On dirait des pubs faites pour des enfants ou des crétins. Tout le monde sait depuis belle lurette qu’il ne faut pas jeter l’électricité par les fenêtres, mais la Macronie produit des vidéos pour nous dire de couper la lumière la nuit, de pas ouvrir les fenêtres quand il fait moins 12 dehors, et de pas pioncer avec le radiateur sur 28 degrés.
Si ça continue, les mêmes connards infantilisants vont nous expliquer comment nous torcher avec le moins de PQ possible, et là, on déconne à peine : le temps des pénuries arrive. On a les conséquences de la guerre avant même d’entrer en guerre : en 40, on a eu la guerre avant les pénuries et le rationnement. Aujourd’hui, on commence par la pénurie, par l’inflation (le prix des œufs a doublé, on a vu du blanc de poulet à 20 euros, du camembert à 7 euros 50), et on finira par la guerre.
En même temps, avec une nation qui a été privée du maniement des armes, une armée de métier qui tire la langue après 10 ans de campagnes arabo-sahéliennes quasi inutiles, et un stock de munitions à la ramasse, on ne voit pas trop ce qu’on va faire contre la Russie. Nos soldats de métier ont sûrement une idée, on attend leur analyse.
« Les 33 000 boulangeries, la moitié vont crever dans les mois qui viennent ! »
Augmentations à venir. Jusqu'où ?
➡️ Loïk Le Floch-Prigent, ancien président de GDF au sujet du prix de l'énergie :
''Mais pourquoi soudain les boulangers sont astreints à payer 10 fois plus ?
450 000 personnes qui n'arrêtent pas de me téléphoner…⤵️ pic.twitter.com/ck37VIeQPD— Vérité Diffusée (@VeriteDiffusee) March 1, 2023
Pour l’instant, le citoyen n’a pas (encore) la tête aux tranchées de Bakhmout : il regarde avec angoisse EDF et autres fournisseurs lui expliquer que sans le bouclier tarifaire, il prendrait très cher en facture... cet été. C’est le moyen de préparer l’opinion à raquer pour les délires des prédateurs de la finance européiste.
Le citoyen regarde avec angoisse les prix monter, tous les malheurs tombent en même temps. Déjà bien désorienté par l’ingénierie sociale baptisée Covid-19, le pauvre se mange une deuxième réplique du séisme qu’on appelle Great Reset. La seule sortie qu’on lui propose, c’est la guerre civile (version Zemmour) ou la guerre contre les Russes (version BHL). Soit la peste noire ou la peste de Justinien.