Bien vu. Les pétitions c’est comme le vote ça sert à rien. Faisons autrement.

Les pétitions fort nombreuses permettent de mesurer la température ambiante et ne débouchent sur rien. ; Elles sont en réalité des sondages maquillés vraisemblablement éclairants pour ceux qui les initient. . Ne nous y trompons pas .

D’autant que que les manifs contre la réforme des retraites commencent à chanter des slogans anti guerre / anti OTAN... ça doit mettre les ricains sur les nerfs, la bataille de la communication va bon train.

Est-ce le professeur de l’exactitude ou un autre qui disait : "la première victime de la guerre c’est la vérité".

Ah non on me dit dans l’oreillette que c’est Michel Colon...

Justement, plusieurs ici appellent Poutine...
Faut arrêter cela, pour les raisons que vous évoquez.

Dans son dernier entretien télévisé, le président de la fédération de Russie a répondu à une question sur le mouvement qui agite la France. Il n’a ni condamné, ni critiqué son homologue. Il a simplement dit que c’est un problème domestique et que, par conséquent, il n’a pas à donner son avis. Il montre, par là, qu’il respecte le principe de non-ingérence. On voit bien que la Russie est déjà dans le monde d’après contrairement à d’autres...

En l’occurrence, elle serait plutôt dans le monde d’avant.

D’avant Kouchner...

C’est le résultat du virage numérique dans le secteur public, notamment celui du dossier de la cybersécurité, pourtant impulsé par la paranoïa de Macron qui s’était fait hacker son IPhone lors de la campagne électorale de 2017 (après l’élection de Trump suite au PizzaGate avec les sms, mails révélés), qui a fini, comme le reste (le Zopitaux et les masques, le nucléaire,...) par coûter un "pognon de dingue".
Macron est un banquier, et dans le domaine de la banque, l’informatique est considérée comme une dépense rattachée aux moyens généraux (achat de PQ...). J’ai entendu parler d’opérations LBO momentanément suspendues à cause d’un système d’information bancaire peu resiliant (risque de cybersécurité), une grande banque française.
Nb : vous mentionnez les boîtes informatiques où le PDG et les managers ne comprennent rien à l’informatique, rien d’étonnant à cela, c’est le concept : l’ingénierie des systèmes d’information et le chemsex ne sont pas compatibles qu’on se le dise, du sérieux et du frivole de Michel Clouscard, le sérieux de la production informatique étant reléguée au second plan des considérations managériales pour extorquer un max de plus-values, le management des perceptions servant à masquer l’hyperprécarisation des conditions de travail notamment par le frivole "friendly of course !".
L’angoisse ultime pour eux, le PDG et ses sbires est le ransomware parce qu’il touche directement au grisbi notamment financé par le bien commun : CICE/CRPE... ruptures conventionnelles et tableau Macron,...
Certaines entreprises ou boîtes en France avec leurs jobs IT sont à mourir de rire quand on a compris l’enculerie, le mythe rigolo de Charles Gave.

@Pamfli

Si cela s arrêter juste à ces catégories, mais les informaticiens/techniciens sont abreuvés de propagande anti russe du matin au soir sont aussi touchés. Il y a un problème au niveau de la spécialisation à outrance (les gens ont la tête dans le guidon toute la journée) et un problème de discernement du mensonge. Si ce n est pas validé par le consensus télévisuel les gens pensent que c est un mensonge. Par exemple je montrais zapata un mec qui vole sur une planche, ben le normies ingénieur super fort contre le piratage pensait que c etait du faux.

@Stf en effet pour les développeurs full stack que je ne critiquerai jamais pour avoir pratiqué ce métier jadis pendant quelques années, leur position est asymétrique dans le rapport de force, en leur défaveur, carrément écrasant puisqu’ils ne cessent de courir après la multiplicité des expertises sur les langages de programmation et les plateformes, toujours en autoformation. Néanmoins cela dépend toujours de la curiosité de la personne, me souvenant d’un alternant en Master 2 infra/réseau, diplôme pas simple à décrocher qui demande d’énormes sacrifices, qui, le jour de son départ, alors que je demeurais assez subtile dans mon travail opéré sur l’opinion des collègues, passe me saluer et sort un bouquin d’une cinquantaine de pages, un classique ici des humanités qui parle du tyran et de ses tyranneaux. Je me suis dit : lui il est sauvé de ce bordel.