Les révolutions ne sont jamais le fait du peuple mais d’une clique attenante au pouvoir s’employant à rester tranquille dans les coulisses tout en orchestrant la stratégie, qu’ensuite, le peuple empiète le pas il en faut peu, d’autant que parmi le peuple il y aura toujours un bloc doté de bonnes raisons pour s’en prendre au pouvoir quitte à le chavirer.
Car, le peuple est d’abord dispersé, éparpillé sur une superficie qui n’équivaut jamais à une grande place genre agora, ainsi, le peuple n’est pas un monolithe, tel un seul homme, agissant et pensant de concert avec lui-même. Le peuple est l’expression fourre-tout, à qui l’on fait dire ce que l’on veut, apparue après la révolution de 1789, invitant à sous-entendre le peuple être à l’origine de la révolution.
Si donc, comme le dit Jacques Attali, il va y avoir une révolution, soyons certains qu’elle se présente concocté dans les papiers et calendriers de la clique tranquille dans les coulisses du pouvoir.
Pas besoin de sortir de Science Po pour piger cette clique être adoratrice du veau d’or, imitatrice du diable, maîtresse de l’usure-dette, suppôt de Satan, prince de ce monde...
Quand Jésus s’adressant aux pharisiens, ceux-ci pères des rabbins talmudistes d’aujourd’hui, leur allègue : vous avez pour maître le diable. Nous incombe de ne jamais oublier cette information, deuxio, il serait temps de comprendre depuis quand Satan est le maître (ou le dieu) des pharisiens ?
Jésus ne formule pas le mot Dieu mais le mot maître et c’est kif-kif.
Quand tu comprends qui est Jésus, que tu lis ses paroles retranscrites par les apôtres, tu comprends qu’il est la vérité, le chemin, la vie. Si tu ne marches pas avec lui, tu te condamnes à errer dans les mensonges et les tromperies sans fin.
Et comme sur terre se promène le prince de ce monde, chacun en veut pour son pèze, afin de lustrer son ego, dé lors, peu s’inclinent ou s’ingénient à marcher avec Jésus.
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