En 2001, le FN avait pu se maintenir au second tour dans 41 villes de plus de 30 000 habitants. Cette année, signe d’un déclin qui se confirme, le parti de Jean-Marie Le Pen n’est en mesure d’être encore en lice dimanche prochain que dans sept villes de plus de 30 000 habitants : à Perpignan (Pyrénées-Orientales), Mulhouse (Haut-Rhin), Calais (Pas-de-Calais), Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), où Marine Le Pen arrive en deuxième position avec 28,53 % des voix, Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), Romans-sur-Isère (Drôme), ainsi que dans le septième secteur de Marseille (Bouches-du-Rhône).
Dans les communes de 10 000 à 30 000 habitants, le FN peut se maintenir dans six localités supplémentaires, Bourg-de-Péage (Drôme), Cluses (Haute-Savoie), Noyon (Oise), Oignies (Pas-de-Calais), Vernon (Eure), Villers-Cotterêts (Aisne).
Le FN a vu dimanche l’élection de 40 conseillers municipaux, contre 107 en 2001. Au premier tour des cantonales, le FN recueille 4,8 % des suffrages environ, contre 6,9 % en 2001.
Source : Le Parisien
Dans les communes de 10 000 à 30 000 habitants, le FN peut se maintenir dans six localités supplémentaires, Bourg-de-Péage (Drôme), Cluses (Haute-Savoie), Noyon (Oise), Oignies (Pas-de-Calais), Vernon (Eure), Villers-Cotterêts (Aisne).
Le FN a vu dimanche l’élection de 40 conseillers municipaux, contre 107 en 2001. Au premier tour des cantonales, le FN recueille 4,8 % des suffrages environ, contre 6,9 % en 2001.
Source : Le Parisien