On a retrouvé, parmi tant d’autres, l’article du Monde relatif au « sacrifice » du policier du Capitole.
C’est la vieille folle Pelosi qui a rendu cet hommage, devenu aujourd’hui ridicule :
« Le Congrès américain est uni dans le chagrin, la gratitude et la reconnaissance solennelle pour le service et le sacrifice de l’officier Brian Sicknick », ont déclaré la présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, et le chef de la majorité au Sénat, Chuck Schumer, vendredi dans un communiqué. Ses actes « lors de la violente insurrection contre notre Capitole ont contribué à sauver des vies, à défendre le temple de notre démocratie et à faire en sorte que le Congrès ne soit pas détourné de notre devoir envers la Constitution », ont-ils ajouté. « Nous avons le grand privilège de rendre hommage à l’officier Sicknick avec cette cérémonie » de recueillement.
Le 6 janvier 2021 les partisans de Trump envahissent le capitole. Un policier attaché à la protection du bâtiment meurt le lendemain. Il aurait été frappé à coups d’extincteurs par des pro-Trump ; émotion générale, hommages. Mais tout est faux.
La vérité de février n’est plus celle de janvier
Brian Sicknick, le policier, avait eu son heure de gloire posthume, visite au funérarium du nouveau Président Biden, hommage national au Capitole, défilé sous forme de cortège funèbre entre deux haies d’honneur, etc…
Il peut arriver que le New York Times soit honnête, mais si. Avec discrétion certes : alors que la mort du policier/martyr avait été largement mise en scène, c’est dans les archives mises en ligne du 12 février 2021 se référant aux articles antérieurs que l’on apprend une vérité toute différente.
Le policier ne présentait aucune trace de coups, n’a jamais été frappé par des partisans de Trump, il serait mort des suites d’une maladie antérieure. Le corps ayant été incinéré, on ne saura jamais la cause réelle de son décès, sinon qu’il n’était pas consécutif à la manifestation des pro-Trump.
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