Les Israéliens n’ont pas attendu le 11 septembre 2001 pour lancer la « guerre au terrorisme », qui est tout simplement le nom du terrorisme israélien.
« Palestiniens », « Hezbollah », « terrorisme », « antisémitisme », tous les prétextes sont bons pour affaiblir leurs ennemis. D’ailleurs, Israël n’a que des ennemis.
Et ce n’est pas parce que l’écrasante majorité des nations de la Terre ne reconnaissent pas ou détesteraient Israël, mais parce que les dirigeants politico-religieux de cette entité haïssent le reste du monde.
Israël mène bien une guerre mondiale, une guerre contre le monde.
L’aviation israélienne a tenté une nouvelle fois hier, vendredi [11 janvier 2019], vers 23 heures (heure locale) de frapper des localités dans l’ouest de la capitale.
Citant un communiqué de l’armée syrienne, l’agence d’informations syrienne SANA affirme que huit missiles ont été interceptés et détruits. « Les dégâts sont limités et ne concernent qu’un hangar de l’aéroport où les vols se poursuivent normalement », a précisé SANA.
Une vidéo publiée par SANA dans les heures suivant la frappe met en scène plusieurs explosions dans le ciel de la capitale, provoquées par les missiles de la DCA syrienne. Quelques heures avant la frappe israélienne, trois chasseurs israéliens survolaient le ciel libanais, mais les missiles semblent avoir été tirés depuis le ciel de la Galilée, au nord de la Palestine occupée.
C’est la seconde fois en l’espace d’un mois que l’aéroport de Damas est pris pour cible de raids israéliens. Au cours de la dernière frappe datée du 25 décembre 2018, les avions israéliens se sont servis d’avions de ligne à l’aéroport de Beyrouth pour éviter les missiles S-300. En septembre, le régime sioniste a eu recours à la même méthode provoquant le crash d’un Il-20 russe avec 15 militaires à bord.