La prostitution, malgré le discours progressiste et la joie feinte des travailleuses du sexe, n’est pas un noble métier. C’est un job dur, sale, déprimant, qui détruit moralement et physiquement. En général, on devient pute quand on a été violée dans l’enfance. Mais aujourd’hui, le Système favorise les putes non violées, par l’amour de l’argent. Il y en a qui aiment l’argent plus que leur intégrité physique. D’autres qui aiment plus l’argent que leur intégrité morale : c’est le cas des journalistes Système. Il y en a encore de bons, mais les mauvais pullulent et se reproduisent à une vitesse alarmante.
D’ailleurs, si l’on respecte encore le journalisme, ce ne sont pas des journalistes, ce sont des communicants, des présentateurs, des passeurs de plats. Ce sont les agents de la Kommandantur, ceux qui relayent la parole dominante, sans sourciller, sans le moindre doute, sans la moindre réflexion. Et ça tombe bien : ils sont ignorants et fiers de l’être ! Ce sont des kapos, bien payés par le commandement du camp pour ça, et qui se foutent des conséquences de leur trahison sociale et intellectuelle.
Quelques jours après ce passage, Roselyne Febvre s’est confiée au Point. La journaliste explique que « le standard de la chaîne a explosé » après ses propos. « J’ai depuis été traitée de tous les noms. Plusieurs personnes ont menacé de venir me chercher et me casser la gueule. Ça a duré jusqu’à hier [mercredi] dans l’après-midi », confie-t-elle. Face à ces nombreuses menaces, « dix cars de CRS ont été mobilisés » afin d’assurer sa protection. Mais, d’après elle, aucun Gilet jaune n’a été aperçu à proximité du siège de France 24. (Morandini))
Évidemment, quand ça leur revient dans la gueule, comme ce couple de France 2 qui avait derrière sa vitre provoqué et insulté les Gilets jaunes, ou cette Roselyne Febvre qui a amalgamé les Gilets jaunes à la plus basse humanité, ça pleurniche, ça appelle les flics, ça pisse dans sa culotte. Quand ça a une culotte.
Justement à propos de culotte et de mépris de classe, on a trouvé cette vidéo tirée de la matinale de France Info, avec Myriam Bounafaa et Camille Grenu au commentaire. L’extrait se passe de commentaire : on est en plein racisme social, voire racial. Le Français en colère contre le covidisme est associé à un sous-homme laid, sale et sot, un pauvre plouc de basse extraction.
Vu que les deux pseudo-journalistes n’ont pas retenu la leçon de leur collègue Roselyne Febvre, on va leur rappeler quelques fondamentaux. Le racisme à l’antenne devrait leur valoir une mise à pied automatique, on a vu des animateurs ou des artistes gicler des médias pour moins que ça. Mais le service public audiovisuel n’a pas l’air de se soucier du racisme antifrançais. C’est dommage, si on doit lutter contre le racisme, il faut lutter contre tous les racismes, sinon ça sent un peu l’arnaque. Il y a donc les bons et les mauvais racistes ?
Les journalistes ont le droit de haïr, mais on n’a pas le droit de les haïr
Après les propos d'Eric Zemmour sur l'audiovisuel public , la réponse de @DelphineErnotte : "Je trouve ça très grave d'appeler à la haine contre les journalistes. On sait tous qu'après les mots il y a les actes " #le79inter pic.twitter.com/iCjqa4MN8D
— France Inter (@franceinter) January 12, 2022
Naturellement, on est allé s’intéresser au parcours de ces deux employées d’Ernotte et du Système. On admire ici la qualité de question de Myriam :
On apprend qu’elle adore L’amour est dans le pré. Ici, avec sa voix de bip, la reine de la matinale nous fait visiter sa régie, enfin, ses larbins :
Devant l’éditorialiste homosexuel bien-pensant François Reynaert (qui a dénoncé courageusement, avec seulement 1 000 ans de retard, l’antisémitisme de Saint Louis), Myriam se découvre : « moi, j’me sens super intelligente ».
Quant à sa collègue Camille, Grenu de son nom, ou Grenue si un jour les noms sont féminisés en France, ce sont ses photos qui en parlent le mieux.
De grandes qualités professionnelles. Ah, on oubliait : Camille travaille avec Samuel Étienne. Quel couple progressiste merveilleux !
Voilà, on souhaite à Camille & Myriam un joyeux séjour sur les réseaux sociaux qui sont, on le sait, infestés par les Gilets jaunes, les antivax, les anti-pass et les convoyeurs de la liberté. Tous versant, quand ils le peuvent, leur obole à France Télévisions qui leur extorque 138 euros par an pour leur cracher à la gueule via des agents racistes et pistonnés.
Allo la régie, les 10 cars de CRS sont bien là, dehors ?