1) Je croyais que Micron 1er, et la femme à barbe qui lui sert de premier sinistre, voulaient "simplifier" le droit du travail. Au lieu de cela, ils veulent ajouter une couche avec un contrat précaire. Gné ... Planquez-vous, le MEDEF est aux manettes ! Ce syndic. de patrons est un frein pour les performances industrielles et économiques françaises. C’est le genre à virer le moteur d’une bagnole pour qu’elle soit plus légère et qu’elle avance plus vite. Gné.
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2) Précariser le contrat et le limiter à la mission, au projet, au chantier, changent complètement les données du chmilblick, puisque dans ce cas, le salarié à tout intérêt à ce que la mission, le projet, le chantier, durent le plus longtemps possible, à l’inverse du salarié employé en CDI qui fait partie de la "famille" et qui a tout intérêt à entrer dans la compétition. Cette situation est, de plus, aggravée par les situations de quasi-monopole des pachydermes à becs du CAC40.
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Si des patrons, enarques, sciencepotards, politicards et autres grosses têtes sont compétents dans l’entourloupe, des salariés ne le sont pas moins. C’est une caractéristiques également répartie au sein de la population, au même titre que la bêtise.
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Quand il faudra 2 ans pour réaliser un projet qui dure habituellement 6 mois, peut-être qu’on se posera la question de la précarité des contrats.
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En attendant, Areva qui rame avec ces E.P.R., et qui accumule les retards, devrait déjà s’en préoccuper.
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Persévérer dans l’erreur, c’est la marque du diable.
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