Tout cela date de l’époque dite archaïque et a vraiment existé. Est-il étonnant que certains maîtres du monde s’y retrouvent aujourd’hui et s’y adonnent en toute impunité ? Sinon, à quoi ça sert de trôner sur le monde ? Il y a tant de signaux convergents que même si l’esprit sain d’un individu normal ne peut l’admettre, il doit l’admettre, progressivement, à contrecœur.
Alexandre Lebreton est un autodidacte qui travaille à la diffusion d’informations concernant le pédo-satanisme, les groupes sectaires pratiquant les abus rituels traumatiques et le contrôle mental basé sur les traumatismes. (Amazon)
Étonnamment, c’est Luc Ferry, l’ancien ministre qui avait balancé un de ses confrères alors pris en flag de pédophilie au Maroc, qui, sur la pourtant très bien-pensante Radio Classique, valide cette hypothèse que beaucoup ont du mal à imaginer. L’émission consiste en un montage d’interventions de spécialistes sur le thème de Dionysos et de ses fameuses fêtes.
Il y a évidemment des exagérations et des fantasmes dans le traitement de cette information, qui affaiblissent le propos et la démonstration, mais dans ce domaine relativement incroyable (ou difficile à croire), les écarts sont inévitables car il n’y a plus de frontière morale. Il s’agit donc de bien faire la différence entre le cinéma et la réalité, le douteux et le crédible...
« Trágos, le bouc, ôidế, le chant, donc le chant du bouc c’est l’étymologie du mot tragédie parce que c’était des chants qui à l’origine étaient dédiés au culte de Dionysos, parce qu’il allait y avoir une véritable religion dionysiaque avec des bacchanales, des dionysies qui sont organisées en l’honneur du dieu et qui sont des fêtes de la folie, de l’ivresse, où en pratique elles ont vraiment existé, des formes de sexualité et de sadisme absolument débridées, on écartèle des petits animaux vivants, et même des enfants vivants, et donc c’est le dieu encore une fois de la folie, de la fête, mais de la fête pas sympathique, de l’orgie jusque dans ses perversions les plus effroyables. »
L’orgie a toujours existé, avec sa version bourgeoise démocratisée, la partouze, qui est en général hétérosexuelle. Mais une perversion qui se démocratise ne disparaît pas pour autant dans sa forme brute, inacceptable, par exemple quand on mêle des enfants avec des adultes, et la vie avec la mort.
Ceux qui connaissent les us et coutumes du showbiz savent de quoi sont capables quelques stars triées sur le volet de Satan, ou de Baphomet, même s’il y a beaucoup de jeu provocatif avec ces images. Cependant, quand on est capable de mentir et de voler les gens à grande échelle, de les envoyer à la mort sur les champs de bataille, de leur injecter des substances dangereuses, de baiser avec sa sœur, sa mère ou son père, on peut sans problème moral faire du viol et de l’assassinat d’innocents une fête grandiose.
De ces bacchanales ou orgies ne ruissellent que quelques miettes dans le grand public, qui a déjà du mal à admettre les vices de tel chanteur ou de tel homme politique, surtout s’ils sont des donneurs de leçons humanistes. Le bien ne peut pas faire le mal, voyons ! Eh bien si, et on appelle ça la perversité. Le décalage d’images est tel que l’esprit se bloque, la double face est d’ailleurs une excellente méthode pour désorienter et in fine bloquer l’esprit des pauvres. Déjà qu’ils ont du mal à s’en sortir au quotidien, alors si on ajoute sur la pile un problème moralement insurmontable...
Oui, l’orgie sataniste pédocriminelle est une tradition, et elle ne s’est jamais arrêtée, surtout avec la démocratie, qui a fait gober aux crédules la victoire définitive du bien, du vrai et du beau.
Que le message du 26 Juillet, une date désormais historique, pénètre bien profondément dans le cerveau des dominés, afin que leur esprit se réveille de la torpeur et de l’obscurité dans lesquelles les dominants l’ont plongé.