’attendre au niveau des données, quand même ! Si toutes les données étaient fake, ils s’en seraient rendus compte. Du coup, quoi ? Ils font tous semblant, là ? Les mecs ont tous fait 10 années d’études supérieures pour arriver un matin devant leur poste et faire semblant de lire ou d’interpréter de fausses données ? Ou bien des "vraies données" mais qui ne correspondaient absolument pas à la mission ? Tout ça 8 jours durant pour chaque mission et sans que personne n’ait jamais cafté un seul gramme du truc ?
https://www.youtube.com/watch?v=wJA...
https://www.youtube.com/watch?v=RGQ...
Encore une fois, je veux bien que ça paraisse incroyable d’aller sur la Lune. Mais faire tout ce cinéma l’est tout autant. Quand on y réfléchit, pour un assassinat (Kennedy), le 11 septembre, les gazages d’Assad, l’événement en soi est toujours très bref et les mensonges ne viennent qu’à posteriori. A froid. Là c’est une course d’endurance du mensonge ! Il faut "mentir pendant", aux familles, aux médias, aux autres membres de la Nasa. Et ce "mentir pendant" est très très long et aurait été répété de façon parfaite à chaque mission ? Je ne crois vraiment pas ça possible (et en disant cela, encore une fois, je n’ai pas la prétention d’aller sur le terrain des arguments factuels, je cherche de façon relative juste à m’imaginer le truc et voir si ça me paraît plausible).
Les mecs étaient tous de gros ingénieurs dans leur domaine,
C’est quoi un gros ingénieur ? un ingénieurs qui a du poids ? Je te taquine, mais là on est quand même dans un postulat qui tend à verser dans l’admiration.
Note tout de même que ceux qui travaillaient sur Capcom c’est combien de personne au final ? Une centaine sur les tableaux de bords divers, combien sur les postes dit sensibles ? Finalement, plus on cerne le problème, plus la quantité de personnel à maîtriser se réduit comme peau de chagrin.
ils savaient à quoi s’attendre au niveau des données, quand même ! Si toutes les données étaient fake, ils s’en seraient rendus compte.
Justement et c’est bien la prédictibilité des données qui rend possible l’illusion derrière un panneau de contrôle. Simuler un pouls, ou une trajectoire basée sur des calculs qui étaient de toute façon déjà effectués au préalable, et qui plus est correspond à des missions qui existent (de mon côté c’est l’homme sur la Lune qui me pose différents problème, rien d’autre) ne semble pas saugrenu.
D’autant que si tu regardes bien les images de Capcom, tout les mecs travaillent à partir de listing papiers qui permettent à la fois de gérer leur poste de travail, mais aussi valider les données reçus. Aussi bon ingénieurs soient-ils, aucun ne travaillent pas en improvisant et de mémoire.
Il faut "mentir pendant", aux familles, aux médias, aux autres membres de la Nasa.
Mentir aux familles.
Bon j’avoue qu’à titre personnel je n’aimerais pas passer pour un héro devant mon fils si je n’en suis pas un. Là je parles des astronautes en particulier. Pourtant, c’est très souvent le cas, on appelle cela le mensonge par omission chez les militaires ou les hommes des services secrets qui ne peuvent expliquer à leur famille sur quoi ils travaillent ou ce qu’ils font.
Les femmes de militaires le savent et gèrent en conséquence. Au niveau de la NASA, il est possible de faire de même pour des questions de "sécurité nationale" avec des employés, des ingénieurs dans le cadre d’un projet dont dépend le sort de la nation. Ajoute à cela un bon chèque avec pas mal de zéro qui paye la villa tout confort avec piscine à madame. Et crois moi que la morale ça s’achète aisément en dollar !
Mentir aux médias.
No comment. J’ai déjà soulevé la question avec la conférence de presse pitoyable d’Apollo 11. J’imagine qu’ils ont affinés leur média-training par la suite, parce que là c’est un cas d’école de tout ce qui ne faut pas faire pour paraître suspect.
Mentir aux autres membres de la Nasa.
Tout dépend sur quelle période on parle ? Parce qu’en 50 ans, il y a fort à parier qu’il ne reste plus grand monde de l’époque dans les équipes. Ensuite, je ne vois pas en quoi ça pose un réel problème. J’ai l’impression que tu imagines la NASA comme une immense salle "machine à café" où les mecs passent leur temps à s’astiquer le manche sur le sujet. D’autant que vous n’avez de cesse d’expliquer que faute de budget, le dégraissage du mammouth fut massif, ceux qui restaient bossaient déjà certainement sur d’autres missions comme Voyager et autres.
Je penses que tu prends ton cas pour une généralité. Tu ne te vois pas mentir, et tenir un mensonge. Et je t’avouerais que je serais incapable de tenir ma langue et c’est bien pour cela que je ne serais jamais coopté dans la Franc-Maçonnerie, ni dans n’importe quel service de type DGSI/DGSE. Il faut des tombes, et des tombes tu en trouveras toujours, même chez des ingénieurs.
"conférence de presse pitoyable d’Apollo 11"
Tu ne parles que d’Apollo 11 (comme souvent quand on parle du Moon Hoax je trouve). As-tu vu Aldrin lorsqu’il est passé chez Ardisson ? Le mec est austère de base. Armstrong un peu + souriant (dans les Dossiers de l’écran), mais faut remettre dans le contexte (guerre froide). Puis on n’était pas encore dans l’ère du divertissement. Souviens toi de la com’ de Giscard d’Estain ( "au revoir" ), dans les années 70 on est bien loin d’Hanouna où tout le monde plaisante sur un plateau. Les USA se considéraient en guerre à l’époque ! Et les astronautes comme LE rempart à ce qui leur faisait horreur au plus haut point : le communisme. Aujourd’hui si on faisait la même chose, ce serait moins solennel, l’astronaute raconterait sans doute une blague en conf ou ferait une "private joke" pour taquiner le collègue à côté, mais pas dans les années 60-70.
Pour ce qui est du reste, moi ce qui m’embête c’est l’impression que vous brodez sans cesse et que vous finissez avec une thèse qui vous dépasse.
"il y a ça et ça qui a l’air bizarre dans la vidéo, donc c’est un fake... ok, on me demande pourquoi personne n’a cafté, bah j’ai qu’à dire que bien que je n’aie jamais mis les pieds à la Nasa, je sais parfaitement comment ça fonctionne là-bas, tout est rôdé niveau hiérarchie et éléments perturbateurs, puis seule une poignée de personnes savaient... et euh, ah, oui, pourquoi les russes et les chinois disent rien ? Bah new world order mon gars, trois petits mots et j’ai une réponse toute faite sans avoir besoin d’étayer... ah, Nvidia ? bah on va dire qu’ils sont dans le complot aussi... Et Van Allen ? Bah s’il n’a jamais rien dit c’est qu’il a sans doute été payé ou menacé... etc... etc....."
Au final vous vous retrouvez donc avec une thèse de plus en plus large où seule l’idée de base est étayée (d’ailleurs quand on débat sur des éléments factuels je n’aborde pas le débat de la même manière). Je préférerais limite que les gens disent "Je ne sais pas. Je sais juste que dans telle vidéo, à tel moment il y a ça et ça qui sont suspects d’après moi." Là ça fait vraiment "je veux défendre ma thèse quoiqu’il en coûte".
Tu ne parles que d’Apollo 11 (comme souvent quand on parle du Moon Hoax je trouve).
Peut être parce que c’est aussi le premier homme sur la lune. Ce que les gens ont vu à la télévision, et qu’on parle bien plus souvent de cette mission et la 13ème que de toutes les autres.
Cependant, je connais la façon de balayer cette conférence avec des arguments de type : il est taciturne, il est peu souriant, l’époque n’était pas à la ginguette etc ... Mais si ça ne se limitait qu’à la question du sourire. La gène, les silences, les expressions corporelles (body langage in english), les regards fuyants. Merde, on parle de mec qui ont posé les panards sur l’astre d’à côté. 8 jours dans le vide, 768 fois Lille-Marseille. Et ils sont censé parler à la presse, à l’opinion publique. Ils réagissent comme 3 lascars convoqués dans le bureau du dirlo. Alors certes, ça ne prouve rien, mais ça en dit long sur l’ambiance en coulisse.
Pour ce qui est du reste, moi ce qui m’embête c’est l’impression que vous brodez sans cesse et que vous finissez avec une thèse qui vous dépasse.
C’est vrai, c’est plus simple de se dire que tout ça c’est vrai. C’est confortable. Mais on ne va pas à l’encontre de ses doutes, vu que doutes il y a. Et crois moi que j’accepte tout les debunkages qui en sont. Pas des injonctions à pisser droit comme la masse.
et euh, ah, oui, pourquoi les russes et les chinois disent rien ? Bah new world order mon gars
Et oui, je penses réellement que tu te fourvoie en espérant que Russes ou Chinois puissent être dans un jeu différents. D’ailleurs, si c’était réellement des opposants et qu’ils avaient les crocs, pourquoi se faire des bisous dans l’espace (Apollo-Soyouz) et pourquoi tapiner avec les ricains dans l’ISS (Chinois compris) pour ensuite venir balancer la sauce en tant qu’administration spatiale indépendante. Un peu de logique voyons !
Nvidia ? bah on va dire qu’ils sont dans le complot aussi...
Bon vu que tu tape dans le gras du sophisme, je ne discute plus parce que là tu déformes. Où ais-je dis autre chose que : Nvidia utilise le concept de Moon Hoax pour faire du buzz pour sa carte graphique ?
A la base, tu demandes ceci : "Je ne prends pas mon paragraphe pour un contre-argumentaire rigoureux, mais je tiens juste à bien comprendre votre thèse"
Voilà tu as compris maintenant.
Il existe plusieurs vidéos qui analysent le comportement d’Armstrong.
A l’époque, on est en plein "divertissement", justement parce que la guerre froide. Les Américains font tout pour penser à autre chose.
D’ailleurs, ce qui me "choque" de plus en plus, c’est que tout le programme est monté comme un spectacle. Les astronautes font les clowns sans arrêt, les missions n’ont aucun but à part le divertissement et le conditionnement. On a l’impression que tout cela n’est qu’une vaste rigolade alors que c’est hyper flippant d’aller là-haut avec le matos de l’époque et tous les disfonctionnements existants. Comment font-ils pour supporter la pression et ne pas y penser ? Comment sont-ils préparés ? Comme d’habitude, le récit officiel glisse superficiellement sur cet aspect comme sur tout le reste. Have a coke and enjoy !
En tant que "bons américains", on s’attend, même un minimum à ce que les astronautes assurent le show une fois redescendus, et là, patatras.... Les mecs n’ont rien de personnel à raconter, ne cherchent même pas à profiter de ce moment de gloire -pourtant mérité- pour se la péter un peu. Sans faire d’abus, ils pouvaient se le permettre.
Le budget explose mais on construit quand même une jepp lunaire totalement inutile, sauf pour l’esbrouffe. Du grand n’importe quoi....
Finalement le programme se termine dans l’indifférence générale, le programme spatial finit dans les oubliettes, la guerre du Viet-nâm a laissé des traces profondes. Bref, c’est pas la joie.
Rien n’est cohérent ni crédible. L’Amérique vit dans son propre film, crée sa propre fiction, c’est pour çà que tout le monde est près à croire n’importe quoi.
Ils auraient pu faire débarquer des "Aliens" à l’époque, ça aurait fonctionner comme sur des roulettes. L’expérience Orson Wells était déjà un test.
Bref, tout le monde voulait y croire, et tout le monde était prêt à faire semblant d’y croire. On serait presque tenté de les comprendre et de les pardonner.
The Mediavengers
Je t’invite à regarder le vidéo de Buzz Aldrin chez Ardisson. Tu verras qu’encore maintenant le mec est tout sauf rigolo et que dans leur tête il ne s’agissait pas de faire le show. Du tout.
WTF
Désolé mais tu peux pas me dire que c’est confortable de penser comme moi. Je suis sur E&R comme toi, j’ai 1001 positions politiques très inconfortables et une bande d’amis qui partagent ces opinions et avec qui je peux tout dire. Que que je pense cela du Moon Hoax n’a donc rien à voir avec le confort.
On peut en revenir à des arguments factuels maintenant que j’ai compris que les pro-Moon Hoax voient effectivement cela comme un complot mondial (ce qui est loin de me convaincre mais au moins je cerne mieux la thèse).
Deux choses ont spécialement retenu mon attention dans les arguments factuels. La grosse faute de Mazzucco sur les ombres (2’52’00 il remonte à la source lumineuse en prenant la droite reliant la crête de l’objet à la pointe de l’ombre, 50 secondes plus tard sur la photo incriminée il prend cette fois la direction des ombres... ce qui est objectivement faux).
Et pour ne pas circonscrire le débat à American Moon, LE gros argument factuel pro Moon Hoax ce sont les ceintures. Et l’autre grosse surprise pour moi a été de voir que Van Allen lui même n’a aucun doute sur les missions Apollo comme le prouve cet article (y en a sûrement d’autres) :
https://issues.org/p_van_allen/
Après, si vous me dites qu’il fait aussi partie du complot... OK mais dans ce cas le débat est malheureusement impossible.
Buzz Aldrin
Quel brave homme. Il a accompli sa mission avec un tel panache. Il aurait tout de même préférable qu’il s’affaire à nous ramener quelques astrophotographies en lieu et place d’embarquer ses grigri de frère .*.
Traduction du texte sous le drapeau maçonnique :
"Ceci est le drapeau maçonnique que frère Buzz Aldrin emmena sur la Lune et ramena afin de faire de la Lune une province de la Grande Loge du Texas. Notez encore, les symboles de l’aigle et du brin d’acacia."
Pour ceux qui ne comprennent pas les principes maçonniques, Buzz Aldrin a effectué un rituel sur la Lune. Sympa comme projet scientifique !
Et pour les septiques :
[1] https://tinyurl.com/y63852yw
[2] https://tinyurl.com/yxhu3dm4
[3] https://tinyurl.com/y2dfvs7p
entre autres ...
Apollo FM dans la place ;)
Petite précision concernant Buzz Aldrin et la Franc-Maçonnerie. J’ai posté ça de façon totalement sarcastique et assumée.
En effet, il convient pour ceux qui admettent l’homme sur la Lune que leurs héros ont aussi une part d’ombre. Si vous admettez Apollo, vous admettez aussi cette part de l’histoire et d’un rituel maçonnique sur Apollo 11 qui fut autorisé par la NASA.
La petite histoire prétend que le rituel a été effectué dans le LEM. Ce qui signifie qu’en réalité ce drapeau n’a jamais concrètement touché le sol Lunaire. Et comme celui-ci aurait été fait en cabinet, que ça se fasse à 1 mètre du sol lunaire, ou en orbite, ça ne change pas grand chose dans le concept.
Pour ma part, cette fantaisie maçonnique m’importe peu et participe à cette mascarade des missions Apollo. La lumière dans les yeux fait que certains mensonges persistes.
WTF
Désolé mais ta réponse me déçoit un peu. Christophe Colomb aurait pu être franc-mac, illuminati, kabbalisto-sioniste, pédophile et pro-bombe atomique (je vais volontairement dans l’anachronisme) que ça ne remettrait pas en cause le fait qu’il a mis le pied en Amérique.
Tu as fait deux réponses sur trois lignes qui de base ne t’étaient pas destinées (ça, à la rigueur) mais qui surtout de mon point de vue sont hors-sujet (mon propos était - dans le cadre de leur conférence - uniquement là pour montrer le fait que Buzz est un mec austère, point barre, j’ai jamais dit que c’était un brave type).
Quid du reste ?
J’aurais juste une question pour ceux qui pensent que les américains n’ont jamais aluni en se basant sur des détails comme l’absence d’étoile, de cratère sous le LEM et de poussière sur les coupelles des pieds de stabilisation. Ah moins, encore une fois, de contester les images de la sonde chinoise posée en ce moment sur le Lune ; ben vous allez rire... On voit pas les étoiles, il n’y a pas de cratère en dessous et pas de poussière sur les coupelles des pieds de la sonde... Pourtant si Kubrik aurait pu faire cette erreur il y a 50 ans, je vois mal les chinois la répéter ?
https://cdnfr2.img.sputniknews.com/...
Mais surtout ce qui constitue pour moi une preuve, c’est qu’en 2008 l’agence spatiale japonaise publiait des images du site d’alunissage de la mission Apollo 15, réalisées par la sonde SELENE. L’article de Ouest-France en lien, montre deux photos d’un même élément qui ne trompent pas car en combinant certaines images, les scientifiques de l’agence spatiale japonaise ont pu reconstituer en 2008 une vue en 3D d’une chaîne de montagne qui avait déjà été photographiée en 1971, lors de la mission Apollo 15. Donc comment les américains aurait pu avoir une image d’une grande netteté du site en question en 1971 sans s’y être posé, alors qu’en 2008 la sonde japonaise qui à survolé la Lune a eu besoin d’une reconstruction 3D qui n’existait pas à l’époque des missions Apollo pour en donner un aspect similaire 37 ans plus tard ? Preuve s’il en faut une, que la première photo de cette chaine de montagne prise par Apollo 15 ne provient pas d’un studio ou de la zone 51 car il était impossible à l’époque pour la Nasa d’avoir une cartographie 3D de la Lune !
https://www.ouest-france.fr/leditio....
Qui a pu prendre la photo de cette sonde chinoise sur la Lune ?
@Jacques candide
Auriez vous un lien (ouest France) qui fonctionne svp ? Je suis très intéressé de voir ces prises de vue car celles que j’ai pu voir ne sont pas très probantes (on voit pas grand chose).
Vous parlez de l’absence d’étoiles sur photo ou vidéo Apollo ,Kaguya et même Chang E 4 (ça c’est moi qui l’ajoute), OK(pb lié au limitation en terme de collecte de lumières faibles des appareils photo ,camera) Je pense que tous le monde en convient.Mais le problème vient du témoignage des astronautes de Apollo 11 qui affirment ne pas avoir vu d’étoiles sur la lune ou en orbite lunaire
voir lien conférence donnée après retour Apollo11 (question posée vers 47mn15)
https://www.youtube.com/watch?v=BI_...
En contradiction par exemples avec les témoignages des spationautes de l’ISS
Tout est dans le film de Mazzucco. Faites l’effort si vous vous intéressez à la question sérieusement.
Bon, je le fais pour vous (une fois de plus, cherchez par vous-même au lieu d’attendre les réponses des "conspis" !).
Pas d’étoiles sur la Lune, ni dans l’espace ? Phénomène étrange spécifique à Apollo...
Sonde chinoise : poids ? taille ? propulsion ? Je remarque simplement, sans pouvoir zoomer, que les pieds se sont enfoncés dans le sol en dessinant des petits cratères, et ne sont pas plats. Rien à avec le LEM donc...
Pas de poussière a priori, mais le sol ne semble pas très sablonneux.
La NASA a envoyé des sondes dans les années 60. Vous dites vous-même qu’Apollo 15 l’a photographié. C’était peut-être pas la première fois. Aucun besoin de reconstruction "3D"
Qui a pu prendre la photo de cette sonde chinoise sur la Lune ?
Bonne question, d’autant qu’il n’y a aucune trace visible au sol, et que l’ombre indique qu’aucune "perche à selfie" n’est déployée pour permettre cette vue.
Cette photo n’est peut être qu’une image d’illustration, une vue d’artiste, il faudrait avoir la source complète.
Qui a pu prendre la photo de cette sonde chinoise sur la Lune ?
c’est le Rover Yutu 2 qui a pris la photo (voir les traces de roues à l’arrière droit de Chang E)
voir lien :
https://www.rtl.fr/actu/futur/chang...
@coquinou
Effectivement. C’est une petite rampe sur l’arrière droit. Après avoir fait une boucle, il est revenu prendre sa photo.
Par contre, quand je regarde cet appareil, je remarque qu’il s’agit quasiment de la même technologie que le LEM mise à part le panneau solaire orientable. L’orientation c’est toujours un système de tuyère multi-directionnelle, toujours cette petite parabole unique sur le dessus de l’appareil.
50 ans et t’as quasiment la même technologie. J’aurais imaginé qu’en 2019, provenant d’ingénieurs d’un continent différent la technologie aurait été sensiblement différente. On dirait le petit frère du LEM.
Cela indique deux choses :
1/ La NASA avait donc déjà tout inventé avec Apollo, le summum de ce qui pouvait se faire et qui n’a quasiment pas changé en 50 ans.
2/ Les Chinois ne se sont pas cassé les bonbons. Ils ont pris les caractéristiques des appareils américains et s’en sont servis de modèle.
Ou alors, les Chinois dans l’espace, c’est juste NASA China, tout comme il existe la division Microsoft China pour la recherche en informatique.
@ WTF
Effectivement, observation troublante. Ils sont vraiment incroyables ces Américains.
Moi ce qui m’a toujours épaté, c’est comment ils arrivent à équilibrer un machin aussi biscornu, mais peut-être que c’est une question qui ne se pose pas.
Mais alors pourquoi ne pas envoyer un simple cube ?
@The Médiavengers Zionist War
Et oui, et j’ai posé sur YouTube sous différentes vidéos (pro-Apollo), différentes questions sur cette affaire de rotation/translation par système de tuyères qui sont restées sans réponse, voir certaines réponse, genre "moi je trouves ça normal, mais en fait je n’y connais rien". Et pourtant, j’ai bien développé mes questions en jouant la naïveté (sans "complotisme") et en appelant une réponse d’expert ou de connaisseurs. J’attends toujours.
Dans la vidéo précédente sur Apollo ici sur E&R, je posait la question d’un effet de balancement du LEM (ici https://www.youtube.com/watch?time_... vers 0mn46). Le commentateur qui m’a répondu prétend être compétent dans le domaine et m’explique qu’il s’agit effectivement d’un effet de compensation de la trajectoire qui s’effectue donc sous forme de palier et donc de façon non linéaire. Bref, tout à fait normal. OK.
Je n’ai pas insisté, mais une vidéo contextuelle de la remontée du LEM vue du vaisseau en orbite qui ne décrit en rien cet effet de balancier (https://www.youtube.com/watch?v=P60... à partir de 30mn25), mais par contre, si tu observes attentivement le mouvement du LEM (translation/rotation) entre 32mn15 et 33mn50, et particulièrement l’interruption instantanée de la rotation du LEM à 32mn58, ça parait assez surréaliste avec un système de poussée / contre-poussée. Zéro inertie. Zéro latence.
D’autant qu’il s’agit d’un pilotage manuel, et que ma question sur Internet était celle-ci : Existe-t-il un système automatique de contre-poussée (inversement proportionnel) à la poussée manuelle qui permet d’annihiler totalement l’inertie, sachant que dans l’espace, si tu n’applique pas de contre-poussée, tu pars en roulis sans fin dans l’axe de la poussée.
C’est d’ailleurs ce qui est censé être arrivé à Apollo 13 avec la fuite d’oxygène qui a crée une poussée équivalente à une grosse tuyère.
Et comme si ça n’était pas suffisant, il n’existe pas de timecode (horodatage précis) qui permette d’associer toutes ces vidéos afin de recréer correctement une chronologie même incomplète. Tu as de longues séquences, et bing, juste quand ça commence à être intéressant, plus de pellicule.
@The Médiavengers Zionist War
Et écoute bien ceci. Sais-tu qu’ils ont retrouvé cette année (2019) des films 70mm (donc de meilleurs résolution) qui sont exactement les mêmes vues que les prétendus films brut d’une source 16mm qui circulaient. Bon alors, c’était quoi comme caméra à l’époque du 16mm ou du 70mm ?
How 70mm Apollo 11 Footage Was Discovered !! : https://www.youtube.com/watch?v=gEe...
Ces films bruts en 70mm ne sont pas libre d’accès, du moins je n’ai pas trouvé sur Internet. Cependant, le film "Apollo 11" est sorti au festival Sundance de cette année (https://www.sundance.org/projects/a...) et l’on retrouve bien tout les "footage" qui, par miracle, sont dorénavant en 70mm.
Alors on nous prend pour des cons ou quoi ? Je m’explique :
1/ En fait, les films qui existaient jusqu’ici étaient en fait des versions dégradées des films 70mm qu’on a associé à des films 16mm depuis 50 ans maintenant. Il s’agit d’un erreur tellement grossière que ça semble improbable. D’ailleurs, il ne font aucunement référence à une erreur du genre.
2/ Pile l’année du 50ème anniversaire, on retrouve dans une collection privée des films 70mm qui sont exactement ce qu’il faut pour produire un docu-fiction (très peu scientifique, très grand public) qui relance le "plaisir" à revoir la mission 11. Mais cela voudrait dire que les caméras de l’époque tournaient simultanément avec deux pellicules : 16mm et 70mm. Parce qu’il s’agit pas de nouvelles vues, juste des vues en meilleure qualité.
3/ On nous prend pour des dindons, ils ont utilisé les "master" en 16mm de l’époque, numérisé le tout avec du très bon matos, passé le tout par un des derniers algorithmes "super-resolution" (Deep Learning ou pas - https://www.youtube.com/watch?v=HvH...) qui permet d’obtenir des résultats corrects (genre upsampling x4 de la résolution originale). Passé le tout par des filtres de correction / stabilisation / colorimétrie ... ajouté un petit grain typique de ce genre de vidéo... Et font passer le tout pour une bobine 70mm inconnue jusqu’à ce jour ?
Il suffit de voir le travail de restauration sur les vidéos des Beatles pour avoir une idée de ce qui est possible de faire avec des bobines de cette époque : https://www.youtube.com/watch?v=zh8...
Bien sur, ceci est juste un questionnement. Il y a peut être voir certainement une explication logique à ceci, mais dans l’état actuel des informations en ma possession, ça sent quand même l’embrouille à plein nez.
@ WTF
Alors sur le premier message, effectivement le mouvement de balancier permanent est vraiment étrange, en plus de donner la nausée au bout d’un moment. On dirait que le LEM est suspendu à une grue. Le défilement du décor lunaire est aussi étrange. On n’a pas du tout l’impression que le LEM s’éloigne de la surface, mais on pourrait en déduire que le mouvement de balancier se justifie par le fait de donner l’impression de s’éloigner alors qu’il n’en est rien.
Sur l’autre vidéo, l’impression que j’en ai est que le LEM pivote sur un vérin télécommandé... Sur un manège, ok, dans l’espace, j’ai plus de doutes...
Concernant cette histoire de bobine, je n’ai pas creusé, je ne comprends pas très bien à quoi ça correspond. Ce que je sais, c’est que le 16mm est un format amateur, d’assez mauvaise qualité, tiré du 35mm cinématographique. Le 70mm c’est du format pro, super-cinemascope, un truc inaccessible à l’époque, sauf pour des mecs du niveau de Kubrick. Qu’ils aient tourné les décollages dans ce format (si c’est bien de cela dont il s’agit), pourquoi pas, mais qu’on ne sache pas qui l’a fait et pourquoi ça n’était pas connu jusqu’à aujourd’hui...Encore un mystère de plus.
Sur l’autre vidéo, l’impression que j’en ai est que le LEM pivote sur un vérin télécommandé... Sur un manège, ok, dans l’espace, j’ai plus de doutes...
Moi aussi ça me parait vraiment suspect. C’est pour ça que je cherche toujours les vidéos brutes, dans les documentaires c’est généralement des portions toutes associées afin de donner un aperçu relativement cohérent. Là, j’ai beau essayer de comprendre le quand du comment, c’est perturbant.
D’ailleurs si tu regardes l’ensemble, il y a d’autres vidéos du "rendez-vous". Genre les mecs on filmé le truc sous tout les angles, avec une image correcte, en couleur, alors que la vidéo la plus importante du premier pas tu as l’impression d’être à l’époque des expérimentations de Georges Méliès. Ça n’a aucun sens.
D’autant qu’il n’y a pas beaucoup d’informations sur ces vidéos brutes. La source que j’ai donné est intitulée "Apollo 11 Complete Raw Footage", mais difficile de dire si tout est de cette mission. A 44mn39, le panneau donne une date du 11.11.69 (11 novembre 1969), et Apollo 12 c’est entre 14 et 24 novembre 1969. C’est peut être une date d’archivage des vidéos d’Apollo 11.
Si toutefois des Pro-Apollo peuvent nous donner leur ressenti, ça permettrait d’avoir un avis contre balancé.
Et pour la question du 70mm (65mm en projection), c’est effectivement du film de cinéma. Mais il me vient cette réflexion. Etant donné qu’on n’a pas le détail des sources utilisées dans le film "Apollo 11" (trouvable facilement sur Internet sous la requête : Apollo 11 mkv x265), et que le mec dans la vidéo des "footage 70mm" parle des vues hélicoptère sur le pas de tire de Cap Canaveral, il est aussi possible que le film soit un composite de nouvelles bandes 70mm du pas de tir et de différentes vues, associées à des anciennes vidéos (16mm) dans l’espace qui furent restaurées.
Existe-t-il un système automatique de contre-poussée
A priori, oui, c’est pas très compliqué en électronique analogique, si on peut commander électriquement les fusées.
Le pilote appuie sur un bouton pour commander à la machine de ne plus tourner sur elle même. Un gyroscope —> des capteurs de force —> un signal électrique qui allumera les fusées jusqu’à ce que les capteurs de force signalent qu’il n’y a plus de rotation.
Autrement dit, stabilisation par un feedback négatif.
Après, la soudaineté de la stabilisation, comparée à la relative lenteur de la rotation choque à première vue. Mais on compare une vitesse et une décélération. Or une vitesse faible permet d’économiser le carburant, puisqu’on minimise ainsi l’énergie inertielle de rotation à construire. Mais pour "détruire" cette énergie, on devra employer une énergie équivalente. Cette quantité ne changera pas, qu’on fasse la décélération en douceur ou brutalement. Et vraisemblablement la fusée à un meilleur rendement si sa poussée est proche du maximum, et donc la durée sera abrégée, mais les transistors de l’époque savent très bien couper à la microseconde près.
Par contre l’humain ne sait pas être aussi rapide ; donc, lorsqu’il déclenche la mise en mouvement, c’est avec une poussée plus longue et donc plus douce, et cela expliquerait que la mise en mouvement n’apparaisse pas aussi sèche.
ils ont utilisé les "master" en 16mm de l’époque, numérisé le tout avec du très bon matos, passé le tout par un des derniers algorithmes "super-resolution" (Deep Learning
C’est sur que pile-poil pour le 50ème anniversaire, c’est sérieusement suspect. Quant à ce jonglage entre le 16 et le 70 mm qui aurait prétendument eu lieu il y a 50 ans, c’est juste quasi invraisemblable..
Donc je vote pour votre troisième hypothèse, citée supra.
Si c’est à l’initiative de la NASA, on voit pas trop le motif de cacher la manip. Mais s’il y a une opération commerciale, alors la motivation est claire :
Si on avouait aux clients que ce n’est que le film 16mm agrandi, ils comprennent bien que c’est de la fausse haute résolution qui ne va rien révéler de nouveau.
Par contre si on fait croire que c’est le document authentique, les rentrées d’argent seront bien meilleures car on leur fait miroiter une sorte de trésor qui était resté caché jusque là. Même si les gens rationnels n’espèreront rien de plus que quelques détails encore jamais vus, l’idée d’un trésor oublié puis retrouvé, l’idée de la révélation de choses qui était cachées, sont des thèmes toujours vendeurs.
Les petits épiciers sans scrupules sont partout...
@JP
Par contre l’humain ne sait pas être aussi rapide ; donc, lorsqu’il déclenche la mise en mouvement, c’est avec une poussée plus longue et donc plus douce, et cela expliquerait que la mise en mouvement n’apparaisse pas aussi sèche.
Alors il s’agirait d’un accumulateur analogique qui permet de "mesurer" la poussée globale du mouvement généré à la douce pour ensuite compenser avec une contre-poussée équivalente lors de la relâche de la manette de commande. Parce que si la contre-poussée est instantanée alors : poussée + contre-poussée = pas de mouvement.
C’est un système de 4 x 4 tuyères qui permettent d’agir sur les différents axes. Pourtant sur le panneau de contrôle du LEM (https://tinyurl.com/yyre4bfh), on voit surtout le système dit "Alignment Optical Telescope" (c’est ce système qui doit produire les flashs visibles sur les vidéos que j’ai pointé). Et qui se gère debout ? (https://tinyurl.com/y2mh9d3n)
Par contre, à première vue, je ne vois aucun "double-joystick" (un par main) qui permettrait d’avoir un contrôle manuel sur la rotation et la translation du LEM ? (https://tinyurl.com/y688rswc)
En fait, d’après le petit schéma sur cette page (https://tinyurl.com/y5d8lcvv) permet de voir l’idée et cette page fait référence à un "manual translation and rotation device inputs by the astronauts" que je n’ai pas réussi à identifier. Le tout est contrôlé par l’ordinateur de bord qui contrôle tout les appareils :
> Inertial Measurement Unit (IMU)
> Apollo Guidance Computer (AGC)
> etc ...
Hum. Si tu as une idée sur la façon de contrôler les poussées, ça m’intéresse.
@JP
Par contre si on fait croire que c’est le document authentique, les rentrées d’argent seront bien meilleures car on leur fait miroiter une sorte de trésor qui était resté caché jusque là.
Le manque d’information en ma possession ne me permet pas d’être affirmatif sur ce qui correspond à ces fameuses bandes 70mm découvertes par miracles, et ce qui peut être inclus dans le film en tant que restauration d’anciennes bandes 16mm.
Par exemple, entre 0mn32 et 0mn36 ici : https://tinyurl.com/y2xvruxv - montre les astronautes qui montent de le bahut qui va les conduire sur le pas de tir, il existe déjà des vidéos du même genre mais sous un angle différent vers 19mn49 ici : https://tinyurl.com/y2hw87f8 . Pourtant il me semble que je connais déjà cette vue sous cet angle. Je recherche dans mes vidéos.
Alors, j’aurais tendance à dire qu’il existe bien des vues en 70mm mais qui sont principalement des vues du pas de tir à Cap Canaveral dont quelques vues en hélicoptères, des vues du stand où le public se trouvait à distance, des vues des astronautes en préparation quoi. Par contre toutes les vues dans l’espace, c’est du 16mm restaurés et remastérisées.
Ce qui est assez amusant dans le trailer, c’est à partir de 1mn32 et son slogan "Witness the last time". Witness fait référence à un témoin oculaire, Et c’est suivit d’une succession d’images de témoins au sol, et des fameuses images "balancier" du LEM a proximité de la Lune.
Vraiment, en terme de propagande, ça veut dire, rendez-vous compte, tous ces témoins ... qui voient à l’œil nu le LEM atterrir sur la Lune. Quelle blague !
Hum. Si tu as une idée sur la façon de contrôler les poussées, ça m’intéresse.
@WTF
Ben l’idée je pensais l’avoir donnée. Certes il était déjà tard, et mon cerveau n’a produit qu’une explication pas super claire, dont je sentais bien qu’elle ne serait compréhensible que si tu avais quelque expérience de l’intérêt et de la mise en oeuvre du feedback (rétroaction) en électronique analogique.
Apparemment non, et mon explication aurait été perçue par toi comme du chinois car tu y as répondu comme si tu l’avais zappée et tu avais continué à penser en informaticien. L’indice de cela est que ta solution d’un "accumulateur" enregistrant la poussée, ressemble à la traduction en analogique de l’algorithme que tu aurais spontanément écrit. Or ma solution est évidemment techniquement plus simple à mettre au point, mais l’évidence n’apparaitra pas aux yeux d’un pur informaticien.
Si c’est bien la situation présente, je suis un peu handicapé pour la suite des explications, car je n’ai pas l’habitude d’expliquer clairement l’électronique analogique, je l’ai toujours pratiquée en solo et je n’ai jamais utilisé beaucoup le langage pour y réfléchir...
Je regarderai tes liens et je te répondrai quand même, en soirée, lorsque j’aurais le temps nécessaire. En attendant, ça m’aiderait si tu me précisais ce qui était imbitable.
En attendant, ça m’aiderait si tu me précisais ce qui était imbitable.
En fait, l’explication je l’ai nommé dans le bas de mon commentaire : Inertial Measurement Unit (IMU) - c’est bien ce que tu disais. Ce qui me chiffonne c’est le système de commande manuel (manual translation and rotation device inputs by the astronauts) que je ne situe pas sur le tableau de commande, parce que le reste de l’idée est intégré. Car tout ça sans un "manche" pour piloter, je ne vois pas trop le concept. On ne va pas me dire que c’est l’ordinateur de bord qui pilote seul pour positionner le LEM pour le Rendez-Vous, parce que là j’aurais du mal à avaler le truc.
C’est le Apollo Guidance Computer (AGC) qui contrôle l’IMU. OK. Mais quels sont les contrôles "manuels et physiques" sur le tableau de commande qui permettent de piloter le LEM. J’ai peut être pas les yeux en face des trous ceci-dit.
Si tu n’as pas le temps, ne te casse pas. Je trouverais la solution à l’occasion.
@WTF
Bon, à partir de tes liens, je suis tombé sur ça :
https://www.apolloartifacts.com/201...
Donc, comme je le soupçonnais, ces petits réacteurs de contrôle sont pilotés électriquement par des électrovannes.
Par ailleurs, tu as indiqué la centrale de navigation inertielle, et mon soupçon est là encore vérifié, ils possèdent donc bien les gyroscopes, et c’est pas de la camelote puisque, comme prévisible, c’est dérivé des systèmes de navigation qui étaient nécessaires pour que les missiles intercontinentaux balistiques nucléaires ne ratent pas trop leur cible qui est à des milliers de kilomètres.
Par ailleurs, expérience personelle en ayant barré un voilier de 90 tonnes, l’effet de la force d’inertie en rotation, lorsqu’il est prépondérant, est particulièrement prise de chou pour le pilote/barreur. Donc, un système capable de stopper automatiquement et instantanément une rotation en cours leur aurait grandement allégé la charge mentale lors du pilotage.
Or, ils ont les gyroscopes, et ils ont les électrovannes contrôlant les fusées, le reste c’est de la bidouille à la portée de tout ingénieur compétent, qui ne pèse, ne coute, et ne consomme pas grand chose. Donc, à moins d’être masos, ils avaient quasi certainement le système que je décrivais et qui explique la sécheresse des arrêts de rotation. Pour moi, c’est une affaire réglée.
D’autre part, je vois deux postes de pilotage, avec chacun, à main gauche une manette bleue pale, mais articulée comme un joystick d’après le soufflet à sa base, et à main droite un joystick blanc et plus proche de notre idée contemporaine d’un joystick, .
L’absence de siège pour le pilotage ne me choque pas. Gain de place et poids, alors que la nécessité ne parait pas évidente.
D’une part, il n’y a qu’une faible gravité, et encore, juste pendant les minutes passées entre l’orbite et le sol.
D’autre part, il y a différentes phases de pilotage ; Il est donc peut-être souhaitable lors de certaines phases que le pilote adopte une posture ou une position particulière, afin de mieux se concentrer sur les instruments, manettes, boutons pertinents à ce moment là. D’ailleurs les "joysticks semblent montés sur une base orientable.
@WTF
Je n’avais pas pu voir ton dernier com, avec ton interrogation sur les joysticks. Or donc, je les vois sur celle-ci de tes photos :
https://upload.wikimedia.org/wikipe...
En bas de l’image, juste montés sur ce qui fait penser à des pédales, mais que j’interprète plutôt comme des embases articulées. Celle de droite est d’ailleurs pas mal relevée.
@JP
En bas de l’image, juste montés sur ce qui fait penser à des pédales, mais que j’interprète plutôt comme des embases articulées. Celle de droite est d’ailleurs pas mal relevée.
OK je vois, en fait ce sont des équivalents de cale-pieds qui sont des cale-bras qui se redressent et donc ces deux poignées sont les "joystick". Ça fait sens avec la tenue (debout) de l’astronaute. Donc pour cette question, tout est réglé. Il s’agit d’un système électro-mécanique piloté manuellement et contrôlé par un ordinateur de bord.
J’ai mis mon nez dans le code source et sur les base du langage de programmation. Bon, étant donné que c’est un langage très spécifique à l’environnement du LEM, je ne suis pas en mesure de dire autre chose que ce langage n’a rien de générique. C’est du code assembleur dont les mnémoniques sont adaptées à l’AGC. D’ailleurs, l’extension des fichiers du code source sont de type *.agc.
Je remarque quand même que la dernière révision du code pour le "Luminary 1A" (LEM) date du 14 juillet 1969 à 16h27. En terme de contrôle du code en simulation, test unitaire et débogage éventuel, 6 jours avant la mission, c’est tendu.
Mais admettons que la révision finale ne soit pas critique. Il n’en reste pas moins que le code de base aurait été soumis et validé le même jours, le 28 mars 1969. Je m’attendais à ce que ce genre de chose aurait été réalisé bien avant la première mission et aurait subit au moins une grosse année en mode alpha / beta (pre-release dans le cycle de vie d’un logiciel).
J’ai également vu qu’ils ont réalisé un modèle virtuel du LEM qui utilise le code source d’Apollo 11 et qui fonctionne avec des vues en 3D pour la simulation. Tout cela me semble cohérent et transparent.
Donc, je m’incline. Chapeau bas aux ingénieurs pour avoir réussi le tour de force de réaliser un tel projet sans que celui-ci ne plante (bug critique) sérieusement. Si seulement les logiciels de nos jours pouvaient être aussi carré dès les premières versions, ça nous éviterait des cheveux blancs !
Chapeau bas aux ingénieurs pour avoir réussi le tour de force de réaliser un tel projet sans que celui-ci ne plante (bug critique) sérieusement.
Je sais pas quelle est la longueur du code que tu as trouvé, mais ça ne peut quand même pas être très long.
Souviens toi qu’à l’époque un programme classique était suffisamment court pour être maitrisable, dans tous ses détails, par un seul homme. Et produire un code avec réellement zéro bug, c’était la norme pour un travail de qualité,
Par exemple, un OS qui plante, j’ai jamais vu ça avant Windows et MacIntosh.
Je sais pas quelle est la longueur du code que tu as trouvé, mais ça ne peut quand même pas être très long.
Ce n’est pas tant la longueur que le fait d’utiliser des mnémoniques spécifiques qui, pour comprendre correctement le code, nécessitent de connaitre l’environnement matériel qui est piloté. Pour info : 92 fichiers de 100 lignes à 5000 lignes (commentaire compris)
Apollo 11 Luminance99 : https://tinyurl.com/y28outdr
Souviens toi qu’à l’époque un programme classique était suffisamment court pour être maitrisable, dans tous ses détails, par un seul homme. Et produire un code avec réellement zéro bug, c’était la norme pour un travail de qualité,
Totalement, mais là on parle d’un code que je n’ai pas écris, avec un langage que je ne connais pas (surmontable avec un peu d’effort), avec un environnement électronique que je ne connais pas (quasiment insurmontable avec mes compétentes) .
Tu vois, je te parlais du CRT-6845 ( https://tinyurl.com/ofb7nes ), le circuit qui pilote la génération des signaux vidéos de l’Amstrad qui est adressable en assembleur Z80. A partir de 16 registres ( https://tinyurl.com/y35b9tby ) et une bonne connaissance du pourquoi/comment, on arrivait à faire pas mal de chose intéressante. Mais là, je savais ce que je faisais, et j’avais le matériel sous le nez pour constater de la réaction du matériel.
Ce qui m’enclin à considérer le code valide c’est :
1/ Le code est ouvert et disponible sur Github.
2/ Un simulateur utilise ce code.
Par exemple, un OS qui plante, j’ai jamais vu ça avant Windows et MacIntosh.
Et pourtant, ce n’est pas tant l’OS que le code qui le sous-tend qui pose problème.
D’autant qu’il me semble avoir lu que l’AGC était multi-tâche (6 tâches en parallèle) et donc utilisait du code dit multithreading. C’est exactement ce qui peut permettre des effets de bord et donc un code qui gèle (freeze). En particulier si tu charge un registre et attend la réaction d’un élément périphérique pour poursuivre une action conditionnelle.
En soit l’informatique ça a toujours été (même dans le cas Apollo) un mode de pensée. Lorsque j’ai lu la première fois l’excellent ouvrage du "gang-of-four" sur les patrons de conception (https://tinyurl.com/y25nol3n), je me suis rendu compte que j’utilisais depuis longtemps certains "design-pattern" sans même le savoir.
Aujourd’hui, il y a des couches (drivers) qui permettent d’éviter de taper dans le bas niveau, mais l’informatique c’est juste ça : piloter de l’électronique.
Je reprends un autre fil de discussion pour être plus clair.
N’ayant pas d’élément pour alimenter le fil précédent, je souhaite attirer l’attention sur les retransmissions elles-mêmes. Je n’ai évidemment pas visionner les dizaines d’heures de retransmissions, mais à moins que cette information m’ai échappé, il m’apparaît qu’elles se sont déroulées sans problèmes techniques majeurs, ce qui ne cesse de m’étonner car je repense toujours aux retransmissions terrestres dans années 70 et 80 qui étaient d’une qualité déplorable bien souvent, au niveau de l’image comme au niveau du son.
Il est certes difficile de comparer les situations, car le matériel "militaire" et scientifique n’est pas le même qu’une simple chaine de télévision, mais là aussi, la maitrise technique semblait totale et sans accroc. Il faut rappeler que tous ces progrès, spatiaux, électroniques, informatiques se font parallèlement et en temps réel, mais à l’époque, ils sont encore largement expérimentaux. Les magnétoscopes, camescopes et retransmissions satellites sont rares ou encore inexistants, et ce sont les japonais qui prendront la tête de ces avancées.
Il faut aussi rappeler que les Américains, dans tous ces domaines, ne sont pas du tout à la pointe technologique. Les Japonais comme j’ai évoqué, mais aussi les Français, sont souvent en pointe dans la recherche concernant l’audio-visuel. Les américains font souvent des choix peu pertinents. On pourrait aussi digresser sur l’automobile, dont l’industrie s’effondre au début des années 70 car complètement archaïque et inadaptée au contexte du choc pétrolier. Les Japonais les grilleront complètement, là aussi.
Tous ces aspects sont souvent oubliés mais ils ont aussi leur importance, car dans l’imagerie populaire, on voit les américains comme étant au top de la modernité et de la technique -justement à cause de ces voyages lunaires !- alors qu’en évacuant la propagande, on ne peut que constater l’archaïsme de leur mode de vie et le retard dans la R&D. Et quand ils réussissent quelque part, c’est souvent en trichant et en intimidant leurs concurrents (voire en leur piquant leurs découvertes, il y aurait beaucoup à dire là-dessus aussi).
Bref, je m’étale encore. Tout ça pour dire qu’à l’ère des Cadillac de deux tonnes, consommant 20l au 100km, techniquement à l’ouest à tous les niveaux, avoir fait autant de progrès et de réussites pendant cette parenthèse enchantée, représente un paradoxe et une énigme supplémentaire pour moi.
Merci à toi et à WTF pour vos échanges. Très interessant.
@Steph
Pas de quoi ;)
@The Médiavengers Zionist War
Je n’ai évidemment pas visionner les dizaines d’heures de retransmissions, mais à moins que cette information m’ai échappé, il m’apparaît qu’elles se sont déroulées sans problèmes techniques majeurs
Mondovision : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mondo...
Je cite : "Le 11 juillet 1962, grâce au satellite Telstar 1, lancé la veille depuis Cap Canaveral, la première télécommunication transatlantique est rendue possible. À 00h49, à Pleumeur-Bodou, dans les Côtes-du-Nord, des signaux émis par Telstar sont captés par le radôme et 200 techniciens assistent à la retransmission. La Mondovision est née."
Cependant, malgré l’envoi d’un satellite (la veille ?) afin de procéder à la retransmission "Live from The Moon" dans tous les foyers équipés d’un poste de télévision (audience estimée à 700 millions de spectateurs). Les ingénieurs de la NASA n’ont pas jugé utile d’adapter leur matériel aux normes en vigueur dans le milieu de la télévision (broadcast en NTSC pour l’amérique du Nord). Ce qui les a contraints à diffuser une copie à la volée de l’image qui fut projetée sur un moniteur TV de 10 pouces (soit 25,4 centimètres) et réenregistré avec une caméra adaptée au normes NTSC.
Les images brutes en SSTV (Balayage Lent à 10 images/seconde) étaient captées par 3 radio-télescopes : 2 en Australie (Honeysuckle Creek et Parkes Observatory) et 1 dans le désert de Mojave (Goldstone tracking station).
Le signal était routé en deux branche : La première correspondait au signal non traité et enregistrée sur un enregistreur à bande (analogique donc) et qui correspond aux fameuses "missing tapes" (bandes qui ont étés perdues). La seconde branche passait par un convertisseur de balayage RCA en vue de la conversion vers le format de diffusion NTSC.
Une fois le signal réenregistrée en 30 images/seconde, il était renvoyé vers le satellite Telstar. Les chaines de télévision qui transmettaient le direct de la Lune, récupéraient ce signal satellite et procédez aux différentes conversion (PAL / SECAM en Europe par exemple) afin d’émettre le signal sur le réseau d’émetteurs terrestres. Les foyers récupéraient le signal avec leur antenne locale.
Plus d’information sur la question en anglais ici : https://en.wikipedia.org/wiki/Apoll...
Alors oui, mise à part cette stupide histoire de conversion, tout a fonctionné sans couac pour une autre première : Le Mondovision.
Oups. Grosse erreur de ma part après relecture. Il ne s’agit pas du premier mondovision qui date bien du 11 juillet 1962 et donc pas la veille, et la retransmission étaient estimée à 500 millions au niveau de l’audience. Ça reste quand même un des premiers Mondovision de l’époque : https://www.techno-science.net/glos...
Pour le reste, ça me semble correct d’après les informations disponibles pour retracer le processus. En particulier, la question de l’endroit où la conversion SSTV > NTSC était effectuée et la redirection du signal vers le satellite de télécommunication qui reste évasive dans les lectures que j’ai faites.
C’est la constellation de 8 satellites Intelsat III qui a fait la retransmission mondiale, d’après https://fr.wikipedia.org/wiki/Satel...
@M.Z.W.
Quant à la technologie japonaise des satellites de com, elle a toujours été hyper avancée sur les US, incontestablement. Ils sont directement passés à la génération des satellites de com parfaitement et totalement furtifs, au point que personne en a jamais vu un seul.
En même temps, on doit relativiser l’appréciation de cette exceptionnelle performance technique japonaise, en remarquant que les US y ont quelque peu contribué, à leur manière. cf "Programme spatial japonais" sur wiki
@JP
C’est la constellation de 8 satellites Intelsat III qui a fait la retransmission mondiale
Merci pour l’information et en effet, ce sont jusqu’à 8 satellites Intelsat III qui furent utilisés pour Apollo 11. Jusqu’à 8, vu que le déploiement aurait était fait entre 1968 et 1970 (cf. le tableau de caractéristiques). Pas d’information sur la mission Apollo 11 dans la version anglais de cette page (https://en.wikipedia.org/wiki/Commu...), donc pas de détails supplémentaires.
Ça reste quand même très fort. Surtout pour des technologies et des processus très récents.
Et surtout comme l’a indiqué @The Médiavengers Zionist War, il suffit de se rappeler des retransmissions à longue distance (donc par satellite) à l’époque à la télévision, ça partait en sucette plus que régulièrement. Et quand je dis à l’époque, c’est dans les années 70 et 80. Et jusqu’à récemment avec des ruptures de faisceau en particulier lors d’événements retransmis avec du matériel en cabine mobile.
Je reste quand même très dubitatif sur cette erreur de conversion de format. Je ne penses pas que le premier homme sur la Lune à la télévision ait été improvisé à la dernière minute. Ça fait partie du processus. Et juste pour une histoire de conversion 10 fps -> 30 fps, on nous pond un bricolage digne de la série MacGyver pour régler le problème à la dernière minute ?
Surtout que le matériel de conversion existait au moins au Honeysuckle Creek Tracking Station (https://www.hq.nasa.gov/alsj/EdVonR...) et qu’il a été utilisé offline pour la conversion des données brutes, dans le liens le enregistrement en Super-8.
Différentes restauration partielles des vidéos de l’époque : https://svs.gsfc.nasa.gov/vis/a0100...
J’avais vu une vidéo explicative (je n’ai plus la source mais elle traine peut-être encore sur youtube, il faudrait que je la retrouve) sur la complexité des retransmissions.
J’avoue ne pas tout comprendre malgré quelques notions de bases. Donc mes interrogations sont les suivantes sur certain aspects :
Quid des délais dans un processus aussi complexe et de la synchronisation image/son ?
Quid de la dégradation du signal, de sa "restauration"/amplification dans cette chaine ?
Quid des conversions de captures d’images ? Si je prends en compte des images filmées à 10fps convertis en 30fps (NTSC) et en 25 fps (SECAM), la vitesse serait donc ralenti d’un facteur 3. Cela expliquerait-il ces mouvements donnant l’impression de voir le monde sous acide ?
En étant parano, est-ce que cette complexité ne cherche pas à justifier le bidouillage des images et à lui donner un aspect "lunaire" dans le but de mieux masquer la supercherie ?
Autre petit rappel "historique". Quand on connait la grosseur et le poids des caméras de l’époque, mettre au point les premières unités de tournages mobiles -et en couleur- sur la Lune, on peut dire qu’ils ne doutaient de rien. Les premières caméras pro étaient des monstres (et le sont encore même si en voie de disparition).
On résume : des caméras couleurs, motorisées (qui dit moteur, dit mécanique et énergie, je parle même pas de l’électronique), retransmissions en direct, signal son et image séparé (tiens, au passage, comment était captée et récupérée la voix des astronautes ? Micros-casques et station d’enregistrement dans le LEM ? Une vraie régie audio-visuelle ce LEM).
D’où mon autre questionnement sur les fameux délais entre le centre de commande et les astronautes. Je n’arrive pas à comprendre comment il pouvait être aussi court. Le signal Terre/Lune n’est pas de la lumière, mais des ondes avec une fréquence...Certes en ligne droite et sans atmosphère (il faut quand même sortir et rentrer dans l’atmosphère+ les 400 000km...)
Je trouve toujours étonnant que cette partie essentielle et visible de l’aventure spatiale soit si peu traitée par les médias... Sans çà, le programme Apollo ne se justifie même pas.
Tellement d’aspects techniques. Ça donne le vertige.
Quid des délais dans un processus aussi complexe et de la synchronisation image/son ?
Effectivement. De ce que j’ai lu, on parle du signal vidéo de la / les caméras, vu qu’il y a la caméra externe attachée au LEM mais aussi la caméra qui fut plantée à distance pour capturer l’image LEM + Astronautes + Drapeau américain.
Apollo Lunar Television Camera let the world watch historic Apollo 11 moonwalk
https://www.youtube.com/watch?v=8g8...
Pour la synchro audio. Je ne sais pas. Tout ce que je peux dire c’est que de nos jours, on parle de multiplexage de signal video / audio à partir de keyframe (image clef pour la synchro) dans des conteneurs de type MP4 (MPEG-4) ou MKV (Matroska)
MPEG-4 : https://fr.wikipedia.org/wiki/MPEG-4
Quid de la dégradation du signal, de sa "restauration"/amplification dans cette chaine ?
Quid des conversions de captures d’images ? Si je prends en compte des images filmées à 10fps convertis en 30fps (NTSC) et en 25 fps (SECAM), la vitesse serait donc ralenti d’un facteur 3. Cela expliquerait-il ces mouvements donnant l’impression de voir le monde sous acide ?
Non, en fait, à défaut d’interpolation, tu as une vidéo saccadée. Comme ici :
Apollo 11 - 2 caméras synchro (vers 42mn)
https://www.youtube.com/watch?v=wJy...
Il me semble que c’est bien au niveau du "Slow Scan Converter" que l’effet fantomatique (transparence) a été induit. Donc, encore une fois du côté NASA.
Parce qu’en principe, que tu prennes 10 images secondes ou 30, chaque image contient une "photo", un instantané de la vue. A moins que la caméra soit une vraie merde intégrale et qu’ils ont envoyé un Daguerréotype à la place.
En étant parano, est-ce que cette complexité ne cherche pas à justifier le bidouillage des images et à lui donner un aspect "lunaire" dans le but de mieux masquer la supercherie ?
Encore une fois d’après mes lectures, il y a déjà eu des défauts de réglages directement du côté de la NASA au niveau des réglages de luminosité/contraste qui rendaient l’image encore plus dégueulasse qu’elle ne l’était déjà.
D’ailleurs, la question des caméra Slow Scan induit beaucoup de mauvaise compréhension.
Quand j’ai posé ma question sur Youtube sur le mouvement du LEM dans l’espace (rotation/translation), on m’a rétorqué :
"[...] C’est une combinaison entre une image à un taux d’image bas (slow scan) qui a été utilisé, et d’un poids léger du LEM [...]"
Et non, la caméra qui filme dans le module de commande est bien en 30 fps.
@wtf
une entreprise commerciale privée et qu’elle ne souhait pas dévoiler ses secrets de fabrications. Il existe toujours la possibilité de breveter l’invention (donc avec les brevets consultables)
Le problème est que la solution technique d’un problème particulier n’est le plus souvent pas brevetable
On ne peut pas breveter une idée, mais seulement sa concrétisation. or bien souvent l’idée peut être concrétisée de différente manières. Il vaut mieux cacher l’idée que prendre le risque d’avoir l’idée reprise d’une autre manière.
Et il faut que ça n’ai jamais été fait. Or le plus souvent, quelqu’un a déjà découvert et publié l’info utile. Simplement, c’était dans un autre domaine, ou ça n’avait pas de raison à l’époque d’être très connu. Donc vous avez été obligé de travailler pour la redécouvrir. Mais comme vous n’êtes pas le premier, n’importe quel concurrent peut vous emprunter légalement le fruit de votre travail si vous ne le cachez pas.
Et parfois, l’info chèrement acquise et indispensable à la réussite de la performance technique, c’est d’avoir découvert "sur le tas" qu’il faut mettre sur le cable électrique XY un bout de scotch pour le tenir à tel endroit inattendu, sinon la résonance des vibrations causera un faux contact incompréhensible. Vous brevetez quoi dans ce cas ? Ne vaut-il pas mieux laisser ce détail inaccessible au concurrent, afin que ce problème merdique lui pourrisse aussi la vie ?
on se contente de dire que malgré les conditions, le matériel a fonctionné pratiquement sans modifications
Si c’est hasselblad qui a fait une telle affirmation, elle signifie surtout : "allez, futur client lambda, si tu sort ton chéquier, tu possèdera un engin aussi puissant que celui d’un astronaute d’Appolo. Et toutes les femmes tomberont devant un tel engin"
JP
Et toutes ces hypothèses, toutes plus tirées par les cheveux les unes que les autres, font que le doute ne pourra que croître.
L Hasselblad n avait eu que quelques très menues modifications, c etait le slogan pendant des décennies ; maintenant on imagine de secrètes adaptations. La pellicule en polyester a bravé les chocs thermiques et les rayons cosmiques ; que va t on imaginer pour expliquer l impossible ? Et tout à l avenant.
Apollo, sous ses dehors sympas et la couverture civile de la NASA, est un programme militaire, et une opération psy op de haut vol, c est le cas de le dire !
JP
Sauf que le 747 existe en série, a des concurrents et s’ inscrit dans une continuité d innovations aéronautiques. Tout est cohérent
Pour Apollo tout est incohérent au contraire. Apollo 11 surgit après une série d échecs, est suivi de 6 autres missions dont une seule échoue et après on passe à autre chose.
Et 50 ans après, dans une phase de progrès technologiques inouïs, on ne sait plus faire.
Franchement !
@Annaick/Heloise (et pourquoi 2 pseudos ?)
Ce n’est pas un problème de construire son raisonnement sur des hypothèses, à partir du moment où elles sont plus vraisemblables que les autres hypothèses.
Vous affirmez péremptoirement que mes hypothèses seraient "tirées par les cheveux". Ça permet sans trop se fatiguer d’évacuer la contradiction et ne pas questionner ses certitudes.
Quant à démontrer que mes hypothèses ne sont pas les plus vraisemblables, c’est tout de suite plus difficile, et d’ailleurs vous vous êtes prudemment abstenue d’essayer.
La pellicule en polyester a bravé les chocs thermiques et les rayons cosmiques
Mais est-ce donc bien moi qui fait des hypothèses tirées par les cheveux ?
L’existence de "choc thermique" est une hypothèse sans fondement, puisque il est démontré que le revêtement argent ralentit d’un facteur 50 les variations de température.
Quant aux "rayons cosmiques", il faudrait expliquer pourquoi ils pénétreraient le boitier, en dehors des millisecondes de la prise de vue.
Il faudrait aussi expliquer pourquoi ces terribles "rayons comiques" sont devenus inoffensifs lors des très nombreuses prises de vue par les cosmonautes sortant dans le vide, en orbite terrestre.
Concernant le 747, j’ai répondu ailleurs sur son développement.
Je savais qu’on me dirait "Mais le 747 existe". Il fallait comprendre que :
Justement, si un truc plus complexe qu’appolo existe, alors appolo est possible, parce qu’il est moins complexe.
Quant à la série d’échecs, qui miraculeusement déboucherait sur la réussite : erreur, car :
Il y en a beaucoup au début.
Donc ils finissent par apprendre à travailler prudemment. Car la racine du problème était là. Comparez la catastrophe d’Appolo 1 et le faux cuir d’hasselblad dont ils ne prennent même pas le risque.
Ainsi le taux d’échec avant 1969 est devenu acceptable, mais sans plus. Il y aura encore des loupés après Appolo 11. cf. Appolo13 mais aussi 14, qui réussira mais ne sera qu’une succession d’emmerdes.
Donc, il n’y a jamais eu de "miraculeuse suspension des échecs" au moment d’Appolo 11.
La raison pour laquelle vous ne voyez pas comment cela a pu être possible, c’est juste votre manque de bagage technique.
La raison pour laquelle j’y crois maintenant à 99% c’est que j’ai la culture et l’expérience techniques, pour voir assez correctement les vrais problèmes, et les solutions.
Et 50 ans après, dans une phase de progrès technologiques inouïs,
Mais qu’en savez vous ? Faut pas croire sur parole les journalistes et la publicité.
Tous les matériaux exotiques existaient déjà : fibre carbone, kevlar titane. Et étaient utilisés.
Tiens d’ailleurs, il y a environ 2 semaines, Elon Musk a annoncé qu’il remplaçait le carbone par le tout bête acier inoxydable sur une part de son dernier projet de fusée. Il avait découvert que la comparaison des 2 options, en considérant absolument toutes les conséquences, était en réalité en faveur de l’option ringarde et contre-intuitive, l’inox.
Pour le reste, le progrès technologique est une surtout illusion publicitaire ;
La réalité est que l’humanité est dans une phase de stagnation technologique.
Tout ce qui vous parait nouveau se réduit à aux conséquences, directes ou indirectes, d’une unique invention qui remonte aux années soixante.
On a alors trouvé le moyen de graver très finement des circuits intégrés ; Or il y avait un potentiel énorme dans la finesse de la gravure, et donc la quantité de transistors gravables sur un seul circuit.
Et cinquante ans plus tard, on est chaque année en train de graver un peu plus finement que l’année précédente, et d’avoir des puces plus performantes qu’avant.
Maintenant, enlevez de chez vous, enlevez des usines et des voitures, des avions, etc... etc... tout ce qui contient une puce. Remplacez le lorsque c’est possible par son équivalent sans puce. Enlevez tout ce qui n’était pas du tout fabriquable sans des machines équipées de puce. Remplacez le par son équivalent "fabriqué sans l’aide de puces" :
Vous êtes revenu à la civilisation technique des années soixante à pas grand chose près.
On ne fait qu’exploiter les possibilités offertes par les puces, et on s’adapte aux conséquences.
En dehors de cela, on a pas inventé grand chose de franchement révolutionnaire depuis la seconde guerre mondiale. L’illusion de progrès technique disparaitra rapidement lorsque seront atteintes les limites de la miniaturisation des circuits intégrés dans les puces.
Mais pas d’inquiétude,
si le capitalisme est en réalité nul pour générer de vraies inventions, il saura surement créer la troisième guerre mondiale nécessaire à la reprise du progrès technologique.
Constats sur le matériel photo missions Apollo : toute les sources viennent de Wikipedia (en italique)
1er constat : sur le site de Kodak très peu d’infos concernant la composition de l’émulsion de la pellicule polyester ESTAR (PET) utilisée sur Apollo 11.Le procédé semble bien gardé depuis 50 ans .Si quelqu’un a des infos je suis preneur ...
Ces propriétés sont valables dans un environnement à pression atm de 1013 hPa
support polyester PET a une température d’utilisation comprise entre 100°C / −20°C (T° transition vitreuse entre +61°C et +70°C ,T°fusion +255°C,En termes de propriétés physiques, la température de transition vitreuse (Tv, anglais : Tg pour glass) d’une matière est souvent décrite comme représentant l’intervalle de température à travers lequel la matière passe d’un état caoutchouteux à un état vitreux, solide (rigide). ,) Il a été choisi à la place de triacétate de cellulose (T° fusion +260°C) pour les pellicules .
Emulsion halogénure d’argent (classé dans les produits dangereux inflammables ,toxiques,corrosifs)
exemple bromure d’argent
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bromu...
Quand le bromure d’argent est chauffé 100°C en dessous de son point de fusion, un graphique d’Arrhenius (en fonction de la température) de la conductivité ionique montre une valeur croissante et puis une augmentation très importante. D’autres propriétés physiques comme le module élastique, la chaleur spécifique et la valeur de l’énergie du gap électronique augmentent également, suggérant que le cristal approche de l’instabilité.
Difficultés photo sur la Lune :source wiki en italique
« Le fait que l’atmosphère de la Lune soit quasiment inexistante, ne comportant ni gaz carbonique, ni vapeur d’eau, donc pas de couverture nuageuse ou de filtrage, provoque d’une part des variations de températures allant de +114°C au soleil, à −186°C à l’ombre, d’autre part une lumière extrêmement crue, due au spectre de rayonnement qui n’est pas tamisé. Non seulement les pellicules photographiques en polyester recouvert d’halogénure d’argent peuvent être voilées ou brûlées par le rayonnement cosmique avant même d’être exposées, mais le mécanisme de l’appareil peut subir des déformations dues à la température et à la modification du champ gravitationnel.
On peut mentionner aussi la résistance aux vibrations et à l’accélération de 3 g pendant la phase de décollage, la poussière très fine, l’électricité statique, le fonctionnement sous vide sur la surface lunaire.
Malgré ces difficultés, un appareil photo Hasselblad et une montre automatique Omega Speedmaster ont pu fonctionner normalement au cours du premier voyage sur la Lune pratiquement sans modifications. »
Il est fait plusieurs modifications du boitier : des boutons surdimensionnés ont été montés sur les systèmes de réglage du Hasselblad pour permettre la manipulation avec des gants (modification pour l’ergonomie) ; les revêtements en matière synthétique imitant le cuir ont été supprimés parce que leur combustion aurait pu dégager des vapeurs nocives dans une atmosphère d’oxygène à basse pression modification liée à la sécurité mais ; les boitiers ont été recouverts d’une couche d’époxyde anodisé argenté destiné à réfléchir (Pour info l’époxyde peut être aussi très toxique) ; des pellicules spéciales en polyester Estar, dont l’épaisseur est inférieure de plus de moitié à celle d’une pellicule normale au triacétate, ont permis que 200 clichés puissent être pris à partir d’un film noir et blanc et environ 160 pour un film couleur, avec un chargeur de film spécial étudié par Cine Mechanical.(modification pour permettre de faire plus de photos)
Moins de verre utilisé (si l’appareil venait à se casser pour prévenir risque de bris de verre en apesanteur dans la cabine).modification liée à la sécurité.
donc 2eme Constat les modifications effectuées sur Hasselblad et sur les pellicules Kodak (manque d’infos sur l’émulsion mais pas sur le support) sont relativement mineures et non revues de fond en comble ...
Bizarre. Je croyais qu’Hasselblad avait affirmé n’avoir effectué aucune modification. En tout cas, ça m’étonnerait que des pellicules spéciales aient existé. Je me rappelle de mon premier appareil photo que j’avais oublié sur la plage arrière de la voiture de mes parents, en plein soleil, évidemment. Pellicule foutue, mais la température ne dépassait sans doute pas les 50°. Alors 100°....
Ajoutez toutes les contraintes qu’on subit ces appareils, encore un miracle...
Pellicule foutue, mais la température ne dépassait sans doute pas les 50°. Alors 100°....
Cet été, j’ai mis un thermomètre à mercure en plein soleil et à peine 5 minutes plus tard, il tombait (posé en équilibre précaire), le mercure avait atteint les 50° Celsius maximum. Je penses que dans une bagnole, si exposé directement au soleil, ça peut facilement grimper au dessus de 50°. Surtout quand la météo te prévois du 40° à l’ombre.
@WTF @Mediazionist avenger
Oui , et là on parle de températures sur terre (1013 hPa) ...
Evidemment que Hasselblad a apporté des modifications. Le contraire n’aurait eu aucun sens, quand on crée un appareil sensé fonctionner dans tel milieu, on l’adapte à telles contraintes.
Hasselblad dans l’espace
https://www.hasselblad.com/history/...
Rien que de l’autopromotion et du slogan : "And time and time again, Hasselblad met the challenge."
Hasselblad (wikipedia)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hasselblad
Difficultés
Le fait que l’atmosphère de la Lune soit quasiment inexistante, ne comportant ni gaz carbonique, ni vapeur d’eau, donc pas de couverture nuageuse ou de filtrage, provoque d’une part des variations de températures allant de +114 °C au soleil, à −186 °C à l’ombre, d’autre part une lumière extrêmement crue, due au spectre de rayonnement qui n’est pas tamisé. Non seulement les pellicules photographiques en polyester recouvert d’halogénure d’argent peuvent être voilées ou brûlées par le rayonnement cosmique avant même d’être exposées, mais le mécanisme de l’appareil peut subir des déformations dues à la température et à la modification du champ gravitationnel.
On peut mentionner aussi la résistance aux vibrations et à l’accélération de 3 g pendant la phase de décollage, la poussière très fine, l’électricité statique, le fonctionnement sous vide sur la surface lunaire.
Malgré ces difficultés, un appareil photo Hasselblad et une montre automatique Omega Speedmaster ont pu fonctionner normalement au cours du premier voyage sur la Lune pratiquement sans modifications.
Photos prises
Les pellicules photographiques et leurs développements originaux ont tous été perdus, il ne reste que des duplications.
Sans déconner. Tous les originaux perdus. Comment appelle-t-on ceux qui effacent les traces d’un crime ? Des coupables :) Je plaisante bien sur. N’empêche que c’est une constante dans une administration comme la NASA.
@Rem
Merci de nous fournir vos liens ou vos documents qui vous permettent d’affirmer que les appareils sont conçus avec des matériaux et une technologie particulière qui permet justement de relever ce défi. Merci d’avance pour le temps que tu accorderas à cette demande.
Le revêtement argent sur l’Hasselblad n’a probablement pas été sélectionné par hasard. Contrairement à ce qu’avait arbitrairement et péremptoirement affirmé michel amrn, non seulement l’argent réfléchit la lumière, mais surtout, pendant les périodes froides, il diminue d’un facteur 50 les pertes de chaleur par rayonnement infrarouge. Et comme d’autre part il n’y a pas de convection, et peu de conduction...
Parce que, à ces températures sub-zero, la longeur d’onde centrale du spectre d’émission est supérieure à 10 microns (1), et donc la courbe d’émissivité de l’argent nous indique que l’argent rayonne 50 fois moins d’infrarouges qu’un corps noir (2).
Voir ce pdf publié par un professionnel de la mesure des infrarouges et des températures :
https://www.optris.fr/thermometres-...
(1) En haut à droite de la page 4 du pdf
(2) En bas à gauche de la page 10 du pdf
D’autre part, une chambre à vide pouvant contenir un Hasselblad, et réfrigérée à -100°C, ce n’est pas un appareil de laboratoire extraordinaire. Autrement dit, ils ont pu facilement expérimenter longuement jusqu’à avoir trouvé les solutions de tous les problèmes.
De plus l’aventure spatiale est au minimum une exceptionnelle opération publicitaire pour hasselblad, Aucune raison d’en partager le monopole avec les concurrents ! Donc a priori hasselblad aura gardé pour lui les secrets techniques les plus valables. Car si l’utilisation du revêtement argent n’est pas cachée, c’est surement parce qu’elle est une évidence pour les spécialistes. Mais quant aux informations qui résultèrent du travail d’expérimentation et que personne d’autre ne connait...
C’est d’ailleurs pareil pour la NASA, comme dans tout l’univers de la recherche publique, d’ailleurs. On n’offre jamais la totalité de ses trucs et recettes gratuitement à qui en veut. On distribue les infos qu’il faut pour assurer sa crédibilité, sa notoriété, ses publications, et on conserve ce qu’il faut pour conserver son avantage sur la concurrence, et avoir du biscuit à proposer pour monter une collaboration..
Donc lorsque ici ou là, on n’arrive pas à comprendre "comment ils ont réussi à faire cette chose", cela ne constitue pas "la preuve de la supercherie" comme si on avait automatiquement prouvé que cette chose était impossible à faire...
@JP
Donc lorsque ici ou là, on n’arrive pas à comprendre "comment ils ont réussi à faire cette chose", cela ne constitue pas "la preuve de la supercherie" comme si on avait automatiquement prouvé que cette chose était impossible à faire...
Totalement, mais à l’inverse, quand il existe des conditions particulièrement rudes, reconnues par la version officielle, et qu’il n’existe pas véritablement de détails qui permettent d’expliquer comment ces conditions ont pu être maîtrisées, l’opacité rend la chose douteuse.
Et je parles de cette question d’appareil photo qui fait couler encore beaucoup d’encre. A la rigueur, si on considère Hasselblad comme une entreprise commerciale privée et qu’elle ne souhait pas dévoiler ses secrets de fabrications. Il existe toujours la possibilité de breveter l’invention (donc avec les brevets consultables).
Après je dis ça, il est possible qu’il existe des informations officielles sur le sujet, autre que des conjectures - qu’elles aillent dans un sens ou dans l’autre. De ce que j’ai lu sur le sujet ça reste très évasif, et on se contente de dire que malgré les conditions, le matériel a fonctionné pratiquement sans modifications. C’est flou, plus flou que les photos d’ailleurs ;)
La NASA déplore les effets dont elle alimente les causes. Quand on s’intéresse à ces missions, la première chose qui saute aux yeux, c’est que c’est pire qu’une chasse aux trésors. Rien qu’au niveau de la NASA, il existe des centaines de sous-domaines (sites internet) qui diffusent partiellement des informations sur ces missions.
Et lorsqu’on creuse, on creuse, on creuse, on ne touche jamais le fond.
Rien qu’au niveau de la NASA, il existe des centaines de sous-domaines (sites internet) qui diffusent partiellement des informations sur ces missions.
Et lorsqu’on creuse, on creuse, on creuse, on ne touche jamais le fond.
Justement, je me souviens d’une citation d’un de leurs anciens ingénieurs, selon laquelle la création du Boeing747 était un exploit supérieur au leur. A cause de la contrainte de coût, plus celle de sécurité quasi-totale, il y aurait une quantité plus grande de challenges et de détails à gérer. Donc là aussi, la complexité du bidule est énorme, avec des millions de boulons, de trucs et de machins. Si on a besoin de s’expliquer comment c’est techniquement possible, on tombera rapidement sur des questions sans réponses. Or le 747 existe, donc les questions sans réponses ne sont pas dramatiques, elles ne sont que la conséquence normale de la complexité.
Je pense qu’il faut vraiment se focaliser sur les détails dont il existe des vraies raisons (autre que l’incompréhension) de penser qu’ils sont impossibles. C’est pour cela que par exemple, j’avais envie de vérifier la présence d’électro-vannes sur les fusées de contrôle. Car si elles n’existaient pas, alors les mouvements saccadés mais précis du LEM étaient matériellement quasi-impossibles.
Cela étant dit, mon avis est qu’il faut se fixer un nombre limite de tentatives ; On choisira 2 si on est fumiste, ou 20 si on est tétu de chez tétu, mais passé le seuil qu’on s’est fixé, on doit se dire à soi-même :
"J’ai fait X tentatives, chaque preuve d’impossibilité que j’ai cru tenir s’est finalement désintégrée, chaque vérification, lorsque j’ai pu la réaliser, n’a rien révélé d’anormal. C’est déjà arrivé X fois, et il n’y a pas eu d’exception, comme si ce n’était pas l’effet de la malchance mais de l’impossibilité qu’il arrive autre chose.
Et inversement, s’il y avait un complot, j’aurais du réussir au moins une de mes X tentatives.
Donc le plus probable est qu’il n’y avait pas de complot"
"Et tant pis pour les nombreuses questions et vérifications encore faisables, car il est trop probable qu’elles échoueront comme les précédentes"
Sinon, comme tu disais, tu creuses sans jamais toucher le fond
@JP
Justement, je me souviens d’une citation d’un de leurs anciens ingénieurs, selon laquelle la création du Boeing747 était un exploit supérieur au leur.
OK. Mais le Boeing c’est la résultante d’un longue, très longue histoire de l’aéronautique (si on remonte aux expérimentations de Leonard de Vinci). C’est ce qui différencie un projet comme celui du Boeing et celui d’Apollo. Il y avait un certain nombre de contraintes qui pouvaient être testées parce que l’environnement était atmosphérique.
Car si elles n’existaient pas, alors les mouvements saccadés mais précis du LEM étaient matériellement quasi-impossibles.
C’est vrai, mais ça n’explique pas pourquoi ce mouvement "saccadé" n’existe plus dans la vidéo prise du module de commande lors de la remontée, mais uniquement à proximité afin de se positionner correctement pour la remontée. Après, il s’agit peut être d’un question de trajectoire. La vidéo du LEM qui "vacille" correspond peut être à une première phase de mise en orbite lunaire, et que la vidéo qui montre la rotation/translation est "la suite" qui correspond à la réunion des appareils. Il y a toujours des explications, mais tant quelle se basent sur du présupposé ça ne constitue pas une explication valable.
mon avis est qu’il faut se fixer un nombre limite de tentatives [...] Donc le plus probable est qu’il n’y avait pas de complot
En tant qu’informaticien, c’est une logique qui m’est étrangère. J’ai travaillé sur des projets où le taux d’échecs était conséquent. Mais à chaque itération du "refactoring" (réusinage), c’était un pas de plus vers la solution finale. Si nous avions déterminé à la base qu’à un certain nombre d’échecs on aurait considéré le projet infaisable alors nombre d’idées et d’améliorations des logiciels sur lequel je travaillait n’auraient jamais vu le jour.
Et tant pis pour les nombreuses questions et vérifications encore faisables, car il est trop probable qu’elles échoueront comme les précédentes.
Probablement. Mais soyons clair, ça ne m’empêchera pas de dormir et d’avoir le sommeil du bien heureux. Je regarderais la question des ombres dès que j’aurais un peu de temps pour me pencher sur le sujet, et encore, j’envisage ça dans une optique d’optimiser mon "temps de vie". Je compte finalement me pencher sur la question du plugin astronomique pour C4D afin de pouvoir le vendre et rentabiliser le temps passé dessus (surtout si c’est à peine perdue et que ça confirme la version officielle).
C’est ce qui différencie un projet comme celui du Boeing et celui d’Apollo. Il y avait un certain nombre de contraintes qui pouvaient être testées parce que l’environnement était atmosphérique.
cf https://fr.wikipedia.org/wiki/Sorti...
etre en combi dans le vide ça se faisait en 65 (et en orbite, filant à 20 000km/h, je préférerais avoir les deux pieds posés sur le sol lunaire)
d’autre part les chambres à vide existent. Tout était testable.
Le 747, ce n’est que 70 ans de développement cumulé, depuis les frères wright.
Appolo, depuis 1940 et Von Braun, a cumulé une trentaine d’années. mais en réalité la seule vraie invention c’est le moteur de Von Braun. Tout le reste n’est que l’adptation de technologies que l’on maitrise déjà, à des conditions qu’on n’avait jamais eu l’occasion de rencontrer avant le moteur fusée.
Si nous avions déterminé à la base qu’à un certain nombre d’échecs on aurait considéré le projet infaisable alors nombre d’idées et d’améliorations des logiciels sur lequel je travaillait n’auraient jamais vu le jour.
Sauf que ce n’est pas la même question. Là, tes chances de réussite augmentent a priori lors de chaque nouvelle tentative, car tu capitalises néanmoins le travail antérieur et les leçons de l’échec précédent ; Ensuite ton équation principale, c’est le cout cumulé des tentatives versus le bénéfice escompté de la réussite. En réalité, il y a une limite aux tentatives qui s’impose d’elle-même.
Mais s’il s’agit de trouver la preuve de la supercherie appollo, l’équation est différente.
A chaque nouvelle tentative, c’est à dire après un échec supplémentaire, tes chances de réussir ont diminué, parce que la probabilité qu’il n’y avait pas de supercherie a augmenté en conséquence du dernier échec.
Comme il n’y a pas d’autre coût que le temps, et comme il y a dix mille questions possibles, tu pourrais continuer de chercher la preuve de la supercherie même lorsque elle sera devenue une hypothèse dont la probabilité est tombée à pratiquement 0% à cause du nombre de tentatives ratées
Alors posons la limite autrement que "à partir de X tentatives échouées, il faut renoncer"
Disons plutôt "si l’hypothèse que je voudrais valider, il lui reste moins de Y% de probabilité d’être vraie, il faut renoncer".
pour toi, combien vaut Y% ?
Merci de votre mépris. Le neuneu que je suis s amusait de vos sophismes.
Alors amusez vous encore en nous expliquant votre logique de :
dans votre 1ère phrase, se plaindre d’avoir subit un mépris de ma part
dans votre 2me phrase, se vanter de vous être amusé de moi juste antérieurement
La plupart des gens y voient juste l’incapacité à percevoir une relation logique évidente :
il y a souvent une équivalence entre la manière dont on est traité, et la manière dont on vient de se comporter.
Donc, en d’autres termes : Vous vous plaignez des effets dont vous vous vantez d’avoir chéri les causes.
Sur le fond, vous continuez les mêmes jokers (procédé du joker, que bien sur vous me reprochez à tort) les sarcasmes qui simulent l’annulation de mes arguments ; ils tiennent pourtant debout, puisque vous n’y opposez que votre certitude entêtée.
Cette certitude orgueilleuse donne encore à penser que votre difficulté à apprécier la logique est complémentée par une faible capacité à s’interroger sur ses possibles erreurs. Les deux se renforçant mutuellement dans un cercle vicieux, du genre dont on ne peut sortir qu’après avoir pris conscience de ses limitations. Car, comment pourrait-on progresser sans jamais voir ses erreurs ? Essayez donc de programmer sans jamais débugger !
Pour le peu d’arguments concrets que vous avancez, ils reposent encore sur votre ignorance de la réalité :
il n’y a jamais eu de série de 6 succès, juste 2/3 de réussites. Appolo13 a échoué, vous le saviez. Cette amnésie révèle votre bonne foi. Appolo 14 a plusieurs fois frôlé l’échec. (retournement du module, radar d’alunissage, but final non atteint. cf youtube
raisonnement infantile par analogie, en plaquant sans aucune raison la loi de moore sur le spatial.
le progrès technique réel est faible ; cf com 2264230
les US sont en décadence économique et technique
les rayons gamma ne concernent pas l’espace et la lune de la manière que vous croyez. Sinon, comment ferait la station spatiale internationale sans les épaisseurs de béton armé pour se protéger ? Et ses astronautes qui sortent en combi dans le vide ?
Manifestement l hypothèse d’une imposture d Etat est au dessus de votre entendement.
Avoir une hypothèse est à la portée des imbéciles. C’est uniquement de sa démonstration ou sa réfutation qu’on pourrait se vanter. Vous en êtes encore très loin. Et c’est juste mon métier.
Par contre, je vous conseille Wikipédia (oui oui) pour avoir un bon résumé et une bonne vision des programmes de la NASA. N’hésitez pas à consulter les renvois vers des notions astronomiques, les concepteurs du LEM, les autres programmes en cours, la conception des fusées etc...
On y a la confirmation que tous les sites d’alunissage ont été cartographiés par l’envoi de sondes. Il existe des milliers de photos (peut-être jamais montrées).
Concernant les vents solaires et radiations, peu d’informations sur la résolution de ce problème (on est surpris !).
On y apprend aussi que le programme d’origine est bien d’origine militaire. Donc pour la controverse de la situation de la NASA, c’est un peu comme pour tout chez les américains( cf internet, Google...), il y a la facade grand public avec les paillettes, et les coulisses, où évidement la règle c’est de fermer sa gueule et d’obéir (y compris pour les astronautes).
Bref, lisez wikipédia et comparer avec le discours officiel. On peut trouver des zones d’ombres, des difficultés occultées ou contournées comme par magie, des choix techniques contradictoires d’un paragraphe à l’autre, notamment le taux de fiabilité demandé par la NASA et la réalité de déroulement du programme...
Je suis allé lire aussi le récit du programme de la navette spatiale, intéressant à comparer sur certains aspects : impossibilité de respecter le programme, les délais, de maintenir un niveau de fiabilité suffisant, bien que les missions et le programme aient été nettement moins ambitieux qu’Apollo.
On comprend mieux que les Russes aient jeté l’éponge rapidement devant ce gouffre et que les autres n’aient même pas cherché à pousser de programme spatial.
Il faut dire que 50 ans après la jeep lunaire, le maximum qu’on puisse faire, c’est d’envoyer des petites voitures faire 100m avant de tomber en panne. Quelle misère.
Ah oui, cette lecture m’a permis d’attirer mon attention sur le fait que les LEM des différentes missions se sont tous écrasés sur la Lune après le redécollage, ainsi que d’autres sondes d’explorations. Il doit y avoir de quoi visiter, si vous voyez ce que je veux dire. Et aussi : pourquoi on peut envoyer des sondes au confins de notre galaxie, faire fonctionner des satellites pendant des années mais qu’on est pas fichu d’en faire alunir une et de la faire redécoller pour rentrer sur Terre ? J’ignore peut-être qu’on l’a déjà fait, dans ce cas, pardonnez mon ignorance.
Pour ce qui est d’envoyer des sondes aux confins de la galaxie, vous vous avancez un peu ! Il n’y a à l’heure actuelle que cinq sondes voguant vers les seuls confins du système solaire, et nous en sommes tout juste à passer l’héliopause...nous n’avons même pas encore quitté le petit bain de la piscine, et encore en y envoyant des jouets au lieu d’y nager par nous-mêmes.
Par contre pour vous répondre, la différence entre des objets flottant dans le vide et faire atterrir une sonde sur un corps stellaire, c’est justement le risque de se manger ledit corps stellaire si quelque chose se passe mal. Et puis il faut encore gérer le redécollage.
De plus, il est inutile pour une sonde d’exploration de revenir physiquement sur Terre, puisqu’elle peut transmettre ses informations à distance... tout l’intérêt de la chose réside là, d’ailleurs.
@The Médiavengers Zionist War
Vous avez complètement raison d’utiliser Wikipedia, ou autres sites officiels (je fais pareil, sur les bons conseils de Lucien Cerise que je remercie au passage) et d’y faire référence, au moins les déboulonneurs ne pourront pas nous taxer de paresse intellectuelle nous reprochant de nous abreuver à la source de sites conspirationnistes .
D’ailleurs je trouve que le questionnement est plus sain car il stimule l’intellect ,pour moi la paresse intellectuelle c’est quand on prend tout pour argent comptant qu’on arrête de réfléchir .
Pour finir, un truc qui m’a toujours chiffonné : pourquoi n’ont ils pas envoyés plus de cobayes (animaux) ,pour préparer les missions Apollo avant d’envoyer des humains .Je crois que les américains ont envoyé un singe ("Sam" RIP) en tout et pour tout ...
le prénom du singe s’était "Ham" et j’oubliais le petit "Enos" .Deux héros US méconnus de la conquête spatiale
@ REM
Merci de me confirmer qu’il y a un (grand) pas pour l’homme entre le fait de rester en orbite basse, envoyer une "simple" sonde, envoyer des hommes sur la Lune et les ramener, explorer la galaxie. Parce qu’avec Apollo, on dirait que ça passe comme une lettre à la Poste.
L’intérêt d’envoyer une sonde et de la faire revenir est immense. Tester différents systèmes, les trajectoires et décollages, la possibilité d’établir un "pont" entres les planètes (imaginez des balises-outils et stations de ravitaillements permettant d’éviter des lancements hors-de-prix, et j’en passe), envoyer des organismes vivants et les ramener pour les étudier.
Bref, aujourd’hui, on voudrait presque nous faire croire que l’exploration spatiale se limite à cette sorte de tourisme de ramassage de cailloux et l’envoi de sondes qui prennent des photos. Etant donné l’état de la planète (d’après ce qu’on nous dit tout aussi officiellement), ce serait peut-être pas mal d’envisager d’en coloniser une autre rapidement...
Bref, en 50 ans, l’informatique a pris une place essentielle, la miniaturisation a été exponentielle, les matériaux composites se sont multipliés, les transports par magnétisme et les véhicules électriques se démoncratisent (donc les coûts baissent), la robotique, je ne vous en parle même pas.
Qu’est-ce qu’ils attendent ? Que la Lune se décroche toute seule ?
L’intérêt d’aller sur Mars est complètement inutile quand on fait ce constat. Pourquoi se créer des problèmes supplémentaires ?
De plus, il est inutile pour une sonde d’exploration de revenir physiquement sur Terre, puisqu’elle peut transmettre ses informations à distance... tout l’intérêt de la chose réside là, d’ailleurs.
Dans la mesure où lorsqu’une sonde se retrouve à une telle distance, quelle est la probabilité qu’un signal émit sans redondance soit bloqué par un astre ou un astéroïde, voire détérioré tout ou partie par du plasma solaire (https://tinyurl.com/y6tfrumo). Par exemple, lorsqu’une sonde est du côté de la face cachée de la Lune, le signal subit un "black-out".
Et juste une question par rapport à la navigation spatiale. Lorsque qu’un objet, imaginons une mission habitée vers Mars, se retrouve à mi-distance entre la Terre et Mars, c’est à dire qu’elle n’est plus dans le champ de gravité de ces objets, et se situe dans un environnement totalement vide ou rien ne bouge (le fond distant étant l’espace étoilé), quel est le principe mécanique qui permet de conserver une trajectoire parfaite.
A une telle distance, une simple erreur se transforme rapidement en distance considérable. Et comment rester sur le plan de l’écliptique parce qu’en fin de compte, catapulter un objet en orbite sur un plan c’est bien, mais l’espace est tridimensionnel.
Ce genre de question me laisse aussi dubitatif que la miniaturisation de dizaine de milliards de transistors dans un CPU de 3 centimètres carré. J’ai beau regarder les vidéos d’Intel qui schématisent, ça reste pour moi de la magie à ce niveau de technologie.
un (grand) pas pour l’homme entre le fait de rester en orbite basse, envoyer une "simple" sonde, envoyer des hommes sur la Lune et les ramener, explorer la galaxie.
Et ce n’est donc pas par hasard si (à la louche) sur la masse expédiée vers la lune, un tiers seulement y atterrira ; de celle-ci, un tiers seulement en redécollera, mais elle ne reviendra pas sur terre, sauf 2 fois 80 kg de bonhommes qui seront la seule masse à avoir fait le voyage complet. Certes on pourrait ajouter au bilan 10 kg de cailloux ramenés.
Comparant ces 190 kilos aux 30 millions de kilos au décollage du bidule employé, le pourcentage de charge utile est de 0,0006%. La masse inutile représente 99,9994%
Parce qu’avec Apollo, on dirait que ça passe comme une lettre à la Poste.
Ça, c’est le point de vue des journalistes. Mais vous savez bien qu’ils y connaissent rien. Le point de vue de la fédération professionnelle des postiers, comme celui de toutes les fédérations professionnelles de transporteurs, c’est que compte tenu des chiffres précédents, le bilan de la mission Appolo est épouvantablement médiocre. Et sans même considérer le prix, littéralement astronomique.
Donc, ce qui a été fait c’est juste de quoi pouvoir clamer qu’ils l’avaient fait. Concrètement, ce n’est qu’un coup de com et un gigantesque gaspillage sans résultat concret valable.
Le bond par rapport à la technologie ordinaire est du même ordre que le bond par rapport à sa condition ordinaire que réaliserait un smicard qui parviendrait à conduire une Rolls- Royce, qu’il aurait louée une heure en y claquant un tiers de son budget annuel. Sur le moment, ses potes écarquilleront les yeux, un peu incrédules, s’il ne précise pas les détails de l’affaire... Et pourtant la réalité est qu’il a roulé comme un milliardaire. C’était faisable. Ce qui n’était pas faisable, c’est devenir un vrai milliardaire.
Autrement dit, Appolo c’est du faux dans le sens où concrètement ce n’est qu’un gigantesque coup de com. Mais c’est justement parce que ce n’était rien d’autre que c’était techniquement faisable.
@JP
Autrement dit, Appolo c’est du faux dans le sens où concrètement ce n’est qu’un gigantesque coup de com. Mais c’est justement parce que ce n’était rien d’autre que c’était techniquement faisable.
Ma foi, c’est là un raisonnement étonnant. Déjà de résumer Apollo à un coup de com. Quoique tu n’as tout à fait tort dans le sens où la NASA a pendant un bon moment "vendu l’espace" à des fins commerciales. On se souvient de cette fameuse photo : https://tinyurl.com/y3qexk2o
Par contre, le raisonnement sur l’aspect technique réalisable c’est discutable. C’est d’ailleurs le même raisonnement qui dit que c’est parce que c’est un "coup de com" que c’est un hoax et que les aspects les plus délicats ont été réalisés sur terre afin de se garantir que le "coup de com" ne se transforme pas en "bad-buzz" comme on dit de nos jours.
@wtf je trouve que le risque de "badd buzz" n’est pas correctement estimé par les tenants du hoax. Le risque que le hoax soit éventé n’aurait pas été négligeable et les conséquences catastrophiques. Aujourd’hui un tel scandale serait "un de plus", mais à l’époque ?
Et quant aux risques de bad buzz d’une mission Appolo qui n’aurait pas été bidonnée ?
Je vois pas lesquels. On projette sur l’époque des craintes de bad buzz qui sont anachroniques.
Je rappelle certaines des premières tentatives ont été très brèves mais intenses, et se sont résumées en un grand méchoui d’astronautes. Ca n’a fait aucun scandale réel dans le public à l’époque ; Il était admis que c’était expérimental et dangereux. En 1969 le système était en plus relativement sécurisé, l’éventuelle catastrophe la plus plausible était de revenir vivant en ayant avorté la mission ; Mais objectivement les éventuelles tentatives ratées devaient tôt ou tard déboucher sur la tentative réussie
JP
Les risques de découvertes de l imposture etaient très faibles. On ne mesure pas la candeur du public de l epoque, fasciné par la modernité, les images . J avais 8 ans et tout le monde autour de moi etait béat d admiration. L’idée d un etat occidental capable d un tel mensonge ne pouvait venir à l esprit que très tres très peu de gens, sans grand moyen pour communiquer leurs doutes.
Depuis il y a eu le 11 Septembre, et internet. On sait ce qu est le deep state...
@JP
Je rappelle certaines des premières tentatives ont été très brèves mais intenses, et se sont résumées en un grand méchoui d’astronautes.
L’audio est violent, le hurlement glaçant. Note quand même que psychologiquement, des astronautes en méchouis sur terre n’est pas directement comparable à des astronautes, par exemple vivant, mais bloqués sur la Lune et voués à l’asphyxie. Voir une version Apollo 13 qui va jusqu’au bout et où les mecs dérivent dans l’espace. Il y a ce petit côté monde inconnu et ténébreux.
On projette sur l’époque des craintes de bad buzz qui sont anachroniques.
En quoi c’est anachronique à part en terme de sémantique (buzz) ? Je te rappelle moi aussi qu’à la base c’est la course à l’espace. Un raté n’est pas envisageable en terme de politique extérieure. C’est d’ailleurs justement cet importance capitale (cf. discours de Kennedy qui lance le projet) qui fait que des théories sont apparues sur le trucage de photos en studio.
L’audio est violent, le hurlement glaçant.
Tu parles surement des navettes ; je parlais des premières tentatives ; Au début, ou avant, Appolo. Ces morts n’ont pas empéché la poursuite des tentatives. Le public comprenait que c’était dangereux et incertain.
Les missions appolo auraient bien pu échouer une fois sur deux sans que ça paraisse scandaleux. C’était toujours mieux que les 80% d’échecs des programmes pré-Appolo.
Ce qui aurait fait scandale c’est que malgré les coûts et les morts le programme n’avance pas et que la réussite soit repoussée indéfiniment. Mais une fois passé des débuts calamiteux, le programme appolo n’a jamais semblé prendre cette voie là.
L’explosion des navettes, c’est une autre époque. L’état d’esprit est différent, car :
1) les causes sont des erreurs impardonnables
2) la nasa avait fait croire que c’était comme un avion de ligne, tellement sur qu’on y envoie une instit !
3) et le public avait fini par croire cela, alors que c’est impossible. Une fusée spatiale restera toujours une énorme bombe dont on prétend ralentir l’explosion afin qu’elle dure 3 minutes ; raison pour laquelle il arrive encore qu’elles explosent pour une raison aussi bête qu’un joint de durite qui a laché (cas de la première navette explosée)
D’autre part, qui à l’époque aurait diffusé le bad buzz ?
Donc je reste sur ma conclusion que ce risque de bad buzz est un anachronisme.
@heloise
Il y avait aussi des incrédules à l’époque ; Pas les milliers de Colombo d’Internet (qui n’ont toujours rien trouvé), mais plus à la manière du bon sens paysan, mais ignorant de la technique, qui estime par principe que c’est impossible, point barre.
Bon, en fait je ne questionnais pas comme toi la capacité du public à voir la supercherie, mais la possibilité de faire une mise en scène sans aucun bug.
Car la mise en scène ce n’est pas que les scènes dans l’espace et sur la lune. C’est surtout des milliers d’heures sur Terre, et des milliers de gens qui doivent faire, plus ou moins, semblant, et/ou être manipulés. Et on aurait pas laissé un seul indice probant ? pas un seul bug ?
Rien que une minute de vol d’un 777 qui se termine sur le pentagone : la mise en scène est pleine de bugs énormes.
@wtf
quelle est la probabilité qu’un signal émit sans redondance soit bloqué par un astre ou un astéroïde,
D’après le wiki "masse de l’univers",
et en supposant que la matière solide aurait en général une densité de un, et en supposant que toute l’énergie s’est traduite en matière, et qu’il n’y a pas de matière gazeuse,
alors l’espace non-vide ne représente qu’un millionième d’un milliardième d’un milliardième du volume de l’univers. Et en réalité, encore moins que cela, car les conditions supra ne sont pas exactes.
Je ne garantis pas l’exactitude parfaite de mon raisonnement, mais il apparait certain que l’univers, ce n’est presque que du vide ; De plus, l’essentiel de la masse solide est dans les étoiles, un peu est dans les planêtes et très peu dans les astéroides.
Si l’on voit souvent des champs d’astéroïdes, c’est pour le suspense du film d’aventure hollywoodien ; mais dans l’espace réel, il y en a beaucoup moins..
Je comprends pas le problème de trajectoire entre Terre et Mars. S’agit-il d’éviter les déviations ? Tant qu’on ne touche à rien, on ne peut que continuer, par inertie, le mouvement en cours, de manière strictement identique.
S’agit-il de se repérer ? On peut toujours naviguer avec un sextant, quand tout le reste est en panne.
@JP
Si l’on voit souvent des champs d’astéroïdes, c’est pour le suspense du film d’aventure hollywoodien ; mais dans l’espace réel, il y en a beaucoup moins..
Tu élude la suite de ma phrase la plus conséquente, c’est à dire les radiations diverses (solaires, mais pas que). Et tu me parles de l’univers, alors que je parles du système solaire, avec au moins un obstacle récurrent et conséquent si on vise la terre : la Lune, 27% de la taille de la terre, cycle de 28 jours.
D’ailleurs ta question du vide me permet de rebondir sur la question de la navigation du LEM et de ses tuyères. Si vide il y a et qu’il est quasi-total, sur quoi s’appui le gaz qui s’échappe pour se mettre en mouvement ? Dans l’atmosphère, c’est la masse volumique de l’air qui sert d’appui. Mais dans le vide ?
Je comprends pas le problème de trajectoire entre Terre et Mars. S’agit-il d’éviter les déviations ? Tant qu’on ne touche à rien, on ne peut que continuer, par inertie, le mouvement en cours, de manière strictement identique. S’agit-il de se repérer ? On peut toujours naviguer avec un sextant, quand tout le reste est en panne.
Un sextant ? Malheureusement on n’est pas sur la terre (sphérique) où la position peut se déterminer avec la voûte céleste. Enfin, ça n’a pas empêché des navigateurs de se perdre.
Non là, on parle d’un voyage de six mois, donc à mi-chemin, 3 mois restant où durant cette période la destination bouge (d’où l’anticipation dans la trajectoire des sondes catapultées comme Voyager).
Dans l’espace, dans le vide donc, tu peux te déplacer pendant longtemps avant que le ciel étoilé commence à changer (de part la distance des objets). Donc, si tu n’as aucun point de repère ni visuel, ni gravitationnel, et qu’il t’arrive une couille. Genre une petite explosion à la Apollo 13 mais non critique (la mission peut continuer) et que ta trajectoire dévie même d’un millième de degré, sans voir ni la Terre, ni Mars, comment faire pour savoir où on est et vers quoi viser ?
Dans le module de commande Apollo, il y avait des graduations ( https://tinyurl.com/y4v6k55u - à 13mn49 ) qui permettaient une navigation a vue. C’est d’ailleurs ce qui a permis aux astronautes d’Apollo 13 de reprendre le contrôle après la roulis et se remettre sur la bonne trajectoire.
Dans le cas où rien n’est visible, et qu’un compas de navigation est en relation avec un objet et son champ gravitationnel voir magnétique ( https://tinyurl.com/y3z52l7d ), comment rétablir sa trajectoire ?
@JP
Tu parles surement des navettes ; je parlais des premières tentatives
Je parles d’Apollo 1 et de l’audio qu’ils se gardent bien de placer dans les documentaires officiels :
It’s
Let’s get out
Open’er up
We’ve got a bad fire
Let’s get out
We’re burning up
I’m getting out
AHHHHHHHHHHHHH
https://tinyurl.com/y4tjgsod - à partir de 1mn05 :
Je parles d’Apollo 1 et de l’audio qu’ils se gardent bien de placer dans les documentaires officiels
J’ignorais l’existence de cette bande audio. Mais justement, cela illustre bien que à l’époque des échecs épouvantables étaient gérables.
D’ailleurs, voir ici la multitude succession d’échecs antérieurs :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Progr...
On ne craignait donc pas le "bad buzz ingérable".
La seule chose qui n’aurait pas été acceptée par le public aurait été de ne jamais parvenir à dépasser les soviétiques.
Ils ont décidé de prendre ce risque.
Mais cette décision là ne demandait que la croyance collective en la supériorité naturelle du système américain sur le système bolchevico-satanico-socialo-communiste...
Juste mon avis, mais il était surement plus "risqué" pour un américain de vouloir questionner cette croyance collective et de préconiser l’évitement de la compétition.
Quant à préconiser la supercherie : les soviétiques la révéleraient forcément, car c’était alors leur victoire idéologique définitive par K.O. et ils ne se seraient donc pas retenus.
Notez que dans un contexte moins irrationnel-idéologique, les US ont préféré renoncer à la croyance en leur capacité à produire un engin supérieur au Concorde franco-britannique.
Dans l’espace, dans le vide donc, tu peux te déplacer pendant longtemps avant que le ciel étoilé commence à changer
Même si on a quitté la surface terrestre, on peut encore observer la voute céleste et mesurer des angles entre deux astres au moyen d’un sextant. C’est juste un peu plus plus compliqué de déterminer sa position, car il y a plus d’inconnues, donc plus d’équations et plus de mesures d’angles à faire. Et on ne subit plus les erreurs de mesure causées par l’atmosphère (*)
Certes, l’angle entre 2 astres très lointains ne varie pas assez. Mais on peut utiliser aussi tous les objets du système solaire.
D’ailleurs, je ne le savais pas, mais Gemini et Appolo avaient effectivement un sextant "en cas" https://www.youtube.com/watch?v=l6x...
Dans le module de commande Apollo, il y avait des graduations ( https://tinyurl.com/y4v6k55u - à 13mn49 ) qui permettaient une navigation a vue.
Rien ne permet de dire que ces graduations constituent le système de navigation (celui qui donne la localisation/position dans l’espace). Ca ressemble plus à un indicateur de l’orientation du véhicule. Il lui suffit d’être alimenté par la centrale inertielle (les gyroscopes).
On peut retrouver la même chose sur les avions.
la Lune, 27% de la taille de la terre
Oui mais presque 0% du volume concerné (disons la sphère qui contiendrait l’orbite de la lune, environ 30 fois plus grande que la terre).
Ce qui t’inquiètes, c’est au fond un phénomène assez similaire aux éclipses. Elles n’arrivent quand même pas souvent...
Si vide il y a et qu’il est quasi-total, sur quoi s’appui le gaz qui s’échappe pour se mettre en mouvement ? Dans l’atmosphère, c’est la masse volumique de l’air qui sert d’appui. Mais dans le vide ?
Ouh la, non, pas du tout. La force de réaction ne s’appuie que sur l’inertie de la matière éjectée (sa résistance aux modifications de sa vitesse). C’est comme le recul d’un canon, et l’appui sur l’atmosphère r n’y joue absolument aucun rôle.
C’est d’ailleurs la cause de la fréquente médiocrité du rendement par rapport à l’hélice qui s’appuie sur l’air, elle.
(*) réflexion générale : on croit que tout est systématiquement plus difficile à faire dans l’espace. En réalité, certaines taches sont facilitées. Par exemple, pour atterrir et décoller, les contraintes sur la terre sont plus dures que sur la lune.
@JP
Même si on a quitté la surface terrestre, on peut encore observer la voute céleste et mesurer des angles entre deux astres au moyen d’un sextant.
Sauf que sur la terre, en fonction de ton déplacement, et le déplacement de la voûte céleste (en fait la rotation de la terre), tu peux estimer ta position. Y compris car tu as un horizon.
Dans l’espace, pas d’horizon, pas de déplacement de la voûte céleste (rotation de la terre). On en revient à la question du fond distant sur les photos lunaires qui ne change pas malgré une position différente des astronautes, sauf qu’au niveau du système solaire le fond étoilé ne change pas à une échelle stellaire. Tu peux effectuer une mesure au sextant et faire 400.000 km dans le vide, tu pourras effectuer la même mesure. Seule l’orientation (la direction vers laquelle tu vise) peut se déterminer mais si tu ne sais plus exactement où tu est, difficile de savoir vers quoi tu te déplace (taille des planètes distantes). La seule chose serait d’avoir un télescope électronique qui scanne le ciel pour "trouver" la planète cible, la planète d’origine, le soleil et extrapoler par calcul.
Rien ne permet de dire que ces graduations constituent le système de navigation
Mais la graduation si elle est là c’est qu’elle sert quelque part dans une ou l’autre des manœuvres.
un phénomène assez similaire aux éclipses. Elles n’arrivent quand même pas souvent...
Dans le premier lien que je t’ai mis, on parle bien de dégradation du signal radio et en particulier par rapport au éruptions solaires. Les objets (obstacles) en soit ne sont pas réellement le cœur du questionnement.
Ouh la, non, pas du tout. La force de réaction ne s’appuie que sur l’inertie de la matière éjectée
C’est bien tu suis. Tu crois sincèrement que je doutais de cette question alors que dans un fil de discussion précédent on a acté ensemble la question de la propulsion du LEM dans l’espace. J’accepte être traité de complotiste, mais pas de schyzophrène ;) Je voulais savoir comment tu réagirais, et comment tu considérais nos discussions.
on croit que tout est systématiquement plus difficile à faire dans l’espace. [...], les contraintes sur la terre sont plus dures que sur la lune.
Totalement d’accord. Cependant, si la navigation et le déplacement longue distance était si aisé, il ne faudrait pas 1/2 siècle pour réitérer un tel exploit. Et encore plus pour aller sur Mars.
Dans l’espace, pas d’horizon, pas de déplacement de la voûte [...]
Lorsque l’estimation, l’horizon, l’orientation etc... sont aussi utilisés, ce n’est que pour des raisons pratiques, mais on peut faire sans. Le principe du point par sextant repose en réalité uniquement sur l’extrême précision de la mesure d’angles, et rien d’autre.(cf "point par arcs capables")
Tu peux acheter chez un shipchandler un sextant en plastoque, qui pour 200€ fait déjà une mesure d’angle précise au centième de degré. J’en ai un, personnellement testé en mer.
au niveau du système solaire le fond étoilé ne change pas à une échelle stellaire. Tu peux [..] faire 400.000 km dans le vide, tu pourras effectuer la même mesure.
Si on se déplace à l’intérieur du système solaire, je répète qu’on peut mesurer les planètes.
Certes, plus on est loin de tout, moins on aura un point précis. Mais justement, on a pas vraiment besoin d’une grande précision à ce moment là. Avant le GPS, on se débrouillait très bien au milieu de l’océan avec une erreur de position d’1 ou 2 km.
Mais la graduation si elle est là c’est qu’elle sert quelque part dans une ou l’autre des manœuvres.
Oui, comme en avion, c’est utile, pour ne pas dire indispensable, pour connaitre de manière non pifométrique son orientation et sa vitesse de rotation dans les trois axes.
Dans le premier lien que je t’ai mis, on parle bien de dégradation du signal radio et en particulier par rapport au éruptions solaires.
J’y connais rien. Mais je crois que ça peut autant affecter les communications des satellites actuels. Apparemment on fait avec.
[force de réaction] Tu crois sincèrement que je doutais de cette question
Dans un 1er post, pas passé, ma réponse étonnée était :
"Vu nos conversations antérieures, je suis surpris d’une telle erreur. La force de [etc..]"
Cependant, si [..] longue distance était si aisé, il ne faudrait pas 1/2 siècle pour réitérer un tel exploit
C’était aisé dans le sens où tous les problèmes ont pu trouver leur solution, grâce à ces 2 jokers :
on a nié la question des coûts, 1/20ème du budget public national !
on a nié la question des bénéfices réels possibles
Pas un hasard, si la nation qui a réussi ne se distinguait des autres pas par son intelligence, mais par sa richesse et son gaspillage.
Puis le réel revint.
Et alors le spatial se limita au cheap ou au rentable...
@JP
Au départ, créer tout à partir de zéro est extrêmement coûteux, puis les coûts de développement s’amoindrissent avec le nombre de missions et les progrès réalisés. Donc je ne pense pas que la question du coût soit valable pour justifier l’incapacité des ingénieurs de la NASA ou de la Chine d’envoyer un homme sur la Lune au XXIe siècle.
Pour se justifier, la NASA affirme que toute la technologie nécessaire, acquise au XXe siècle, a été perdue dans un incendie. C’est tout de même un peu gros...
@Titus
Ça coute toujours la peau du c... d’envoyer des tonnes en orbite. C’est la faute à la physique, et les alternatives à la fusée classique n’ont encore rien donné
Les développements sont amortis, on pourrait croire... sauf que :
Appolo n’a jamais été l’engin qui possédait en soi le pouvoir de se balader dans l’espace, mais juste un truc adapté dans ses moindres boulons à un programme précis.
Le LEM :
ne pourrait amener l’équipage jusque Mars
se vautrerait à l’atterro
saurait pas redécoller
Faut presque tout modifier. Mon avis est qu’on repartira d’une feuille quasi-blanche. On réutilisera juste ce qui, par chance, a pas trop besoin d’être modifié.
99% du temps de développement, ce n’est pas inventer un nouveau bidule ; C’est adapter des solutions connues aux nouvelles conditions, afin que ça marche quand même. Puis les fiabiliser.
C’était déjà ainsi lors d’Appolo. La seule création géniale était celle de Von braun, le moteur-fusée du V2.
Or Mars, c’est une mini-colonie. Repartir après 24 heures, comme Appolo, est idiot après des mois de voyage. Est-ce même possible (fenêtre de tir) ?.
Donc c’est 50000 problèmes annexes à résoudre, dont la solution ne prendra en général que 3 minutes pour être imaginée, mais des mois pour être réalisée et fiabilisée (Si cette 1ère idée ne rencontre pas d’obstacle irrémédiable).
WTF, parlant de la programmation, citait l’idée si simple qu’elle méritait 3 heures, et finalement prend 3 mois. C’est pareil.
Donc Mars coutera au moins ce qu’avait couté la Lune (et les bénéfices aussi nuls). Entre temps, la nation la plus riche de la Terre est tombée en faillite virtuelle.
J’ignorais l’incendie. La source de l’info, c’est la NASA ?
Il se peut qu’en réalité la NASA n’a tout simplement plus du tout le niveau d’excellence de l’époque. Si on juge en profondeur l’affaire du Boeing 737MAX, on voit que la disparition des compétences n’a pas besoin d’incendie (et le F35, le Gerald Ford, le Zumwalt, et rien qu’hier https://thehill.com/policy/defense/...
C’est con, car le vrai héritage d’Appolo n’était pas les bidules X ou Y. Ça aurait pu être l’expérience qui évite de s’égarer comme un débutant dans des mauvaises solutions à des problèmes mal identifiés.
Les chinois le feront ; ils ne manquent pas d’ingénieurs, eux. Chaque année, ils en produisent autant qu’il y en a en France.
JP
Faut vite vous faire embaucher par la NASA. Avec vous, tout est simple : le vide évite beaucoup de problèmes, l absence de pression idem, un appareil photo en blanc et hop, plus de problèmes de temperature ; une fine pellicule photo en polyester grille sur la plage arriere d une voiture ou au passage d’un portique d aéroport mais bien sûr ne subit aucune altération sur la lune (ah ah)...Faire une fusée et un véhicule spatial c est moins complexe qu un Boeing...
Vraiment ecrivez à la Nasa pour les aider. Ça fait près de 50 ans qu ils ne savent plus quitter la banlieue de la terre, et misère de misère qu ils passent par une fusée russe pour envoyer leurs astronautes en orbite...
Faut vite vous faire embaucher par la NASA.
Hum, si l’intervention commence par s’aider d’un sarcasme, on peut déjà s’interroger sur la consistance des arguments qui suivront après.
La NASA sait ce que je sais et 100 fois plus ; Il fallait suivre le fil pour connaitre les raisons plausibles de son incapacité actuelle.
Avec vous, tout est simple : le vide évite beaucoup de problèmes, l absence de pression idem,
Mais de quoi parlez vous ? Il y aurait une différence entre "vide" et "absence de pression" ? Ou c’est juste un problème de rédaction ?
Quoiqu’il en soit, apprenez aussi à lire en restant honnête. Ne déformez pas mes propos :
je n’ai jamais dit "le vide évite beaucoup de problèmes".
mais juste "on ne subit plus les erreurs de mesure causées par l’atmosphère " à propos de l’usage du sextant dans l’espace.
un appareil photo en blanc et hop, plus de problèmes de température ;
Commencez par faire attention : pas blanc mais argent. J’ai donné les courbes pertinentes. Montrez vos chiffres au lieu de faire le petit clown.
une fine pellicule photo en polyester grille sur la plage arriere d une voiture ou au passage d’un portique d aéroport mais bien sûr ne subit aucune altération sur la lune (ah ah).
Savez vous seulement quelle température abime une pellicule ? Quels rayons sont émis par le portique d’aéroport ? En quoi l’hasselblad serait identique à votre appareil ? Argumentez donc au lieu de prétendre, sans aucune donnée à l’appui, que les conditions seraient identiques et les comparaisons valides ;
Mais comme vos mains sont vides, sauf d’analogies instinctives qui démontrent juste une méconnaissance des phénomènes physiques réels, il vous faut conclure le bavardage de shampooineuse par la touche finale, le ricanement de cancre.
..Faire une fusée et un véhicule spatial c est moins complexe qu un Boeing...
C’est comme ça. La cause en est la contrainte de sécurité et économie pour le 747. Si vous aviez suivi plutôt que ricané, vous auriez pu lire que ce n’était pas mon opinion, c’était celle d’un responsable du programme Appolo. Et apprenez que la moitié du développement du 747 était déjà fait en 1945, lorsque est sorti le B-29
Bref, votre humour était original et constructif. Votre contribution était irremplaçable, car vous êtes d’un niveau très au dessus des autres contradicteurs. Surtout dépêchez vous de revenir, vous illustrez parfaitement l’effet Dunning-Kruger
JP
Merci de votre mépris. Le neuneu que je suis s amusait de vos sophismes. Vous voulez avoir réponse à tout et lorsque vous etes coincé, vous sortez votre joker : on n a pas la solution et cela parait complètement incohérent ? secrets de fabrication !!
Variantes : on a perdu la recette ! Ou encore, c est trop cher pour réitérer l exploit !
Non seulement faut que vous alliez aider la NASA pour leur (re)donner les solutions mais faut aussi leur apprendre à ranger leurs papiers ; et accessoirement à avoir une gestion plus saine de l innovation, comme toute entreprise qui se respecte.
Car c est bêta tout de même : 6 missions réussies de façon remarquable, et pouf plus rien. On repart sur autre chose. Sans grand succès...
Et ceci alors que des progrès vertigineux intervenaient...vous connaissez la loi de Moore qui s’est vérifiée ces 50 dernières années n est ce pas ? (ok ça ralentit maintenant ...mais tout de même...sur la base d une solution éprouvée 6 fois, ça aurait pu aider à ameliorer/simplifier/optimiser les process dans les années 70/80/90 ?).
Bon, à part ça, pour repondre à votre question sur les portiques d aéroport : ce sont les rayons x qui posent problème. Sur la lune et dans l espace il y a notamment les rayons gamma. Ce qu en dit Wikipedia (parmi d autres sources) :
" Si les rayons gamma sont moins ionisants que les rayons alpha ou bêta, ils demandent des épaisseurs de blindage beaucoup plus importantes pour s’en protéger (de l’ordre de quelques mètres d’épaisseur de béton armé). Ils peuvent produire des dégâts similaires à ceux produits par les rayons X et les autres rayonnements ionisants, tels que brûlures (effet déterministe), cancers et mutations génétiques (effets stochastiques)."
Donc Hasselblad ou la nasa ont trouvé la parade pour qu un petit appareil photo et/ou une pellicule photo en polyester soient protégés de ce rayonnement (entre autres rayonnements !). Fascinant. Quel dommage qu ils n aient pas trouvé le moindre débouché industriel pour notre vieille terre : domaine medical, nucléaire...Vous savez combien de personnes sont mortes irradiées à Tchernobyl ou Fukushima ?
Mais je vous laisse à vos certitudes. Manifestement l hypothèse d’une imposture d Etat est au dessus de votre entendement. Pourtant si vous creusiez ce volet, vous verriez qu on trouve de très interessants personnages, à commencer par l’effroyable L Johnson.
@Emmanuel
Merci de votre mépris. Le neuneu que je suis s amusait de vos sophismes.
Vous pourriez donc expliquer votre logique de :
dans votre 1ère phrase, se plaindre d’avoir subit le mépris
dans votre 2me phrase, se vanter de vous être amusé de moi juste auparavant
La plupart des gens y voient juste l’incapacité à percevoir une relation évidente :
il y a un rapport entre la manière dont on est traité, et la manière dont on s’est comporté avant
Donc, en d’autres termes : Vous vous plaignez des effets dont vous vous vantez d’avoir chéri les causes.
Sur le fond, vous continuez les mêmes jokers (procédé du joker que bien sur vous me reprochez à tort) c-à-d les sarcasmes pour simuler l’évidence de l’invalidité de mes arguments ; mais ils tiennent pourtant debout, puisque vous n’y opposez rien sauf votre certitude entêtée.
Cette certitude orgueilleuse donne encore à penser que votre difficulté à apprécier la logique est complémentée par une faible capacité à s’interroger sur ses possibles erreurs. Les deux se renforçant mutuellement dans un cercle vicieux, du genre dont on ne peut sortir qu’après avoir pris conscience de ses limitations. Car, comment pourrait-on progresser sans jamais voir ses erreurs ? Essayez donc de programmer sans jamais débugger !
Pour le peu d’arguments concrets que vous avancez, ils reposent encore sur votre ignorance de la réalité :
il n’y a jamais eu de série de 6 succès, juste 2/3 de réussites. Appolo13 a échoué, vous le saviez. Cette amnésie questionne votre bonne foi. Appolo 14 a plusieurs fois frôlé l’échec. (retournement du module, radar d’alunissage, but final non atteint.
raisonnement infantile par analogie, en plaquant sans raison la loi de moore sur le spatial.
les US sont en décadence économique et technique
le progrès technique réel est faible ; cf com 2264230
les rayons gamma ne concernent pas l’espace et la lune de la manière que vous croyez. Sinon, comment expliquer que la station spatiale internationale se passe d’épaisseurs de béton armé pour se protéger ? Et ses astronautes qui sortent en combi dans le vide ?
Manifestement l hypothèse d’une imposture d Etat est au dessus de votre entendement.
Avoir une hypothèse est à la portée des imbéciles. C’est de sa démonstration ou sa réfutation qu’on pourrait se vanter. Et c’est juste mon métier. Vous en êtes encore très loin.
JP
Pour vous répondre aussi précisément que possible (je passe sur vos premiers paragraphes, sans doute une très fine analyse psychologique, mais à l intérêt limité à ma petite personne) :
"Il n’y a jamais eu de série de 6 succès, juste 2/3 de réussites. Appolo13 a échoué, vous le saviez. Cette amnésie questionne votre bonne foi. Appolo 14 a plusieurs fois frôlé l’échec. (retournement du module, radar d’alunissage, but final non atteint)".
Il y a eu 7 vols habités vers la lune dont 6 réussis. Appolo 14 a eu des ratés et quelques soucis mais la mission a été effectuée, avec en prime un astronaute qui joue au golf (c’est dire l intensité du stress). Et les difficultés de la promenade lunaire (plus de 4h avec le Hasselblad soit dit en passant :)) !!) ont conduit à prévoir le rover pour la mission suivante (moins de 5 mois après...Fantastique !)
"Raisonnement infantile par analogie, en plaquant sans raison la loi de moore sur le spatial".
Ah oui ? Elle est bien bonne ! Parce qu il n y a pas d’ordinateurs peut-être pour les missions spaciales ? Parce que l explosion de la puissance de calcul des ordinateurs alliée à une miniaturisation extrême, ce n’est pas un sujet crucial ?
"Les US sont en décadence économique et technique"
Oui oui ...Avec un budget militaire de 640 milliards de dollars ...
Sachez que le programme Artemis de la NASA pour un prochain vol habité vers la lune est estimé à 30 milliards, et a le soutien de Trump... qui veut que ce vol ait lieu avant 2024 (ses prédécesseurs avaient pareillement rêvé)
"Le progrès technique réel est faible"
Bien sur et la loi de Moore c’est du pipi de chat, la robotique et les nanotechnologies, entre autres choses, itou.
"Les rayons gamma ne concernent pas l’espace et la lune de la manière que vous croyez. Sinon, comment expliquer que la station spatiale internationale se passe d’épaisseurs de béton armé pour se protéger ? Et ses astronautes qui sortent en combi dans le vide ?"
Trollez un peu plus subtilement quand même. La station spatiale est dans l’orbite terrestre basse et bénéficie de son champ magnétique. Rien à voir avec les conditions sur la lune directement exposée à tous les rayons cosmiques.
Et même pour la station spatiale, les problèmes existent.
https://www.aulis.com/radiation_ris...
Et enfin je vous dirais que je n ai pas de certitude (j ai même très longtemps "cru" à cette épopée lunaire, la conquête spatiale étant en soi une magnifique aventure) mais de sérieux doutes.
Merci pour ce réel changement de ton, même si vous avez encore de la marge de progression. Remplacez vos certitudes par des suppositions, mieux corrélées à votre inexpérience, serait bienvenu.
Evitez de rebondir en déplaçant la question et inventant une nouvelle objection, si la première objection n’a pas tenu. C’est le petit jeu des ados qui ont du mal à renoncer. Il est vrai que c’est efficace car la lassitude incite alors à ne plus contredire vos illusions. Si c’est là votre but final, annoncez le.
Donc, vous pouvez bien chipoter, vous aviez annoncé "6 missions réussies de façon remarquable" ; l’argument initial (le miraculeux progrès) ne tient plus si il y a au milieu de cette miraculeuse série un gros échec et une mission ni ratée ni réussie. Dévier sur 2 balles de golf pour décompresser juste avant de repartir, ou dévier sur la jeep, ce n’est qu’une tentative de rebondir après l’échec de l’argument initial.
Parce que l explosion de la puissance de calcul [...], ce n’est pas un sujet crucial ?
Parce que vous ne savez pas que c’est à vous de prouver votre affirmation initiale ? Donc ce renversement indu de la charge de l’argumentation indique votre incapacité à la produire. Rajoutons le pseudo-raisonnement par analogie initial.
En fait, vous improvisez car vous n’avez pas le niveau pour comprendre la nature exacte des problèmes techniques. Sinon vous auriez su que dès que le vide vous débarrasse de l’équation de Navier-Stokes, l’utilité réelle de la puissance de calcul se limite à l’optimisation du poids des structures. A la louche, on grattera 10%, sur le poids à vide, donc 2% sur le total.
Ensuite ? Décrivez concrètement ...
Le budget militaire US est un signe de décadence, vu ses résultats et le niveau des déficits. Quant aux annonces...
Aviez vous lu mon com sur le progrès technique ?
L’objection des radiations illustre encore l’effet Duning Kruger. On ose donc tranquillement affirmer, sans produire les chiffres indispensables. Vous auriez eu 0/20 en physique bac C.
Si l’intensité des radiations lunaires est plus forte que dans l’ISS, par contre les séjours lunaires étaient bien plus courts. Donc la démonstration aurait du produire la comparaison chiffrée ISS / Lune des mesures de radiation et des expositions cumulées sur la durée.
En l’absence de chiffre, l’objection des radiations n’est que blabla de shampouineuse.
JP
Pour répondre de nouveau à vos assertions :
"Donc, vous pouvez bien chipoter, vous aviez annoncé "6 missions réussies de façon remarquable" "
Je maintiens : aller et retour de 6 vols habités vers la lune, c’est un exploit inouï non réitéré à ce jour, ce qui d’un point de vue épistémologique pose question.
"En fait, vous improvisez car vous n’avez pas le niveau pour comprendre la nature exacte des problèmes techniques. Sinon vous auriez su que dès que le vide vous débarrasse de l’équation de Navier-Stokes, l’utilité réelle de la puissance de calcul se limite à l’optimisation du poids ..."
C’est vous qui détournez le sujet. Je faisais référence à la loi de Moore qui a accompagné ces 50 dernières années et donc, aurait dû faciliter, notamment en terme de coût, sur la base des premières missions réussies, la reprise des vols lunaires.
"Le budget militaire US est un signe de décadence, vu ses résultats et le niveau des déficits. Quant aux annonces..."
Contre argument ! La " decadence" US devrait pousser à renouer avec l’épopée lunaire au contraire et clore le bec aux dubitatifs de plus en plus nombreux. L’argent et la volonté politique sont là. Manque le savoir ? CQFD
"Aviez vous lu mon com sur le progrès technologique ?"
Oui vous racontez de grosses bêtises.
"Si l’intensité des radiations lunaires est plus forte que dans l’ISS, par contre les séjours lunaires étaient bien plus courts. Donc la démonstration aurait du produire la comparaison chiffrée ISS / Lune des mesures de radiation et des expositions cumulées sur la durée."
Je répondais juste à une autre de vos énormités "Les rayons gamma ne concernent pas l’espace et la lune de la manière que vous croyez" (en réponse à mes interrogations sur l Hasselblad). Et l’article du new scientist de 2002 illustrait qu’il y avait une grande problématique radiation pour la station spatiale, renforcée au delà du champ magnétique terrestre.
Je constate juste cette réalité des rayons gamma sur la lune, ...qui a aussi concerné un appareil photo (c’etait le sujet). Et on découvre tous les jours de nouveaux aspects concernant les radiations sur la lune
https://www.universetoday.com/14318...
"En l’absence de chiffre, l’objection des radiations n’est que blabla de shampouineuse"
Parfait. Donnez donc les chiffres rayons x portique d aeroport / rayons gamma sur la lune. Ce sera interessant.
@Emmanuel
Je maintiens : [...] 6 vols habités vers la lune, c’est un exploit inouï non réitéré à ce jour
Votre position initiale était : "série de réussites, trop subite, impossible après tous les échecs" donc vous l’avez abandonnée.
Ainsi lorsque vous prétendez "Je maintiens", vous mentez par orgueil car en douce vous faites retraite sur une autre position, banale et légère (elle crée le soupçon, sans plus)
>>"En fait, vous improvisez car vous n’avez pas le niveau pour comprendre la nature exacte des problèmes techniques. Sinon vous auriez su que [..] l’utilité réelle de la puissance de calcul se limite à l’optimisation du poids ..."
C’est vous qui détournez le sujet. Je faisais référence à la loi de Moore qui [..]aurait dû faciliter, notamment en terme de coût, sur la base des premières missions réussies, la reprise des vols lunaires.
Je n’ai pas détourné le sujet, mais présenté la seule application concrète, y compris en terme de coût, pour votre théorie fumeuse.
Vous deviez dire si il y avait d’autres applications concrètes. Vous en êtes incapable et ne faites donc que stupidement répéter votre théorie
>>"Le budget militaire US est un signe de décadence, vu ses résultats et le niveau des déficits"
Contre argument ! La " decadence" US devrait pousser à renouer avec l’épopée lunaire au contraire et clore le bec aux dubitatifs de plus en plus nombreux. L’argent et la volonté politique sont là. Manque le savoir ? CQFD
Pardon ? Vous démontrez quelque chose ? Vous affirmez encore des arguties déconnectées du réel.
face à la montée de la puissance russe et chinoise, les US ont des défis plus urgents et sérieux dans lesquels investir leurs ressources restantes
le manque de savoir actuel est une réalité. Ils ne savent plus construire un boeing 737 fiable. Ils ne savent plus contrer la technologie russe https://thehill.com/policy/defense/...
Et pourtant, ils savaient, il y a 50 ans
>>"Aviez vous lu mon com sur le progrès technologique ?"
Oui vous racontez de grosses bêtises.
Auxquelles vous êtes impuissant à répondre
>>"En l’absence de chiffre, l’objection des radiations n’est que blabla de shampouineuse"
Parfait. Donnez donc les chiffres rayons x portique d aeroport / rayons gamma sur la lune
Je venais juste de vous rappeler de ne pas renverser la charge de l’argumentation. Par conséquent, vous êtes malhonnête ou autiste.
JP
Vous êtes réjouissant car chaque nouveau post de votre part montre un peu plus votre mauvaise foi et l’inconsistance de votre sabir pseudo scientifique.
Par exemple sur le fait que je me contredirais sur le succès des missions Appolo, vous dites : "lorsque vous prétendez "Je maintiens", vous mentez par orgueil car en douce vous faites retraite sur une autre position, banale et légère (elle crée le soupçon, sans plus)".
Eh non, je maintiens tout à fait mes propos initiaux qui étaient :"6 missions réussies de façon remarquable, et pouf plus rien. On repart sur autre chose." (Et c’est problématique, épistémologiquement parlant)
La notion de réussite s’applique bien sur 6 missions lunaires ; cette appréciation est d ailleurs un non sujet puisque les lunophiles sont les premiers à les traiter comme telles. Même Appolo 13 à certains égards est une réussite.
https://www.capital.fr/votre-carrie...
Sur la loi de Moore et les progrès afférents, vous osez dire que " l’utilité réelle de la puissance de calcul se limite à l’optimisation du poids ...", en prétendant que c’est la seule application concrète...Ce qui est une ânerie aussi grosse que vous (si vous êtes sumo).
Car non seulement les ordinateurs des missions Appolo ont été essentiels à tous les stades du programme mais ils ont aussi boosté tout le secteur IT.
https://www.lemagit.fr/etude/Commen...
Ce qui en retour, dans un phase de progrès fulgurants en la matière, aurait dû faciliter la reprise des missions.
Et enfin pour revenir au sujet premier, le miraculeux Hasselblad et sa très vaillante pellicule en polyester : c’est à vous de fournir les éléments précis et chiffrés démontrant la possibilité.
(Si vous rencontrez une licorne, c’est à vous d’en apporter des preuves tangibles qui seront dûment analysées).
Sachant que les scanners d aeroport peuvent abîmer les pellicules photos (https://www.kodak.com/global/en/ser...), quelles solutions ont été apportées pour les voyages lunaires où rayonnement cosmique + rayonnement solaire + rayonnement lunaire sont un tantinet supérieurs (non ?? Donnez les valeurs Gy et les sources)
Une photo surprenante de l’ESA European Space Agency !
https://www.esa.int/spaceinimages/Images/2006/05/Titan_s_surface
Traduction de la description de la photo :
« Il s’agit d’une composition de la vue de la surface de Titan construite avec les images prises le 14 January 2005 par le Descent Imager/Spectral Radiometer (DISR) de la mission Huygens, après l’atterrissage. Cette composition est comparée dans les mêmes proportions de l’image prise à la surface de la Lune. Les objets proches du centre de l’image sont grossièrement de la taille du pied d’un homme, tandis que les objets à l’horizon ne représentent qu’une fraction de la hauteur d’un homme. »
L’astronaute et le drapeau se situent en bout du bout de la ligne d’horizon, il y a un problème de taille ! Si l’on place le drapeau et l’astronaute sur Titan sans changer leurs tailles et leurs positions verticale, il y a un bug, il devraient être nettement plus petits. La perspective à proportion égale sur Titan et la Lune n’est pas respectée ! Les mathématiques vont-il parler pour la vérité ?
Les américains sont bien allés sur la Lune. Au bout du compte ceux qui n’y croient pas sur un plan logique sont ceux à qui çet exploit ne plaît pas sur un plan sentimental...Comme toujours. Je précise que je suis anti vax et soutiens Poutine contre le diabolique régime Biden.