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La sorcière Marina Abramović au secours de l’Ukraine

Marina Abramovic est une performeuse de l’art contemporain, autant dire un escroc. Sa grande œuvre : la compétition de regards avec les passants du musée d’art moderne de New York.

En 2010, Marina Abramović est au cœur d’une importante rétrospective que lui consacre le MoMa à New York. C’est l’occasion pour elle d’imaginer et de créer une nouvelle performance solitaire intitulée The Artist is present. Immobile, assise à une table et Marina Abramović invite le public à s’asseoir face à elle et à soutenir son regard. L’artiste reste assise 736 heures et 30 minutes, un exploit d’endurance physique et mentale. Voyant passer devant elle près de 750 000 personnes, elle demeure impassible tout au long de la performance, jusqu’à ce que son grand amour de jeunesse, Ulay, qu’elle n’a pas vu depuis plus de vingt ans, prenne place face à elle… En pleurs mais obligés de garder le silence, ils ne peuvent s’empêcher de se rapprocher pour se tenir les mains, mettant quelques instants la performance de côté. Un moment d’émotion intense, où l’imprévu de la vie prend le dessus sur la performance artistique. Peut-être l’un des instants les plus émouvants de l’histoire de l’art contemporain et conceptuel. Voici la vidéo, on vous laisse juger par vous-mêmes. (amelie-paris.com)

 

Naturellement, comme la plupart des people ou des escrocs du monde de la culture officielle, Marina doit prendre fait et cause pour l’Ukraine, car le camp du bien l’exige. Ça fait partie du contrat avec le Diable, sans ça, pas de médias, pas d’expos, pas d’argent public ou privé. Autant dire devenir ou redevenir un artiste, pauvre, incompris, déprimé, un Van Gogh, quoi. Mais qui a envie de souffrir pour l’Art, aujourd’hui ? La plupart préfèrent faire souffrir les yeux, les oreilles et le sens de l’esthétique des autres avec l’art, justement.

 

Résumé de la prise de parole politique de la sorcière

« L’attaque contre l’Ukraine est une attaque contre nous tous, une attaque contre l’humanité, et elle doit être stoppée. »

 

On croirait entendre Valérie Pécresse qui miaule « stop » à Poutine. Vladimir n’a pas dû l’entendre, il faut que Valérie parle plus fort, en outre, ses conseillers en communication lui ont demandé de parler plus vite, parce qu’elle donne l’impression de s’adresser à des imbéciles.

 

 

Marina est nécessairement pro-théorie du genre et pro-sexualités déviantes. Il faut dynamiter les codes sociaux et moraux, mort à la normalité !

Marina, des « performances de l’extrême »
(mais pas d’extrême droite, attention)

Les œuvres de Marina Abramović et Ulay mettent en œuvre les limites physiques de leur corps, celles de leur relation, les limites et les capacités mentales, ainsi que les codes sociaux ou culturels qui les conforment dans des stéréotypes de genre, de sexe, de normalité. Imponderabilia, 1977 contraint le visiteur de l’exposition à l’occasion de laquelle se déroule la performance à opter pour la personne à laquelle il fera face pour passer : Ulay ou Marina, homme ou femme, nus de part et d’autre de la porte. Dans Breathing in/Breathing out, 1977, les deux performers, dans un baiser indéfectible, respirent l’air qu’expire l’autre jusqu’à l’asphyxie potentielle ; tandis que dans Talking about Similarity, 1976, la question est de savoir s’il est possible de parler pour l’autre, Ulay s’étant cousu la bouche tandis que Marina doit s’exprimer à sa place. The Lovers : The Great Wall walk, 1988, est la dernière performance qu’ils réalisent ensemble alors même que leur relation se dissout. Elle nécessitera huit années pour obtenir l’accord des autorités chinoises et sera une façon de tester le potentiel d’une relation dont ils savent tous deux qu’elle est finie. Partant des deux extrémités de la Muraille de Chine, marchant pour se rejoindre en son centre, ils constatent au moment de leurs retrouvailles l’impossibilité de continuer à communiquer et se séparent définitivement. (adaptationmagazine.com)

Quelle est la réaction du public rétrograde face à cette immense artiste ? On vous le donne en mille : la violence.

 

 

Conclusion  : quand on s’attaque à la normalité, la normalité risque de répondre.

Pourquoi ne pas considérer cette courte scène de boxe comme une performance du public, un public dont Marina se sert (gratuitement) pour ses propres performances ?

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