Attention aux arguments trop « simplets » qui décrédibilisent les thèses « complotistes », au sujet de la température du feu de kérosène trop basse pour faire fondre l’acier de la structure des tours.
La question n’est pas de faire fondre l’acier, mais de le chauffer suffisamment pour lui faire perdre sa résistance mécanique, et pour cela il suffit d’atteindre une température de 500-600°C, très inférieure à la température de fusion de l’ordre de 1500°C.
Le feu de kérosène peut donc affaiblir suffisamment l’acier, mais à condition que celui-ci soit exposé suffisamment longtemps au feu, sans être protégé par une enveloppe ignifugée (amiante, laine de roche, etc.).
Donc, les véritables arguments qui mettent en doute la « version officielle » sont (entre autres) :
Plusieurs tours ou immeubles élevés en construction métallique analogue au WTC ont subi des incendies ayant duré plusieurs heures (beaucoup plus longtemps qu’à New York) avec des flammes sur toute la hauteur (alors qu’au WTC l’incendie était localisé sur une zone limitée), sans s’écrouler.
Si la structure d’acier avait été affaiblie par la chaleur, il aurait été étonnant que cet affaiblissement soit réparti de manière symétrique et concerne simultanément tous les éléments porteurs, alors que ceux du côté qui a subi le choc de l’avion (si avion il y a...) auraient dû céder plus vite que ceux du côté opposé. Cela aurait entraîné le basculement et la chute latérale de la partie supérieure des tours, au lieu de leur effondrement vertical jusqu’au niveau du sol, sans que les étages inférieurs, qui ont subi moins de dommages, opposent la moindre résistance. D’ailleurs, curieusement, sur une vidéo de l’une des tours, on voit le haut qui commence à basculer et se redresse comme par magie pour tomber ensuite verticalement, bizarre, bizarre...
Enfin un autre argument « indirect » est que Larry Silverstein, l’heureux (et récent) propriétaire des deux tours aurait dû dépenser beaucoup d’argent pour leur désamiantage (ce qui confirme au passage que les structures métalliques étaient bien ignifugées et pouvaient résister au feu...). Non seulement le désamiantage ne lui a rien coûté, mais il a touché en plus une très grosse indemnité d’assurance. Des millions de new-yorkais ont respiré pendant des jours un air chargé d’amiante et d’autres particules fines si nocives, mais eux ils pourront toujours se brosser pour toucher une indemnité quelconque quand les cancers du poumon se déclareront.
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