Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Les films qui salissent Noël

On va commencer par un article presque entier du Parisien sur le cinéma de Noël, parce que juste et bien écrit. Ensuite, on passe à notre analyse, avec trois autres exemples.

Les scénaristes des « Cadeaux » ne se sont pas foulés. Un sapin, une vague idée de départ (les cadeaux pourris), un casting choral (Gérard Darmon, Camille Lellouche, Max Boublil, Chantal Lauby, Mélanie Doutey, Gringe, Vanessa Guide et Liliane Rovère)… Emballé, c’est pesé. Le long-métrage (1h24 sur le papier, mais au moins deux fois plus en « temps ressenti ») met en scène plusieurs membres d’une même famille qui, donc, offrent des cadeaux empoisonnés à leurs proches.

« Plaisir d’offrir, malaise de recevoir », prévient l’affiche… qui ne croit pas si bien dire. Il y a l’éternelle célibataire à qui on offre des draps pour une personne, des canards vibrants ou un CD de Jean-Jacques Goldman. Ou l’hypocondriaque qui reçoit des thermomètres ou un bon pour une ponction lombaire. Le problème de ces « Cadeaux », c’est qu’il ne consiste qu’en une succession de gags qui tombent à plat, quand ils ne sont pas atterrants.

Ce que Le Parisien ne dit pas, mais qu’il sait, c’est que Les Cadeaux est un film antichrétien, anti-traditions, anti-Noël. En un mot, antifrançais. Il s’agit de faire d’un moment de convivialité et de bonté un moment de haine et de vengeance.

Avec Gérard Darmon dans le casting, on aurait aussi bien pu faire un film antipalestinien sur des chrétiens du Liban et de Palestine massacrés par Tsahal, puisque le vieil acteur a pris fait et cause pour les génocidaires.

Dans la veine des films anti-Noël, nous avons aussi le sempiternel réveillon qui dégénère. Paresse scénaristique, acteurs fatigués, scènes prévisibles, on reste dans le caniveau du cinéma pseudo français.

On se remet une louche du Parisien et on passe à la suite.

Camille Lellouche joue une fille tellement drôle qu’au lieu de dire « arriverderci », elle dit « arrivée d’air chaud ». Et tellement décomplexée que quand elle rentre chez elle, elle annonce « Je vais aux toilettes, je mets les gaz, je fais tourner la guillotine à boudins »… La « gênance », quoi ! Ici, tout le monde pète, même la grand-mère (Liliane Rovère, qui parle avec un accent qu’on peine à identifier). Quant à Vanessa Guide, elle écope d’un rôle de godiche finie, et entonne une chanson sur la Shoah d’un mauvais goût qui laisse sans voix.

Même la Shoah y passe, histoire de contrebalancer l’agression antichrétienne... Maintenant, place aux cathos ridiculisés. On se demande d’où vient cette propension des Français (on parle de ceux qui vont payer pour se faire cracher dessus) à accepter de se faire maltraiter, et même à y trouver du plaisir.

 

 

 

 

Noël joyeux fait partie de la bande, même si le navet est sorti en 2023 : la générosité catholique est la cible. Un couple accepte une vieille dame seule pour le soir de Noël, et elle ramène sa copine pénible qui fout le souk. Moralité : la pitié chrétienne, c’est que des emmerdes. Soyons égoïstes !

 

 

On n’est pas allés très loin dans l’analyse, mais ce premier niveau suffit.

Nous, on propose le pitch suivant : pendant une soirée de Noël dans une famille de pauvres connards lambda, genre bas du front d’une cité de Picardie, des voisins musulmans arabes islamistes débarquent avec du couscous, et au moment où les Français plombés par la semoule vont être égorgés, débarque la cavalerie constituée par Arthur, Gad et Darmon en tenue de Tsahal.

Vu que tout est grossier dans les bandes-annonces qui précèdent, autant y aller à fond. Et à propos d’Arthur, ayons une pensée pour ce qu’il a enduré pendant des années à cause de Noël.

 

Pour Franck Dubosc, c’est le moment de s’occuper des orphelins palestiniens dont les parents ont été assassinés par l’État juif.

 

 

 

Boycott automatique

 






Alerter

18 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #3470531
    Le 26 décembre à 15:46 par miles davis
    Les films qui salissent Noël

    Toujours les mêmes films grandioses avec le même casting grandiose, et Darmon arrive à se placer tout le temps, un vrai truc de ouf. Quand à Essebag, comme sa culture lui a appris, il ment.

     

    Répondre à ce message

  • #3470532
    Le 26 décembre à 15:47 par dixi
    Les films qui salissent Noël

    Je ne sais pas si ils se rendent compte ,mais regarder encore et encore les mêmes gueules avec les mêmes vannes et en plus des navets comme d’ habitude ,tout ceci devient assez lassant .
    Je me demande qui peut encore se déplacer et payer par dessus le marcher pour aller voir ces merdes .Il faut être sacrément maso .

     

    Répondre à ce message

  • #3470534
    Le 26 décembre à 15:53 par Mouai
    Les films qui salissent Noël

    Les cadeaux ça n’a rien à voir avec NoËl. Qu’ils ridiculisent ce faux-culte qui avait déjà occulté le vrai depuis des années, ça ne peut que faire notre affaire. Le pire est justement de remplacer une chose par une autre sous le même nom (on ne détruit efficacement que ce que l’on remplace).

    Et il est vrai que le concept de cadeau est à chier (pourquoi faire, à part faire plaisir au marché ? on manque de tant de chose que ça ? ça fait des années que ce rite tourne en rond dans la société de l’abondance, et qu’on se fait chier à trouver des idées parmi des productions sans génie et on finit par payer hors de prix des banalités pour des gens qu’on ne connaît plus bien et qui ne sauront pas quoi en faire - l’éternel écharpe ou bougie ou chemise..)

    donc oui, ya de quoi se moquer, mais c’est bien le Noël judéo-protestant qui s’auto-humilie, je ne vois pas en quoi le catholique véritable va se sentier concerné.

    Ya eu aussi il y a qqs années la tradition du "pull moche", avec toujours les mêmes motifs : des pères NOEL, des bonhomme de neige, des sapins et des flocons. jamais vu un enfant Jésus ou une Vierge.. donc pourquoi se sentir touché par ces dérisions ? c’est de l’auto-dénigrement, et c’est très bien ainsi. Tout ce qui moche et vain doit disparaître.

     

    Répondre à ce message

  • #3470543
    Le 26 décembre à 16:16 par Chibreman
    Les films qui salissent Noël

    Étant donné qu’il s’agit d’une version ‘christianisée’ des saturnales romaines, pas besoin de salir cette fête : elle l’était dès le départ.

    La Bible n’indique nulle part la date de naissance du Christ. Et pour que les bergers restent la nuit en plein air, comme indiqué par les Évangiles, ça n’était certainement pas en hiver, trop froid pour ça même en Palestine.

     

    Répondre à ce message

  • #3470553
    Le 26 décembre à 16:44 par M. Hamsun
    Les films qui salissent Noël

    C’est plus un casting, c’est une bar mitzvah.

     

    Répondre à ce message

  • #3470567
    Le 26 décembre à 17:14 par bougre
    Les films qui salissent Noël

    J’ai croisé plusieurs personnes en leur souhaitant "Joyeux Noel"... la plupart avait l’air surprise , voir choquée et craintive et n’a répondu que par un signe de tête ou un son timide et à peine audible.

    La soumission au principe de laîcité suit le même mode que la soumission aux mesures dites sanitaires du couillonavirus.... Ca devient effrayant de vivre dans cette France colonisée qui nous assène sur toutes les chaines que le 25 décembre est la fête d’Hanouka et que chacune et chacun a le devoir d’allumer son chandelier à sept branches sous peine d’être soupçonné d’antisémitisme..

     

    Répondre à ce message

  • #3470573
    Le 26 décembre à 17:22 par Robert
    Les films qui salissent Noël

    Pour le nanar"Les cadeaux", c’est pas un casting, c’est une rafle !

     

    Répondre à ce message

  • #3470586
    Le 26 décembre à 17:43 par Clofer
    Les films qui salissent Noël

    Si on a mangé des champignons vénéneux, pas besoin d’hémétiques, juste la tronche de tous ces has been et c’est la gerbe assurée.
    Mais c’est Noël, prions pour leur conversion et leur salut.

     

    Répondre à ce message

  • #3470593
    Le 26 décembre à 17:51 par giuo
    Les films qui salissent Noël

    Toujours impressionnant de voir quel point le cinéma français sait se renouveler...

     

    Répondre à ce message

  • #3470604
    Le 26 décembre à 18:01 par Bartebly
    Les films qui salissent Noël

    Comme disait Coluche ; et dire qu’il suffirait qu’on ne les achète pas pour que ca ne se vende pas.
    Le plus tragique, c’est qu’il y a encore des neuneus pour aller voir ses daubes.
    Il suffit de voir le casting et la réalisation pour savoir que c’est une entreprise de destruction.

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents