Dans une interview donnée à un journal communautaire, le directeur des relations internationales du Centre Simon Wiesenthal Europe annonce vouloir s’opposer à la création du parti politique Réconciliation nationale.
Il ne fait « aucun doute » que Réconciliation nationale contiendra « la forme la plus flagrante et la plus vorace [sic] d’antisémitisme ». C’est ainsi que Shimon Samuels, directeur des relations internationales du Centre Simon Wiesenthal pour l’Europe centrale, a justifié dans une interview donnée au journal en ligne The Algemeiner son ambition de s’opposer à la création du parti politique Réconciliation nationale par Alain Soral et Dieudonné (parti français, faut-il le rappeler).
Samuels a indiqué qu’il entendait déposer une « protestation formelle » (a formal protest) en vue d’empêcher l’approbation du parti par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), ou même d’obtenir son interdiction pure et simple.
Le Centre Simon Wiesenthal, une « ONG » basée à Los Angeles, est spécialisé dans la traque vengeresse et la dénonciation des anciens « nazis » encore en vie – c’est-à-dire, aujourd’hui, des vieillards de plus de 90 ans ayant travaillé, parfois de près mais souvent de très loin, pour le IIIe Reich durant la Seconde Guerre mondiale. Un « ni pardon ni oubli » pour l’éternité, très éloigné du pardon chrétien et doublé d’une suspicion systématique, parfois délirante, envers tout ce qui s’approcherait de trop près d’une critique du sionisme ou du lobbying des représentants communautaires juifs.
Rappelons que c’est le Centre Wiesenthal qui a exigé et obtenu les excuses du basketteur Tony Parker pour sa quenelle en décembre 2013, et que c’est ce même organe du lobby israélien qui a fait au dessinateur Zéon l’immense honneur de le placer dans son top 10 des « antisémites » de l’année 2013.