C’est la question légitime que l’on peut se poser avec la visite du pape, la première depuis 490 ans, dans la cité phocéenne. En 2016, il avait baisé les pieds de migrants dans un geste qui rappelait celui du Christ, qui oignait les pieds des pauvres avec de l’huile.
C’est louable, sauf que laver les pieds des migrants, ça va au-delà du sanitaire, ça bascule dans le politique : c’est dans la droite ligne du programme mondialiste de destruction des frontières, donc des nations. On en voit le résultat tous les jours en France, malheureusement.
Ceux qui ouvrent nos frontières ne sont pas confrontés à cette importation massive de misère : ils l’organisent pour leur profit bien compris. Il s’agit des industries du bâtiment, de l’hôtellerie-restauration, et désormais des plateformes de l’uberisation, celles qui managent les livreurs à vélo.
Sans oublier les loges qui ont intérêt à voir disparaître la France éternelle. Là, on est dans le combat eschatologique. Et François est de leur côté.
La tournée du pape en Méditerranée, ce « grand cimetière »
Ce pape mondialiste ne vient donc pas par hasard à Marseille, ville composée à plus de 30 % d’immigrés plus ou moins récents, selon qu’on compte les clandestins ou pas. KTO nous rappelle que François a placé son règne sous le signe du soutien à l’immigration. Quelle différence avec Leyen, Schwab, Attali et Macron ?
Marseille, son pastis, son club (en difficulté, l’entraîneur vient de se faire la malle à cause des pressions du Milieu, pardon, de la « virulence des supporters »), ses migrants, et ses dealers. Dealers qui s’entretuent à l’arme de guerre, et dont les balles perdues touchent parfois des innocents.
Face au danger, un hélico surveillera le ciel, des tireurs d’élite du RAID seront postés sur les toits, si d’aventure un sniper visait le chef du Vatican. Heureusement, les dealers ne sont pas des snipers : ils travaillent à la kalach et arrosent à la Daech, au petit bonheur la chance. Et la malchance pour ceux qui n’ont rien à voir dans les règlements de comptes.
Marseille, c’est le symbole de la brésilianisation d’une grande ville française : hyperclasse protégée, centre livré aux voleurs et aux casseurs, favelas sur les côtés. Bref, l’anarchie qui découle du capitalisme financier, celui qui privatise les bénéfices et socialise le bordel.
Pour protéger François d’une balle perdue, l’Intérieur a mis le paquet : 5 000 membres des forces de l’ordre, un dispositif jamais vu dans l’histoire, plus 1 000 auxiliaires qui filtreront les invités, sans oublier la bulle anti-drones. Il n’y a jamais eu autant d’ordre à Marseille !
Nul doute que les habitants aimeraient bien que François s’installe durablement sur la Canebière...