« Cet Hexagone, je l’encule sa grand-mère...
J’ai baisé la France jusqu’à l’agonie...
Je brûle la France »
Sacré Nick, toujours le mot pour rire. Après avoir essuyé les fesses de la critique avec Pendez les Blancs en 2018, revoilà le « nègre de maison » des sionistes qui joue au « nègre des champs » avec Doux pays, dans lequel on le voit étrangler une femme blanche et chanter des méchancetés contre la France et les Français.
Vous n’êtes pas obligés d’écouter ces salades d’un médiocre artiste qui n’a plus que la provocation pour exister et vendre. À la fin de sa daube, l’intellectuel précise :
« Le mot France est à considérer ici comme mentalité française, médias, etc… qui se sont arrogés le droit de qualifier Nick Conrad en des termes inexactes, plutôt que d’ouvrir le débat épineux. C’est donc sur eux qui se tournent ces mots mais en aucun cas sur les Français.es. qui subissent malgré eux.elles l’influence des médias & des leaders d’opinions mensongers.Nick Conrad. Artiste, Homme libre. »
Premières réactions politiques :
Quelle ignominie ! Le rappeur prédicateur de haine #NickConrad récidive et déclare « je baise la France » !
Sa peine doit être beaucoup plus lourde que les ridicules 5000 euros infligés pour avoir appelé à « pendre les blancs et leurs bébés » pic.twitter.com/2lKvqEf8Zb
— Eric Ciotti (@ECiotti) 18 mai 2019
Le rappeur Conrad a bien retenu la leçon de la justice après sa « condamnation » pour son clip « pendez les blancs ». Il se contente de niquer la France et d’étrangler une blanche cette fois-ci. Je suis sûr que de belles âmes de gauche y verront une sorte de progrès à encourager. pic.twitter.com/h4WGPSPnVm
— Julien Rochedy (@JRochedy) 18 mai 2019
Pour son Pendez les Blancs, Nick Conrad a pris 5 000 euros d’amende. À comparer avec les 12 mois de prison ferme contre Alain Soral pour UN dessin parodique...