Quiconque continue à soutenir un developpement technique et scientifique totalement débridé, et qui depuis la fin du 18éme siècle se veut libre de toute entrave morale prenant appui dans l’imperceptible, se rend automatiquement complice des fléaux que sont les catastrophes nucléaires et génétiques (voir OGM).
Identifier systèmatiquement tout developpement technique à un "progrés" sans en mesurer le coût réel sur nos vies et notre environnement, est une forme de religiosité inversé qui tout comme le culte païen de "l’homme dieu" en quéte d’un paradis terrestre ilmmédiat déchaînant toutes les avidités et tout les vices, repose sur des chimères menant inéluctablement l’humanité à sa chute.
Ont juge l’arbre à ses fruits, ainsi ceux qu’à engendré l’humanisme illuminé au 18éme siècle, et dont sont aujourd’hui imprégnés les consciences des peuples du monde entier grâce au travail des loges (l’Homme dieu, "bon" par nature), révélent qu’ils sont intégralements pourris jusqu’au trognon !
Quel que soit le régime politique le plus souverain, libertaire, égalitaire et fraternelle soit il en apparence, il y aura toujours des hommes corrompus pour en exploiter les moindres failles, et ainsi démontrer que le pouvoir politique temporel, ne peut être réellement au service du bien de tous, sans la présence d’une autorité morale supérieure restauré dans son intégrité (l’Eglise), et obeissant elle même à des commandements divins révélés sur laquelle repose son autorité et sa légitimité.
Pour rappel l’Eglise en tant qu’institution, ce n’est pas seulement la hierarchie episcopale de Rome, certes indispensable gardienne du dogme de la foi contre les schismes et les divisions inspirés par le Diable, mais dont certains de ses membres n’en demeurent pas moins succeptibles d’êtres corrompus, car eux aussi "pécheurs".
L’Eglise c’est donc l’ensemble des Chrétiens fidéles à la parole révélé du Christ, à savoir celle qui fut également institué par l’apôtre Pierre à la demande du Christ lui même, et qui après avoir été longuement persucuté parvint sous le régne de Constantin, à transcender tant bien que mal, le pouvoir temporel pour le soumettre aux lois divines révélés, de liberté dans le respect de l’équilibre naturel, d’égalité dans le partage, et de fraternité dans l’amour du prochain.
Le premier devoir d’un Chrétien n’est pas de se reconnaître comme un "ELU" ayant une obligation de "supériorité", mais comme un pauvre pécheur.
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