« Jeffrey Epstein s’est-il suicidé ? » C’est le titre du résumé en anglais (non sous-titré en français) de l’émission américaine 60 Minutes diffusée sur la chaîne CBS le 9 janvier 2020 et consacrée à la mort du pédocriminel américain de confession juive Jeffrey Epstein.
Pour la première fois, des clichés sortis de sa cellule sont mis à la disposition du public. Nous voyons la prison de l’intérieur, sa cellule de l’intérieur, son lit, le drap orange qui a servi à se pendre, ou à le pendre, une photo du cadavre, dont on se demande encore s’il s’agit bien du pédocriminel international.
- Le coin où Epstein se serait pendu avec son drap orange
Le sujet revient sur l’impossibilité physique se pendre à un lit qui n’était pas suffisamment grand, Epstein mesurant 1m80. Il aurait fallu que le détenu replie ses jambes pendant son agonie pour pouvoir mourir...
De plus, la marque sur le cou n’est pas celle d’une pendaison : il s’agit plutôt d’un étranglement avec os hyoïde cassé. Trois fractures, on le rappelle, ont été constatées par le médecin légiste sur le cou d’Epstein. Normalement, les pendus ont une marque très nette juste sous la mâchoire, mais rien de cassé à la base du cou.
- L’occasion de travailler un peu son anglais et son anatomie
Plus grand-monde ne croit à la version officielle, à une pendaison d’un homme déprimé. Le procès n’aura jamais lieu, ce qui doit faire souffler bien des puissants, dont l’ancien président américain, deux fois élu, le démocrate William Clinton, Bill pour les intimes. Et des intimes, il en avait. Voyez ce cliché sorti d’une soirée en compagnie d’une jeune fille, ou d’une très jeune fille :
Rassurant, non ? D’autres photos le montrent très décontracté dans le Lolita Express, le jet privé d’Epstein qui faisait la navette entre les États-Unis et son île de multimillionnaire (probablement enrichi dans le chantage sexuel à haut niveau, et pas dans les mathématiques, cette légende pour journalistes mainstream), une île très bien défendue et construite pour y abriter des agressions sexuelles sur mineures.
Mais est-ce vraiment Epstein sur la photo ?
Avec tous les événements insolites, voire incroyables qui entourent sa mort – les deux gardiens qui se sont endormis (renvoyés en correctionnelle, ils plaident non coupables), la vidéo de surveillance 24/24 qui a été détruite suite à une « mauvaise manipulation », le stylo à bille à sa disposition qui aurait pu devenir une arme contre lui ou un gardien, le câble électrique de plus de deux mètres qui aurait été plus pratique pour se suicider que son drap noué, les trois fractures d’un étranglement violent, la fuite de sa compagne Maxwell, les enquêtes qui n’avancent pas, les médias tétanisés –, on est en droit de se le demander sans tomber dans le conspirationnisme le plus irrationnel.
- Le câble à disposition...