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« Le premier qui bouge est gay » : la vérité sort de la bouche des enfants

c’est le « 1, 2, 3, soleil » à la mode dans les cours de récré, et en dehors. La propagande LGBT va devoir trouver une autre méthode que le carpet-bombing médiatique pour faire accepter sa différence aux jeunes, qui n’ont pas l’air très réceptifs.

 

On l’a déjà écrit et réécrit ici, dès qu’on veut forcer les jeunes à dire ou penser quelque chose, ils font le contraire. Pour la Shoah, c’est pareil : on leur bourre le mou avec, résultat, ils font des vannes sur TikTok que les plus antisémites des LFI (merci à eux) n’oseraient pas faire.

Mais d’abord, regardons de quoi il retourne.

 

 

Tout est à refaire, pour la dominance, qui est quand même un agglomérat de minorités agressives et pleurnichardes. Les mômes, c’est l’avenir, et voilà que la nouvelle génération, celle des cours d’écoles, ne croit pas au dieu LGBT. Mieux, elle s’en moque et envoie un message clair aux emmerdeurs qui veulent lui fourrer des trucs dans la tête et ailleurs : on pourrait appeler ça de la pédophile cérébrale.

L’humour est la réponse naturelle à une surcharge, à une pression, à une contrainte inacceptable. Il faut le voir comme ça, et éviter toute répression, sinon ce sera pire. Naturellement, les forces du Système, connes comme la mort et dénuées d’imagination, vont redoubler de publicité pour l’homosexualité, et renforcer la répression. On connaît la musique, ça finit toujours mal pour le pouvoir.

On apprend dans Le Figaro que Zlatan s’est amusé à qui bouge est gay. C’est malin : l’ex-star du soccer est suivie par des dizaines de millions de fans de par le monde.

 

 

Le premier qui bouge est gay, analyse rapide. Normalement, le premier qui bouge a perdu, est un perdant, un mauvais, un naze. Les propagandistes LGBT au pouvoir n’ont donc pas réussi à faire de l’homosexualité une valeur, et une valeur, disons-le, supérieure. C’est retombé à zéro, pas parce que les foules seraient homophobes, mais parce qu’elles sont propagandophobes.

Même topo pour la Shoah : les Français ne sont pas antisémites (ils s’en foutent), mais ils détestent qu’on leur disent qui aimer, qui respecter, et qui détester. C’est alors qu’ils opposent une résistance, qui prend des formes langagières, médiatiques, comportementales, etc. Les gosses n’y échappent pas, ce sont des éponges. Elles absorbent peut-être, mais elles recrachent plus fort, quand ça les gonfle trop.

 

 

Un conseil donc aux autorités LGBT, mais ça vaut aussi pour les autorités religieuses, celles de la religion d’État, hein, la fameuse laïcité : arrêtez de prendre la tête des enfants pour des casseroles à remplir de vos obsessions, laissez-les vivre. Lâchez-leur la grappe et ils ne vous emmerderont pas.

Parce que si les forces du mal, pardon, du bien, persistent à prendre les enfants pour des cons, ce n’est pas le premier qui bouge est gay qu’ils vont avoir, mais le premier qui bouge est juif. Et là, on va tous se faire gronder, et nous en premier, alors qu’on n’y est pour rien. À la limite, même, on prévient les autorités, qui ne comprennent rien au fonctionnement psychologico-social.

Il ne s’agit donc pas d’un jeu homophobe, comme l’écrit Le Nouvel Obs repris par Le Figaro, mais d’un jeu propagandophobe.

France Info n’a rien compris au film

« Certains jeunes jouent sûrement à ce “jeu” sans se rendre compte de la portée violente et LGBTphobe qu’il véhicule », tempère la politiste Flora Bolter, co-directrice de l’Observatoire LGBTI+ de la Fondation Jean-Jaurès. Mais quelle que soit l’intention de celui qui lance cette affirmation, « les enfants LGBTI, eux, reçoivent à 10/10 le message ». Surtout si ces scènes sont répétées. « Le mot “gay” est ici utilisé comme un stigmate infâmant. Quand son identité est dévalorisée au point d’être utilisée comme une insulte, il est difficile de se construire avec une bonne estime de soi », ajoute Élise Devieilhe, sociologue du genre et des sexualités. Non seulement le « jeu » stigmatise ces jeunes, mais il leur intime aussi l’ordre de se taire, explique Flora Bolter.

Leur solution est on ne peut plus stupide : travailler l’empathie des enfants joueurs.

À l’échelle locale, certains établissements mettent en place la méthode de la « préoccupation partagée », valable pour toute situation de harcèlement. « Les élèves auteurs sont chargés d’être vigilants vis-à-vis des élèves harcelés. Par exemple, en leur demandant comment ils se sentent tous les jours. Cela passe par des ateliers durant lesquels on travaille leur empathie, une fois par semaine », explique un surveillant dans un collège de Haute-Savoie. Selon lui, la vie scolaire dans l’établissement est désormais plus « apaisée ».

Face à ses élèves, Jean-Rémi Girard, également professeur de français en lycée, n’hésite pas à évoquer sa propre orientation sexuelle pour davantage sensibiliser les élèves à l’homophobie. (France Info)

Seigneur, pardonne-leur, parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font.

Les mêmes sales gosses à Auschwitz

 






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23 Commentaires

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  • #3464420

    ce fameux jeu de rôle qui occupe la fonction publique depuis la fin des années 80 : )

    facile pour Zlatan , qui est 1 des plus grands compétiteurs de la planète sport.. mais je suis sûr qu’ il n’ a rien contre les homos (pas les gays , c’ est autre chose) , car c’ est un gars d’ une très grande compassion .

     

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  • Exactement, ils ne savent pas ce qu’ils font,
    mais peut être que certains savent ce qu’ils font.

    La repentance n’en sera que plus forte.

    Quand vous jouez au premier qui bouge est un pédé,
    sans avoir aucune idée de ce qu’est un gay.
    Qu’est ce que ca donne 5 ou 10 ans après ?

    Est-ce qu’on ne s’en veut pas d’avoir été aussi bête, aussi simple,
    aussi peu informé ?
    Alors que l’homophobie d’antan, elle etait structurée, le "pédé", pouvait
    bouger le premier, ou pas bouger du tout, ca ne changeait à sa condition,
    dite "de nature" dans ce temps la .

    Aujourd’hui l’homosexualité est probablement plus de culture,
    mais là n’est pas le débat.
    Qu’un gay bouge ou pas , ca change quoi à la réalité, sinon le narratif,
    et la culpabilisation à venir, ils ont 10 ans d’avance.

    On traite les gens de "gays" sans aucun fondement moral, spirituel, ou anthropologique,... juste ils ont "bougé".
    qu’est ce que vous voulez que ca donne ?
    A quiprofite le crime ?

     

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  • #3464435

    Zlatan "The King"...

     

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  • Quand le métier d’un prof de français n’est plus d’apprendre à ses élèves à parler et à écrire français correctement, mais à leur expliquer ses orientations sexuelles personnelles ; quand la méthode scolaire consiste à apprendre aux harceleurs ce que ressentent les bolosses, c’est qu’on est dans une société disfonctionelle et en phase terminale.
    L’école de la raie publique n’a plus rien à apprendre aux enfants. Elle sert à en faire des déficients mentaux.

     

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  • #3464440

    Les gens sentent bien que c’est déviant, contre nature...le seul problème est que ce sont des sodomites qui font les lois !

     

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  • Le terme gay vient du français gueux . Utilisé d’abord pour les prostituées dans les prisons de Boston. Il fut étendu aux homosexuels masculin par la suite. Le mouvement LGBT ne fait que stigmatiser encore plus les homosexuels. Comme SOS racisme, voir du racisme partout alors que dans les faits très minoritaires. Idem pour l’idéologie féministe. Les femmes n’ont jamais été aussi dévalorisée dans les faits par contre dans les discours... ça y va . Créer des catégories, des sous-catégories et su ça ne suffit pas en créer d’autres. Du sociétal en veux-tu en voilà, pour camoufler voire bannir le social. Pendant qu’ils occupent le mental de la population avec ces questions horizontales sans horizon d’ailleurs, pas de projets à part réduire la dette, ils nous font les poches. Leur objectif est la diminution de la population. Une guerre civile de tous contre tous les arrangerait bien. L’ingénierie sociale fonctionne à plein. Nous sommes en guerre contre vous, le peuple, les populations... Vous n’êtes que des gueux et en plus sans dents.

     

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  • Cette propagande sert uniquement a bousiller l’esprit des goims blanc .
    Si l’immigré ne pite pas à ces conneries, ça ne les dérange pas …..

     

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  • Ils n’ont toujours pas compris ? L’homosexualité n’existe pas. Seule l’hétérosexualité demeure : la part F est attirée par H et la part H est attirée par F.
    Par contre, chaque individu contient en lui une partie F et une partie H soit alpha*F+(1 - alpha)*H, alpha nombre entre 0 et 1 : Otto Weininger.

     

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  • "Les foules sont propagandophobes."

    C’est une plaisanterie ?

     

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  • #3464449

    Je verrais bien cela en épitaphe : "Si je bouge, je suis gay".

     

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