Étrange situation où une institution qui regroupe à peine 65 associations dont certaines ne sont pas des associations juives françaises mais para-gouvernementales israéliennes, et dont une grande partie n’est qu’un ensemble de coquilles vides, – sans vouloir leur faire offense – procède à un changement de président sans élection.
Il serait bon une fois pour toutes que chacune d’elles (désignées ci-dessous) nous dise, combien de membres elles comptent vraiment parmi leurs adhérents, et que l’on mette une limite basse pour que la représentativité soit réelle.
Il n’est pas normal qu’une association se dise représentative avec un droit de vote tout en ne regroupant pas un nombre significatif d’adhérents.
De plus certaines personnes sont membres de plusieurs comités directeurs à la fois sans jamais siéger, ce qui démontre de la pauvreté de la gouvernance communautaire.
Cette extrême pauvreté est mise en relief par l’absence total de candidat à un poste clef comme celui de la présidence du CRIF. Cela est le résultat d’années de blackout sur la gouvernance, le non-renouvellement des cadres, l’absence de volonté réelle de démocratie, cela pour fonctionner en vase clos.
L’exemple des dernières présidences est flagrant en la matière. Après huit ans de mandat de monsieur Roger Cukierman, ce dernier place son ami monsieur Richard Prasquier pour huit ans, qui redonne la place à Roger Cukierman lequel la donne aujourd’hui à son ami Francis Kalifat.