Je n’ai pas d’ordinateur et seulement un smartphone, que je laisse chez moi pour VIVRE, faire les courses et continuer à contempler les sourires, les visages, le ciel, les arbres, les enfants. Je me déplace à vélo dans ma ville et, dans les rues semi-piétonnes, m’arrête volontairement quand je suis dans la trajectoire d’un zombie les yeux rivés à son portable... Aliénation, chaînes consenties, perte du réel : je compense, comme pendant la comédie covidiote en chantant à tue-tête..’ J’assume ma libido, je vais draguer à vélo " ( air connu).
Marrant car, avant cet article, je me suis amusé, hier, à lister le nombre de mes concitoyens marchant le visage penché sur l’écran maléfique : déprimant, vraiment !!!

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"Quand il se penchait pour regarder l’ abîme, l’ abîme ainsi replongeait au fond de lui."

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Voilà quand la réalité est trop difficile et n’a plus de sens les gens s’enferment dans le virtuel pour finir des crétins à bétail.

Mais bon le réel c’est quoi ? Un humain complètement narcissique ou individuel avec le « je suis meilleur », ou alors un casos, un gauchiasse, un écolo-apocalypse, des religieux identitaires ou communautaires, des chèvres de la bien pensante ect….

Le réel a été atomisé de fléaux chaotiques antisociales politiques depuis plus de 50 ans.

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L’autre jour, Alain Soral engueulait à juste titre un commentateur qui estimait que c’était aux parents d’empêcher que les drag queens aillent faire la lecture à leurs enfants, puisqu’aussi bien en cas de résistance l’État leur retirerait l’autorité parentale.
Mais pour le portable, il n’en va pas de même (pour le moment !) et ce sont bien les parents qu’il faut engueuler lorsqu’ils mettent entre les mains de jeunes enfants l’instrument de leur aliénation. Les prétextes, on les connaît : pour la "sécurité" (l’enfant est joignable en cas de besoin), ou parce que si l’enfant n’a pas son portable, ses copains se moqueront de lui, etc.
Résultat, au restaurant, on voit des familles attablées avec de jeunes enfants plongés dans leurs jeux vidéo ou dans un dessin animé quelconque, ne participant à rien, pas même au repas sinon d’une fourchette distraite. Puis ces mêmes parents iront déplorer le manque de concentration de leur mioche dans son travail scolaire, son manque de goût pour la lecture, qui sait même, sa nervosité pré-épileptique...
Je n’ai pour ma part jamais équipé mes propres enfants de matériel électronique avant l’adolescence, et même à ce stade ce fut en leur apprenant à utiliser intelligemment ces outils qui peuvent (comme tous les outils) servir pour le pire ou pour le meilleur.
Et par parenthèse, le milieu scolaire où j’ai vu la meilleure attitude des adultes en la matière, c’était chez les "traditionalistes", tant côté parents, qui veillaient au grain, que côté prêtres, l’école interdisant tout bonnement d’apporter son "engin" avec soi, y compris pour les lycéens.

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Laisser un enfant avec un smartphone est une abdication des parents. A mon enfant je ne laisserai qu’un portable 2 g pour qu’il puisse m’appeler en cas de problèmes.
Ces gens, ces parents me rappellent qu’ils laissaient les enfants, il y a quelques années, devant la ’Télé’ pour qu’ils puissent être tranquilles.
Avec un smartphone ils vont pouvoir, ces enfants, aller voir du porno, des cinglés de toutes sortes et s’instruire seuls.
Sans les parents, le néo-libéralisme l’aurait dans l’œil !

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Tout le monde le sait que les écrans ont un effet délétère sur les enfants, mais on ne se rend pas forcément compte à quel point.

Michel Desmurget (chercheur français spécialisé en neurosciences cognitives) auteur de "tv lobotomie" :

Pour les spécialistes, tel Michel Desmurget, il n’y a plus de doute : la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l’attention, l’imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l’alcoolisme, la sexualité, l’image du corps, le comportement alimentaire, l’obésité et l’espérance de vie.

Résumé

Sophie, 2 ans, regarde la télé 1 heure par jour : cela double ses chances de présenter des troubles attentionnels. Kevin, 4 ans, regarde des programmes jeunesse violents : cela quadruple ses chances de présenter des troubles du comportement à l’école primaire. Lina, 15 ans, regarde des séries comme Desperate Housewives : cela triple ses chances de connaître une grossesse précoce non désirée. Entre 40 et 60 ans, Yves a regardé la télé 1 heure par jour : cela augmente d’un tiers ses chances de développer la maladie d’Alzheimer. Henri, 60 ans, regarde la télé 4 heures par jour. René, son jumeau, moitié moins. Henri a deux fois plus de chances de mourir d’un infarctus que René. Pour les spécialistes, il n’y a plus de doute, la télévision est un fléau. Son influence négative nous coûte en moyenne trois ans de vie.

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Certes, il y a des parents débiles qui prêtent leur portable à leurs enfants, pour les occuper. Ou pire, qui leur en achètent un. Mais il y a aussi l’école (obligatoire) ! Encore elle !

Régulièrement, mon fils manipule un ipad en classe, pour s’occuper, en attendant que ses camarades aient terminé leurs exercices. Le jeu consiste non pas à faire des exercices scolaires mais... à nourrir un animal virtuel ! C’est-à-dire qu’il joue à une espèce de Tamagotchi en classe pour passer le temps !
Parfois j’aimerais que l’argent ou l’électricité vienne à manquer et qu’il ne faille se contenter que de pupitres, de chaises et d’un tableau avec des craies.

Chez moi, il n’y a pas la télé. Mais chez d’autres, après l’ipad à l’école (et à la maison), il y a en plus la TV allumée... C’est la totale !

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Bienvenue à "Zombie Land"...
Les parents achètent des smartphones à leur enfants pour gagner un peu de paix à la maison.
Pour décrocher de son téléphone, le mieux reste de quitter pour de bon les réseaux sociaux (surtout Instagram et TikTok) et de limiter leur usage au strict nécessaire, en utilisant des extensions pour bloquer les fils d’actualités par exemple.

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voilà, ça, ça me gave ! Connard de parents ! désolé mais faut réfléchir un peu aux conséquences à un moment ! donner un smartphone à un enfant et avec ses potes ils se connecteront au wifi de chez l’un et encore si l’un a un forfait internet et bien ils auront accès à tous ce qu’ils veulent comme contenu.
Et après ces mêmes "connards" de parents (il n’y a pas d’autres adjectifs !) se plaindront près des associations "il faut faire quelque chose contre le harcèlement des réseaux" sauf que si ces abrutis savaient mieux éduquer leurs enfants déjà ça commencerait par l’éducation des parents pour comprendre que ce sont eux qui donnent les clés de la porte.

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On parle des enfants certes, mais quid de nous ? je suis le premier à reconnaître que ce fléau me touche également...
Pour moi c’est le principal problème du monde, sans ces choses je suis certains que la foi chrétienne serait toujours présente et les églises pleines.

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