" On ne combat bien que ce qui s’exprime librement. "
C’est ce que la clique à Fabius a bien compris :
pour qu’il y ait une victime, il faut qu’il y ait un bourreau, en l’occurrence : pour entretenir une victimisation bien utile (puisqu’elle confère statut social, privilèges et protection quasi-sacrée), il faut obligatoirement entretenir le mythe du bourreau, et le révisionnisme en est le pain béni : on le transforme comme par magie en négationnisme, qui se tranforme aussi facilement en antisémitisme, et voilà : la boucle est bouclée, et le tour est joué !
C’est toute la perversité de la loi Fabius-Gayssot de 1990 : interdire le combat d’idées pour que perdurent les idées (et les avantages qu’elles procurent). Ainsi :
pas d’expression libre qui pourrait nuire à l’un ou l’autre des partis.
pérennité de la bête immonde tapie dans l’ombre (forcément).
Cette forfaiture législative aurait dû choquer tout juif intellectuellement honnête car, après tout, s’il apprenait par exemple (via une recherche historique transparente) que le nombre de victimes de sa communauté était revu à la baisse, il n’aurait qu’à s’en réjouir, humainement parlant.
Et bien, malheureusement, on dirait que c’est l’inverse qui rassure : plus il y a eu de victimes, mieux ça vaut. C’est moralement absurde, voire indécent, mais force est de constater que c’est, hélas, communautairement valable.
D’ailleurs, l’imminence juive Rav Ron Chaya n’avoue-t-il pas que la shoah a été un immense bienfait ?
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