Après son débat désastreux face à Trump le 28 juin 2024, où le président en exercice qui a volé l’élection de 2020 n’a même pas pu finir ses phrases, le NYT, le très influent canard démocrate de la côte Est, lui demande tout simplement de laisser sa place. Où l’on comprend qui commande.
Le NYT, c’est le croisement entre les intérêts de Wall Street et du lobby juif américain (AIPAC et compagnie), soit le pouvoir financier et le pouvoir médiatique communautaire. De l’autre côté de l’Amérique, vous avez le pouvoir culturel et militaire, avec les GAFAM et Hollywood en Californie, plus l’industrie de l’armement, notamment au Texas. Au milieu, le pouvoir agricole exportateur (merci aux aides de l’État) et le pouvoir industriel déclinant (automobile, acier), exception faite du renouveau industriel dû aux gisements de gaz de schiste des Appalaches et de l’Illinois. On schématise, mais c’est pour la démonstration.
Le NYT, qui a aidé à porter Biden au pouvoir, pourtant le type le plus corrompu aux States depuis 50 ans (ça en dit long sur la corruption de l’information au journal), renvoie donc sa marionnette aux vestiaires, et commande un autre candidat démocrate. Tout le monde sait que Biden se fait chantager par le pouvoir profond, qu’il vient de l’État le plus pourri du monde (le Delaware), qu’il tripote des petites filles en direct, que son fils est un dangereux malade, pédo et camé, mais rien n’y fait : quand on est dans le camp du bien, on y reste. On peut tout faire, c’est un chèque en blanc. Le problème, c’est que Biden ne sait plus où il habite, et que sa laisse, c’est-à-dire la télécommande, se voit comme une vache dans un couloir.
En France, la presse libérale de gauche (Libé, Le Monde) n’ose pas dire que l’élection précédente a été volée par une organisation qui a placé un incapable aux commandes. On trouve quand même un type sur Terre pour qui Biden a été le plus grand président américain, à part peut-être Lincoln et Kennedy. Ce type s’appelle François Hollande, et il se présente à la députation ce 30 juin en rêvant de devenir Premier ministre de Macron, sans honte. Nous aussi on a nos gros tocards.
— Elon Musk (@elonmusk) June 28, 2024
Même les pires agents du Système considère que le débat a été un calvaire pour le camp du bien, tout en insistant, parce qu’on ne se refait pas, sur la vulgarité (et les mensonges) de Donald. Pourtant, c’est bien Biden qui sort « you’re a sucker, you’re a loser ». On préfère ne pas traduire les gros mots, ici.
Au fait, pourquoi ne pas envoyer Hollande aux USA ? Il a une bonne tête de vainqueur.
Pour en revenir au sérieux, le débat actuel porte sur : qui à la place de Biden, pour les 150 jours qui restent ? Hillary la cramée ? Michelle la trans ? Un techno sorti des tiroirs du Parti démocrate ?
On a une petite idée : Alexandria Ocasio-Cortez. On ne sait pas pourquoi, mais on la trouve bonne, malgré son wokisme.