@ Emilie, Je suis d’accord avec vous malheureusement, j’en sais quelque chose, c’est trés difficile d’élever une famille (nombreuse, éducation à la maison) avec un seul salaire (je suis ouvrier), et toutes les contraintes administratives actuelles. Mais pour rien au monde ma femme ne retournera au travail (salarié s’entend). D’ailleurs, elle travaille, car s’occupper de la maison, des enfants, et de tous les à-côtés, est un véritable travail, difficile et ô combien honorable, trés ingrat par certains côtés mais incomparablement gratifiant.
@ Amélie, Totalement d’accord avec vous, je compatis et suis respectueux de ce que vous avez fait.
Je ne doute pas que les femmes soient capables de travailler dur, et même plus que les hommes dans certains cas, là n’est pas la question. Le fait qu’elles ne soient pas faites pour travailler comme les hommes ne tient pas tant à leur capacité qu’à leur rôle (qui est crucial), leur vocation, et d’une certaine manière leurs dispositions naturelles et leurs aspirations profondes.
Si les hommes se féminisent, en revanche les femmes se masculinisent. Si on se plaint qu’il n’y a plus de vrais hommes, c’est directement lié au fait qu’il n’y a plus de vraies femmes (ou réciproquement). C’est bien connu, les grands hommes doivent ce qu’ils sont à leur mère, à leur épouse.
Concernant mon témoignage personnel, sans en faire une généralité, je prenais simplement l’exemple de mon travail, où il se trouve, comme par hasard, que tous les postes difficiles sont occupés par des hommes, traités de manière assez ingrate, tandis que les postes faciles sont occupés par des femmes (ou assimilés), à qui on déroule le tapis rouge, le salaire horaire étant le même, voir plus important pour la deuxième catégorie. Et dans un tel contexte, à cause de la propagande féministe, certaines femmes arrivent quand même à se plaindre et se sentir discriminées...
Mais là où elles sont réellement persécutés, c’est quand elles essayent de prendre leur rôle de mère à bras le corps. On peut même dire qu’à de rares exceptions près, toute la société dans son ensemble se ligue contre elles. Si elle n’a pas un mari aimant qui la soutient fermement et des valeurs fortes, elle abdique trés vite.