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Les limites du label "bio"

Si les produits issus de l’« agriculture biologique » restent globalement de meilleure qualité que leurs équivalents industriels non bio, l’emprise de l’industrie agro-alimentaire sur ce label n’est pas sans poser de nombreuses questions sur ce qui atterrit, au final, dans notre assiette. Une raison de plus de privilégier les circuits courts.

 

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83 Commentaires

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  • #1803428
    Le 18 septembre 2017 à 14:24 par Forgeur
    Les limites du label "bio"

    Il est bien ce petit gars ! Clair, précis, les bases à connaître pour se renseigner sont toutes là. Info à faire passer, je vais le faire de ce pas.

     

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  • #1803430
    Le 18 septembre 2017 à 14:30 par Rivarol
    Les limites du label "bio"

    Un produit naturel fait pousser naturellement sera toujours bien meilleur qu’un produit traité.
    C’est ce qu’est censé faire l’agriculture biologique.
    Ensuite des escrocs il y en aura toujours...
    Pour ceux qui critiquent, quand vous serez malade, ce que je vous souhaite, vous vous intéresserez à la question.

     

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    • #1804144
      Le Septembre 2017 à 20:45 par Frank
      Les limites du label "bio"

      quand vous serez malade, ce que je vous souhaite



      Quel esprit noble et chevaleresque ! J’en suis bouche bée !

       
    • #1804153
      Le Septembre 2017 à 21:06 par Eric
      Les limites du label "bio"

      Il ne faut pas s’étonner ! C’est dans la droite lignée de vos commentaires, que je ne qualifierais pas à nouveau car du même tonneau, sur les gars interpellés pour " vols " de denrées périmées dans les poubelles de l’enseigne Métro. Du très haut niveau.

       
    • #1804158
      Le Septembre 2017 à 21:16 par Frank
      Les limites du label "bio"

      @Eric
      Vous vous trompez assurément de personne.

       
    • #1804235
      Le Septembre 2017 à 23:06 par Eric
      Les limites du label "bio"

      Euh non @Franck, je m’adresse bien à @ Rivarol et c’est bien de lui dont il s’agit.

       
  • #1803440
    Le 18 septembre 2017 à 15:27 par stella
    Les limites du label "bio"

    Je privilégie le local au bio. Tous mes légumes proviennent de petits paysans locaux qui n’ont pas le label bio parce que c’est payant et qui n’utilisent pas de pesticides. fréquentez les marchés locaux.

     

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    • #1808970
      Le Septembre 2017 à 19:45 par michou
      Les limites du label "bio"

      Attention quand même à ceux qui disent ne pas traiter...

      Signé : un maraîcher labellisé bio qui voit plein de producteurs et de revendeurs peu scrupuleux sur les marchés...

       
  • #1803447
    Le 18 septembre 2017 à 15:55 par Glaoui
    Les limites du label "bio"

    Moi, je privilégie le local (99%) le potager perso et la glane, mais aussi une diète sans sucres, sans produits raffinés, sans laitages, ce qui élimine de facto les produits industriels. Mais 3 problèmes se posent. 1, le commerce local me coûte très cher et j’ai peu de moyens. 2, le potager perso me coûte très cher (je ne maîtrise pas encore les semences) et produit très peu sous le climat où je suis donc très limité. 3, la glane (ramasser et cueillir des denrées dans les bois et bords de route non privés) devient compliqué à cause de la destruction des coins naturels au profit de constructions et autres coupes d’arbres stupides. Sans parler de la concurrence !

     

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  • #1803517
    Le 18 septembre 2017 à 18:19 par Jeff
    Les limites du label "bio"

    J’ai été plusieurs fois chez des petits producteurs qui, malheureusement, vendaient des fruits et légumes beaucoup trop cher. Pourtant, il n’y a pas d’intermédiaire... Alors que ce soit plus cher, je le conçois, mais inaccessible, faut pas abuser... (Exemple : tomates à 5 euros le kg déjà observé sur les marchés de "petits producteurs", ect...).

     

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  • #1803524
    Le 18 septembre 2017 à 18:28 par Psychotrope
    Les limites du label "bio"

    Pour ma part, pour ce qui est des fruits et légumes, je vais exclusivement chez les agriculteurs de mon entourage. Ça a une moins belle gueule, mais c’est incomparable niveau goût, et très certainement au niveau des qualités nutritives aussi. Être dissident, c’est pas uniquement rester le cul sur son canapé en continuant d’alimenter les Carrefours et cie.

     

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  • #1803563
    Le 18 septembre 2017 à 19:43 par Pinette
    Les limites du label "bio"

    Un avocat* BIO venant d’Israel.
    Moi je n’achète pas, considérant qu’il a pris l’avion ou le bateau.
    Je favorise les circuits courts.

    * rien à voir avec Maitre Klarsfeld.

     

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    • #1803649
      Le Septembre 2017 à 21:57 par Rivarol
      Les limites du label "bio"

      Et surtout qu’il est irradié !

       
    • #1803661
      Le Septembre 2017 à 22:28 par Le prieur
      Les limites du label "bio"

      De même, je les évite comme la peste : un petit vade retro satana et hop je trace ma route. C’est curieux (ou pas, quand on est un habitué d’ER) de voir autant de fruits et légumes, bio y compris, vendus en France provenant d’Israël, sachant que c’est un petit pays grand comme la Bretagne pas si proche geographiquement de nous par rapport à d’autres avec un climat similaire semble-il et qui plus est, amplement contestable sur le plan politique dans l’opinion publique en général... L’autre jour, au Leclerc (ne me jetez pas des pierres s’il vous plait ^^ j’ai pas pour l’instant de voiture pour aller voir davantage les producteurs directement) j’aperçois de la ciboulette israélienne, et le choix n’était même pas donné aux potentiels clients puisque c’était la seule disponible (la ciboulette etant très rare vous savez et poussant tellement mieux sur les terres foulées par la colonisation, la spoliation et enrichies par le sang de résistants assassinés). Fait complètement incongru pour ceux qui n’auraient pas compris les alliances politiques et économiques entre notamment la France et l’Israël, qui existent au mépris de l’opinion publique récalcitrante à juste titre et de toute sorte de moralité étatique.

       
    • #1803685
      Le Septembre 2017 à 23:22 par Eric
      Les limites du label "bio"

      Et quand l’origine n’est pas précisée, ce qui arrive parfois, c’est qu’il vient d’israel ! :-) Personnellement et bien entendu, quand c’est comme ça j’achète tout le stock car je ne suis pas antisémite.

       
  • #1803635
    Le 18 septembre 2017 à 21:35 par Pinette
    Les limites du label "bio"

    Vous me faites bien marrer avec vos "petits producteurs du coin". c’est des discussion de bobos parisiens
    Bien souvent ce sont eux qui arosent le plus (de produits phytosanitaires)
    Allez dans leur cabane de jardin vous y trouverez une veritable pharmacie. Et comme ils ne connaissent pas trop l’utilisation, ils doublent ou triplent la dose ; On ne sait jamais, pour être sûre ! Alors que le maraîcher connait exactement l’utilisation et évitera au maximum de les utiliser parce que ca coûte cher
    Cette image du pécor qui désherbe à la main et ramasse les dorhiphores dans une boite de conserve, c’est dans vos rèves. Celui qui fait ça gardera ses produits pour lui, ça ne sera pas pour le parigot.
    Tout comme le miel du Palais Garnier est plus BIO que le miel des Landes, les produits à Auchan sont parfois plus saints que ceux du "petit producteur"
    J’ai vu des oeufs sur lesquels ont avait étalé de la crotte. Une poule comme tous les animaux c’est propre et ne pond pas dans la merde.
    Vente direct de viande à la ferme. Il arrive que c’est la vache que le boucher de "Leclerc" n’a pas voulu. Il reste donc au paysan de la faire abattre et la vendre a la découpe à la ferme. Le bobo sera content d’avoir acheté sa viande directement chez l’éleveur. En fait c’est la vache malade qui était sur le point de crever.

    Tout ça pour dire que ce n’est pas évident et qu’il ne faut pas se fier à la salopette.

     

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    • #1803650
      Le Septembre 2017 à 22:02 par Rivarol
      Les limites du label "bio"

      Ton raisonnement est un peu simpliste.
      On dirait que tu prends un peu les gens pour des cons...
      Faut pas être tout le temps négatif, c’est pas bon pour la santé.
      Pire que de manger de la merde.
      Car le B-A-BA de la santé c’est de ne pas manger que pour se remplir pour compenser son mal-être !

       
    • #1803667
      Le Septembre 2017 à 22:42 par E&R macht frei
      Les limites du label "bio"

      Des cons il y en a partout, redescend avec ta moraline / bien-sur qu’il y a de mauvais paysans .
      C’est pas pour ça qu’on est tous des cons , tu nous prends de haut / un peu à la manière des parigos justement !
      La campagne c’est pas que des céréaliers, des éleveurs de 10000 tètes ou des fermes 1000 vaches, c’est pas que des productivistes et tutti quanti !
      Non — autour et alentour de chez moi plein de petits producteurs, plein de néo-ruraux, plein de bio, des boulanger-paysans faut pas croire mais de plus en plus il y a une prise de conscience / alors certes c’est pas le plus grand nombre mais ça vient , on a pas les moyens d’Auchan, de Leclerc, de carrefour , de Syngenta (ils sont partout dans mon coin eux) ou Monsanto , on fait souvent avec les moyens du bord !!

       
    • #1803689
      Le Septembre 2017 à 23:26 par Eric
      Les limites du label "bio"

      Merci pour cette vignette d’un réalisme saisissant, d’une lumineuse intelligence et incroyablement renseignée de son sujet. Les gens vous font marrer, mais vous savez le leur rendre au centuple. Et pour ça, merci.

       
    • #1803803
      Le Septembre 2017 à 09:27 par Chatnoir
      Les limites du label "bio"

      @pinette
      Bonjour, avez vous déjà eu des poules ? parce que oui elles oui elles n ont aucune gêne à faire leurs besoins sur les oeufs.... bobo parisien vous avez dis ?

       
    • #1803861
      Le Septembre 2017 à 11:31 par Yves-Sans-Logement
      Les limites du label "bio"

      @Chatnoir
      Merci / bobos à oui !!!!!!!

       
    • #1804069
      Le Septembre 2017 à 18:13 par Pinette
      Les limites du label "bio"

      "@ Chatnoir
      Oui j’ai eu des poules,
      Fils de petit paysan, j’ai grandi dans cet univers. Et je m’en suis enfui des que j’ai pu, à 19 ans.
      C’était les années 60/70
      Oui j’ai connu les poules, les canards , les lapins, les cochons, les oies , les vaches, moissoner à la lieuse, battre à la batteuse, comme dans les fêtes aujourd’hui, sauf qu ce n’était pas toujours la fête, garder les vaches, labourer avec le cheval, etc.
      Si tout ca peut sembler sympa aujourd’hui, à l’époque on avait une idée, c’etait de se barrer de là. Comme le chante si bien Jean Ferrat
      Mes oncles etaient paysans, mes cousins sont paysans, j’ai une soeur agricultrice/vigneron.
      Donc je connais très bien ce milieu et je n en tire pas une gloire.

      Pour ce qu’il en est des poules je dirais qu’il en va de même que pour les Chrétiens.
      Avant une poule savait faire son nid, se cacher pour pondre (une des activités des enfants etait de chercher les nids de poules, celles ci étaient en liberté et pondaient là ou ça leur plaisaient)
      Elles couvaient leurs oeufs et s’occupaient de leurs poussins.
      Aujourd’hui les poules ne savent plus couver. Normal, quand tous leurs ancètres sont nés dans des couveuses ont vécu dans des cages sur du béton.
      A part quelques espèces encore sauvages comme les poules naines, qui couvent tres bien.

      On comprend que les poules d’aujourd’hui chient sur leur oeufs.

      On pourrait faire le parrallèle avec la femme d’aujourd’hui, qui élève son enfant que quelques jours avant de le mettre à la crèche ou qui essaye d’avoir son premier enfant à 40 ans.
      A 40 ans ma mère en avait déja pondu 8 !

       
    • #1804105
      Le Septembre 2017 à 19:32 par Eric
      Les limites du label "bio"

      Putain c’est dingue ! Votre mère vous a donc pondu ? À votre avis, vous êtes une tête d’œuf, couverte d’excréments ? Il y a des choses qui relèvent de l’aide thérapeutique et pas de commentaire sur un site.

       
  • #1803962
    Le 19 septembre 2017 à 14:11 par laurent71
    Les limites du label "bio"

    @Patriote syndiqué.
    Je pense être par ma pratique largement plus proche de ce que les consommateurs identifient comme bio, que bien des labellisée qui racontent des histoires à leurs clients et qui en pratique, ont juste changé de fournisseurs d’intrans.
    Mais comme je ne paye la carte du club, je suis estampillé conventionnel et de temps en temps je dois subir le "vouzètepabio !" avec une mine dégouttée de la part de gourgandines dont le seul effort dans la vie est de mettre la main au porte monnaie dans le seul but d’avoir plus de temps à reposer 70 kilos de lard dans un canapé.
    Et pourtant ce lait conventionnel, cru, ma femme en fait des pâtes lactiques en repiquant le petit lait qui finissent médaille d’or au concours national des fromages de chèvre fermiers.
    Alors ton humble avis, roule le bien serré et...

     

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  • #1803977
    Le 19 septembre 2017 à 14:58 par Bambolailo
    Les limites du label "bio"

    Le BIO est plus parfait exemple de ce que le capital a détruit et nous revends sous une forme "nouvelle". Alors évidemment qu’a choisir entre un jus de fuit BIO et un aure, industriel, le BIO sera meilleur, mais ça reste la merde du capital.

     

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    • #1804113
      Le Septembre 2017 à 19:41 par Eric
      Les limites du label "bio"

      Ça c’est vrai pour partie par contre ! De la magie noire ! :-)

       
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