Le réseau sioniste français est décidément aux abois et ses petites mains rivalisent de soumission pour défendre leurs maîtres. Après Valls, c’est Yann Moix qui monte au créneau pour quadriller brutalement le débat public.
Sanctifier la version sioniste de l’Histoire : voilà ce à quoi s’échine le « chroniqueur » Moix dans cet extrait une nouvelle fois ébouriffant de lâcheté et de vassalité. Pourquoi tant de zèle de la part de la « chose » de BHL ? Il semble qu’imposer sa vision de manière dictatoriale soit la seule option restante au réseau sioniste, très inquiet par la pérennité d’Israël et terrorisé par une perte d’influence sur la France. La brutalité est la marque de celui qui panique.
Le petit, et torturé, Yann Moix, tenu par ses anciennes amitiés révisionnistes (rappelons qu’il est l’auteur de la préface de la précédente édition de l’ouvrage Anthologie des propos contre les Juifs, le judaïsme et le sionisme) et par les privilèges sexuels du prestige télévisuel, s’en est donc pris à son prédécesseur Aymeric Caron, ici crucifié comme le symbole de la gauche pro-palestinienne.
Comme dans l’affaire Filoche, le message est clair : que personne ne s’avise de s’écarter du giron du réseau sioniste français !
Émission On n’est pas couché du 18 novembre 2017 :
Bonus : Yann Moix vu par Alain Soral