La presse française aux ordres s’est très largement fait l’écho des conclusions d’un séminaire organisé à Paris sur l’étude comparative des politiques d’immigration et d’intégration européennes.
Selon les six critères retenus par l’index de comparaison choisi – accès au marché du travail, regroupement familial, résidence de longue durée, participation politique, accès à la nationalité et non-discrimination- la France serait particulièrement dure avec les étrangers.
Cette affirmation prétendument scientifique sur l’accueil des étrangers en France, démentie par simple observation visuelle de l’usager du métro, s’inscrit dans le cadre d’une opération de désinformation organisée à l’échelon européen par les lobbies immigrationnistes européens.
Les chiffres officiels, publiés il y a quelques jours, montrent en effet qu’avec près de 200 000 immigrés légaux par an -sans compter les clandestins-, la France n’a jamais été aussi ouverte aux étrangers du monde entier que sous la présidence de Nicolas Sarkozy.
Derrière ce séminaire parisien, on trouvait notamment le British Council présidé par le travailliste britannique et ancien membre de la Commission européenne Neil Kinnock et le Migration Policy Group, organisation prosélyte en faveur de l’immigration incontrôlée. A cette petite clique moralisatrice, s’étaient joints naturellement les inévitables « chercheurs » militants du CNRS français.
Source : http://fr.altermedia.info
Selon les six critères retenus par l’index de comparaison choisi – accès au marché du travail, regroupement familial, résidence de longue durée, participation politique, accès à la nationalité et non-discrimination- la France serait particulièrement dure avec les étrangers.
Cette affirmation prétendument scientifique sur l’accueil des étrangers en France, démentie par simple observation visuelle de l’usager du métro, s’inscrit dans le cadre d’une opération de désinformation organisée à l’échelon européen par les lobbies immigrationnistes européens.
Les chiffres officiels, publiés il y a quelques jours, montrent en effet qu’avec près de 200 000 immigrés légaux par an -sans compter les clandestins-, la France n’a jamais été aussi ouverte aux étrangers du monde entier que sous la présidence de Nicolas Sarkozy.
Derrière ce séminaire parisien, on trouvait notamment le British Council présidé par le travailliste britannique et ancien membre de la Commission européenne Neil Kinnock et le Migration Policy Group, organisation prosélyte en faveur de l’immigration incontrôlée. A cette petite clique moralisatrice, s’étaient joints naturellement les inévitables « chercheurs » militants du CNRS français.
Source : http://fr.altermedia.info