Bidon a reçu le soutien de Mitt Romney, de George W. Bush et de son frère Jeb (qui a trahi Trump en Arizona, permettant à cet état de tomber dans l’escarcelle des démocrates).
Voilà qui aurait dû mettre la puce à l’oreille du peuple ricain.
Si Bidon est élu : les ricains auront leur Macron. Ils mettront des années à s’en défaire (s’ils s’en défont un jour ... hors de question de laisser tomber le confinement et le vote par correspondance sans lequel le vieux n’aurait pas été élu) et ils vont souffrir très lourdement.
Les libéraux-libertaires (ou l’alliance de la gôsh sociétale et des néo-cons) vont faire payer au petit peuple (blanc, évidemment) l’ensemble de leurs échecs ... et il va en falloir du chaos et du sang dans les rues pour que les gens se rendent compte à quel point les démocrates sont devenu le parti du mal.
Et si un jour on parvient, d’un côté comme de l’autre de l’Atlantique a chasser enfin cette oligarchie dégueulasse ... que nous restera-t-il ? Je ne pas pas du simple confort matériel, je parle de choses bien plus essentielles ... combien d’années d’espérance de vie allons-nous perdre ? Avec qui allons-nous devoir cohabiter pour reconstruire nos pays ? Combien de fruits empoisonnés ils vont nous laisser avant qu’ils ne partent ?
Le seul réconfort qu’il nous reste, c’est de se dire que dans quelques années, quand les historiens Chinois rédigeront leurs livres d’Histoire et notamment un chapitre nécrologique sur l’occident : ils ne loupent surtout pas la gauchiasse expliquent bien au monde pourquoi il ne faut jamais faire ce que les occidentaux ont fait, accorder les libertés qu’ils ont accordé à qui ils les ont accordé et se soumettre à tel ou tel lobby.
Si le sacrifice de l’occident peut permettre à l’humanité de survivre ... alors, tout ça n’aura pas été complètement négatif, au final.
Va savoir, si ça se trouve : Soral, Dieudo & consort seront cités parmi les grands penseurs de la déchéance (on en est plus à parler de décadence) occidentale dans les livres d’Histoire des autres civilisations là où les Attali / d’Ormesson / BHL sombreront gentiment dans l’oubli éternel. Une jolie revanche post-mortem de la dissidence sur le mainstream.