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Le mensonge du jour : Le Monde et Sarah accusent Soral d’anti-intellectualisme

Qu’est-ce qu’il ne faut pas écrire pour avoir le droit de figurer en bonne place dans Le Monde, une fois dans sa vie ! Il faut reprendre les termes de la propagande, ces éléments de langage tellement usés qu’ils sont devenus des mèmes et qu’ils font rigoler tout le monde. Par exemple, dans les mèmes mainstream nous avons : la Bête immonde, les idées nauséabondes, la montée de l’antisémitisme, le retour des années 30, les heures sombres et les temps obscurs, la menace populiste... Bref, que des conneries produites par le Haut pour culpabiliser le Bas, dès qu’on demande un peu de fric ou de considération à ceux qui nous les ont piqués.

 

Le 18 juillet 2019, enfin dans l’édition du 18 juillet parce que le journal est vendu en fin de journée et se date du lendemain, histoire d’être encore lu le lendemain, un truc qui fout le bordel dans les archives et dans les dates, le dépliant des Marchés et des Lobbies publie un entretien avec une certaine Sarah Al-Matary, très certaine de ses affirmations nous allons le voir, à propos de l’anti-intellectualisme. On sent déjà accourir le troupeau des mèmes précités. Qui est Sarah ? On avait déjà remarqué que la presse mainstream en général et Le Monde en particulier allaient chercher des « intellectuels » de plus en plus improbables pour défendre leur cause, c’est-à-dire le socialo-sionisme. La ligne BHL, en gros.

Une ligne tellement secouée, vilipendée, et surtout contredite par la réalité qu’il faut faire de grands efforts et de grands écarts intellectuels pour la soutenir. Une gymnastique douloureuse qui finit souvent dans le comique. Mais c’est pas grave, il y a le gros business et les réseaux derrière, il faut entretenir le Mensonge coûte que coûte, donc que les journalistes se débrouillent avec les moyens du bord. C’est ce que fait le pauvre Nicolas Truong qui est obligé de servir la soupe à une jeune universitaire de Lyon 2, la fac tenue par une présidente qui a laissé entrer les clandestins et les Roms dans son établissement par acquis de conscience gauchiste, et qui envoyait des lettres en écriture inclusive pour expliquer qu’elle ne pouvait pas faire appel à la force publique pour déloger ces parasites qui pourtant squattaient les amphis de ses étudiants, qui ont évidemment pâti de la situation. Du grand art comique antiraciste !

Le chapô de l’article ne laisse aucune place au doute :

« De Proudhon à Alain Soral, la haine des intellectuels s’inscrit dans une longue histoire, relate l’universitaire Sarah Al-Matary dans un entretien au “Monde”. »

Quand on est universitaire, qu’on doit se plier à un minimum d’honnêteté intellectuelle et de rigueur scientifique, et qu’on commence son sujet par une fake news de ce calibre, ça ruine tout le reste. On aurait pu en rester là mais en bons professionnels, on a lapé la soupe jusqu’au bout. Des sacrifices comme ça, on en fait tous les jours chez E&R.
Revenons à Sarah : on peut accuser Soral de tous les maux, ce que le CRIF et la LICRA demandent, pardon, exigent chaque jour de la presse, mais jamais d’anti-intellectualisme ! C’est comme si on disait que Zidane ne touchait pas un ballon, que de Gaulle était antifrançais ou que Christine Angot était du niveau de Céline ! Même quand on a la haine, il faut raison garder.

Soral, qui est quoi qu’on en dise – il peut avoir des côtés pénibles – un intellectuel majeur, ne peut en aucune manière avoir la haine des intellectuels, sauf si ce sont des imposteurs, et là il ne s’agit pas de haine mais de mépris. C’est au contraire la dominance socio-culturelle qui a la haine de cet intellectuel majeur. Une inversion accusatoire de toute beauté à mettre au crédit de Sarah, qui ne va pas améliorer sa réputation d’intellectuelle indépendante avec ce malheureux papier. Voyons la suite. Écoutez la première question que Nicolas pose à Sarah, vous allez voir le niveau :

« L’anti-intellectualisme commence très tôt, sur les bancs de l’école et dans les cours de récréation, où l’on traite parfois les bons élèves de “bouffons”. Quels en sont les ressorts ? »

Sarah est légitime pour répondre à cette question de cour d’école, elle a écrit La Haine des clercs. L’anti-intellectualisme en France, un livre que personne n’a lu, comme souvent chez les universitaires de gauche. Tout le monde s’en fout, ça ne touche pas le grand public, c’est du travail et de la recherche perdus, malheureusement, car il n’y a pas que des bouffons au CNRS ou à l’université. Mais ne nous égarons pas dans un autre débat. Voici un morceau de la réponse de Sarah, et vous allez voir qu’elle se prend les pieds dans sa propre argumentation :

« Il est vrai que c’est moins en classe que dans la cour, réservée à la détente et au sport, que de telles insultes sont proférées : les élèves qui préfèrent lire en solitaire se trouvent ainsi ostracisés par ceux qui jouent au ballon ; parmi les souffre-douleur, on compte nombre de “binoclards”. Les lunettes cassées, en couverture de mon livre La Haine des clercs. L’anti-intellectualisme en France, rappellent qu’ils incarnent, dans la littérature et la culture visuelle, le “crâne d’œuf,” la “grosse tête”, le “premier de la classe” jugé trop appliqué, le “fayot” qui donne des gages au professeur – autant dire à l’autorité. »

La pauvre ne se rend même pas compte qu’il s’agit de Soral, que la classe (médiatico-politique) toute entière est liguée contre lui parce que le prof – l’autorité « morale » incarnée par le CRIF – a défini les cibles. Le lynchage anti-intellectuel que subit Soral est ici expliqué par l’inconscient d’une ignorante qui est censée nous éclairer sur la question ! C’est l’illustration de la paille et de la poutre...

En fustigeant Soral, Sarah tombe dans l’anti-intellectualisme le plus grossier mais comme elle fait partie du camp du Bien, elle ne s’en rend même pas compte. Comique, non ? Quant à Nicolas, qui dirige la section « idées » du Monde, ses questions frisent le BHLisme à chaque instant :

« Quelles sont les manifestations les plus importantes de l’anti-intellectualisme aujourd’hui ? Le mouvement des “gilets jaunes” en est-il un des avatars ? »

Heureusement nous sommes honnêtes, nous allons donc publier une autre question de Nicolas, qui devrait mettre Sarah sur la voie (de la Raison), mais l’universitaire aveugle continue à ne pas comprendre sa faute logique :

« Dans votre ouvrage, vous montrez que l’anti-intellectualisme est souvent porté par des intellectuels. Comment expliquez-vous ce paradoxe ? »

Il faut tout simplement comprendre derrière l’expression « anti-intellectuels » qu’il s’agit d’intellectuels qui ne sont pas d’accord avec la doxa officielle, et qui sont marginalisés et stigmatisés pour ça, avec un gros anti-intellectuel marqué sur le front, au fer rouge. On n’a donc pas le droit d’être considéré comme un penseur si l’on pense contre la dominance, c’est aussi con que ça. Et Sarah défend cette entorse majeure à la liberté d’expression, il faut le faire.

Assez parlé, voici les deux dernières questions de Nicolas à Sarah suivies de ses réponses, vous allez voir comment on amalgame l’anti-intellectualisme à Soral en passant par la... misogynie ! Que d’entortillements et d’infractions à la logique pour clouer au pilori le seul intellectuel français qui fait débat mais surtout LE débat aujourd’hui ! C’est un fait. Il n’y a pas une journée sans qu’au moins un média n’évoque (en mal) cet intellectuel qui fait peur. Aucun autre intellectuel en France ne subit une telle violence.

« Des figures médiatiques “alternatives” qui s’érigent contre le “système” ne cessent d’émerger, de l’extrême gauche à l’extrême droite, ou, le plus souvent, en cherchant à dépasser ces clivages. S’agit-il d’un phénomène nouveau ?

Ces circulations ne sont pas nouvelles. On est bien en peine d’étiqueter selon nos catégories politiques Pierre-Joseph Proudhon (1809-1865), fils des Lumières, défenseur de l’égalité des intelligences, mais misogyne et antisémite. Et qui pourrait croire que certains anarchistes de la Belle Époque partageaient avec le nationaliste Maurice Barrès le rejet des abstractions “universelles” ?

Dans ces années, les périodiques sont de véritables creusets où des anti-intellectualistes de tous bords se retrouvent dans l’aversion pour l’ordre bourgeois tel qu’il s’exprime en politique et au sein des arts. On cite souvent les Cahiers du Cercle Proudhon (1912-1914), qui rassemblent des syndicalistes révolutionnaires et des monarchistes ; on connaît moins L’Enclos (1895-1899), petite revue d’art social à laquelle contribuent aussi bien l’écrivain boursier Charles-Louis Philippe que le sculpteur Jean Baffier, farouche antidreyfusard qui se pose en Jacques Bonhomme (le type du paysan révolté) pour attaquer les intellectuels. »

Et maintenant le dernier morceau, le clou du spectacle de Sarah & Nicolas, la pub nationale pour Kontre Kulture :

« En quoi la haine des clercs est-elle, selon vous, étroitement liée à la misogynie ?

Les quelques femmes “de tête” dont on raille la laideur, l’inconvenance et l’inanité au début du XIXe siècle sont un objet de divertissement ; celles qui prétendent obtenir des diplômes paraissent beaucoup plus dangereuses, ainsi qu’en témoigne le roman de Charles Paquier, Les Malfaisants (intellectuels), daté de 1901. Dans la production anti-intellectualiste, l’hostilité à l’égard des femmes qui font valoir leur capacité à penser rencontre le procédé polémique immémorial qui consiste à déviriliser un adversaire pour le discréditer : Proudhon, Maurras et leurs émules, aussi bien que Céline, Drieu la Rochelle ou Jean-Marie Le Pen y ont recours.

Ces dernières années, plusieurs “classiques” de l’anti-intellectualisme misogyne ont été republiés par Kontre Kulture, la maison d’édition fondée par Alain Soral : des œuvres de Proudhon, de Georges Sorel (Textes choisis et Introduction à l’économie moderne) ou de son disciple Édouard Berth, auteur des Méfaits des intellectuels, ainsi qu’une reproduction des six premiers Cahiers du Cercle Proudhon. En 2016, il était possible de s’offrir pour Noël un coffret “Macho” (ainsi présenté) comprenant, outre La Pornocratie, de Proudhon, le DVD de Confession d’un dragueur, d’Alain Soral.

Ce film s’inspire en partie de Sociologie du dragueur (1996), ouvrage où Soral oppose le dragueur à l’intellectuel célibataire, onaniste ou putassier, non sans préciser que lui-même se trouve dans un entre-deux : il est un “ancien dragueur de rues [sic] qui aimait les livres autant que les filles, si bien qu’entre les deux il n’a pas choisi”.

Comme beaucoup d’anti-intellectualistes, il invoque son expérience et mythifie sa vie. Tout en concédant que la femme est une menace pour le mâle, il la présente comme nécessaire, parce qu’elle permet de rester en prise avec le réel. À l’idéal érotique des poètes il préfère le terrain : “Quand la femme arrive, le sexe se dresse, et le livre a tendance à vous tomber des mains”, déclare-t-il. »

Merci Sarah, merci Nicolas, pour cette publicité gratuite et formidable, malgré quelques non-sens et aberrations, tout à fait pardonnables chez une femme, qui plus est issue de l’université gauchiste Lyon 2, ce qui ne facilite pas l’entendement. Sarah, c’est quand tu veux pour une joute verbale, intellectuelle, sans sous-entendus machistes.

 

Bonus : Sarah est (invitée) partout !

 

Sarah chez Éléments

 

Sarah chez Le Média

 

Et bientôt Sarah chez E&R ?

Pour montrer que nous ne sommes pas dans l’anti-intellectualisme primaire, voici un hommage à l’intellectuelle Sarah, même si le texte est un tantinet machiste (Johnny jette Sarah après avoir probablement couché avec elle).

 

À ne pas manquer, sur E&R :

 






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36 Commentaires

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  • #2242829

    Foin de la vérité dont ils se fichent comme d ’une guigne ; ces gens peuvent dire selon la célèbre formule : " je me lève chaque matin en me demandant que puis-je faire ce jour pour Israel ? "

     

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  • Soral, qui est quoi qu’on en dise – il peut avoir des côtés pénibles –




    Et ben, je suis sûr que si on écrit ça dans les commentaires, on se fait "modérer à priori".

    Sinon, vous êtes sûrs que vous avec compris ce qu’on appelle "anti-intellectualisme" ? Pour être anti-intellectualisme conséquent, il faut être intellectuel, ça va de soit, il faut réfléchir et étudier la question en fait, y consacrer du temps, ce que le non-intellectuel ne fait pas. Donc ce que je comprends c’est qu’être anti-intellectualisme c’est considérer qu’une pure réflexion intellectuelle non accompagnée d’un vécu concret et réel, c’est de la br..., c’est stérile, c’est dangereux, ou que sais-je, et il me semble que Soral s’inscrit bien là-dedans. Et qu’il n’a pas forcément tort.

     

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  • #2242908

    La fameuse source intarrissable de crétins, vermines et traîtres que je cite pour la 3e fois. Chaque semaine son lot de canailles.

     

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  • #2242994

    C’est Matahari ?

     

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  • #2243088

    Merci cher E et R d’avoir fait découvrir Sarah, et Nicolas aussi, à ceux qui ne lisent plus "Le Monde" depuis bien longtemps.

    Question classe, élégance, humour, culture, absence de snobisme et de langue de bois, personne ne peut vous en remontrer. Les lecteurs, avec des profils très divers, -ce qui est l’un des charmes du site-, ne s’y trompent pas.

    En ce qui concerne le "nationaliste Barrès", Sarah devrait lire un petit peu et dépasser les thèses de Sternhell répétées par les nègres de bhl. Pour le moment elle a des excuses car elle est encore jeune et son université ne l’a sûrement pas incitée à lire l’auteur qui a profondément inspiré, selon leurs propres témoignages, tous les romanciers du XXème siècle (Mauriac, Malraux, Montherlant, Aragon et bien d’autres).

    Quelques petites suggestions à Sarah et à Nicolas pour l’été, afin de sortir des lieux-communs :
    - Une enquête aux pays du Levant (excellente réédition récente chez Manucius) ;
    - La mort de Venise (Ed. Nicolas Chaudin).
    - Le mystère en pleine lummière (son dernier livre) ;
    - Greco ou le secret de Tolède ;
    - Le voyage de Sparte.

    Et dans une veine plus politique dont l’actualité ne se dément jamais depuis plus d’un siècle : "Leurs figures" (sur le scandale de Panama).

     

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  • #2243091
    Le 19 juillet 2019 à 22:00 par The Médiavengers Zionist War
    Le mensonge du jour : Le Monde et Sarah accusent Soral d’anti-intellectualisme

    Je dois avouer que je n’ai rien compris.
    Qu’est-ce que l’anti-intellectualisme ? Des intellectuels qui haïssent des intellectuels ? Ou des non-intellectuels ?
    Alors en quoi consiste "l’intellectualisme" ? Ça se transmet par la mère ?
    C’est balèze quand même. Ils en arrivent à inventer des notions ésotériques pour essayer de contrer Alain Soral.
    D’après elle (je ne sais pas si elle a raison), il ne peut donc y avoir que des intellectuels de droite ou de gauche, un intellectuel est forcément "engagé". N’est-ce pas un présupposé un peu hasardeux ? A partir de là, je suppose qu’elle déroule toute l’auto-justification habituelle de la gauchiste "engagée" (pléonasme). Je n’ai pas regardé la suite, j’essaie de préserver les faibles capacités cérébrales qui me restent.
    Les universités françaises fabriquent des quantités industrielles de branleuses gauchistes comme les usines fabriquent de la saucisse ou du boudin. Consternant.

     

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  • #2243092
    Le 19 juillet 2019 à 22:01 par La censure ne s’affiche pas comme telle.
    Le mensonge du jour : Le Monde et Sarah accusent Soral d’anti-intellectualisme

    Si vous êtes contre les brimades et persécutions a l’école...
    Alors vous devez être pour les oligarques et la persécution des opposants.

    Un faux enchaînement qu’ils tentent de faire passer a force de monopole du micro.

     

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  • Il convient de définir ce qu’est l’anti-intellectualisme source de la "haine des clercs" dans l’ouvrage de Sarah Al-Matary.
    Le Larousse définit l’anti-intellectualisme comme étant le « refus de reconnaître la prééminence de l’intelligence et la valeur des sciences ». D’une manière générale, il s’agit d’une doctrine qui rabaisse la valeur de l’intelligence pure ou de l’éducation en exaltant la sensibilité, l’imagination, l’irrationalisme, l’intuition ou simplement le bon sens commun.
    Donc c’est avec des qualités que l’on retrouve généralement chez les femmes et que l’on exacerbe jusqu’à l’hystérie, que cette intellectuelle nous explique ce qui caractérise un anti-intellectuel ?!
    C’est de la misogynie caractérisée ou suis-je aveuglé par mon égo virile totalitaire ?
    Bon elle précise dans la deuxième vidéo qu’il ne faut pas confondre anti-intellectualisme avec anti-philosophisme (des lumières quand même) en opposition à la philosophie de la foi (conservatisme dans son esprit) pour expliquer que l’on retrouve également des anti-intellectualistes à gauche comme à droite (aux extrêmes).
    Par extension, on est pas loin de ce que les intellectuels institutionnels définnissent comme faisant partie des "rouges bruns" ?
    Par contre sa critique sur le ressentiment de certains anti-intellectualistes prolétarisés du fait de l’arrivée massive de lettré pendant la révolution industriel reste pertinent (origine du gauchisme ?).
    Ce qui a été ancré dans nos esprits tout au long du processus de rééducation populaire repose en partie sur un mythe de la psychologie moderne qui tend à définir les individus selon leurs propensions à utiliser leur hémisphère gauche (associé au raisonnement logique et rationnel) ou leur hémisphère droit (qualifié d’intuitif et d’émotionnel).
    On en revient d’ailleurs à la définition du Larousse (coïncidence ?).
    C’est d’ailleurs au XIXème que cette hiérarchisation, dont la science actuelle tend à pourfendre, que l’on voit apparaître cette asymétrie Gauche-Droite en politique.
    E&R comme les proudhoniens d’hier, ambitionne de faire communiquer à nouveau nos deux hémisphères ("gauche du travail droite des valeurs").
    L’anti-intellectualisme serait alors la stratégie du diviser pour mieux régner (ordo ab chaos), devise des pères fondateurs de notre REPUBLIQUE et qui rencontre depuis le début de son histoire, la résistance d’intellectuel qui ont tendance à refuser cette dissonance cognitive ambiante, au risque de commettre de salutaires erreurs !

     

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  • c’est marrant mais quand j’écoute cette femme elle me saoule en 2 minutes, je décroche. Avec Alain je n’ai pas ce problème.

     

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  • Merci à cette cruche d’avoir apporté sa contribution à un anti-intellectualisme qui n’en a pourtant pas besoin. C’est l’éternel numéro de l’arroseur arrosé ... mais là carrément par ses propres soins !

     

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