Fô pas être aussi sévère.
Si on devait lui faire un reproche ce serait de ne pas avoir mis la formule au pluriel et d’avoir insuffisamment distingué : "la langue parlée en France" des " langues francophones parlées en France".
Evidemment, selon la formule employée, ce n’est pas la même idéologie.
La formule "les langues francophones" est subversive
La "langue parlée en France" est faussement subversive
En effet, dans la forme plurielle, "les langues francophones...", la République a dissous la France qui n’existe plus (il n’y a plus de langue française quoique francophone parce que la république est la fossoyeuse de la France).
Tandis que dans la forme au singulier ( la langue française parlée en France), soit la république est "dernière garante de la francité de la langue" (injustement attaquée par d’autres), soit par son universalisme elle en a été la première fossoyeuse par l’intention mais pas encore par le résultat.
En écoutant notre interlocuteur on peut connaitre son camp idéologique ( Français donc antirépublicain vs républicain donc antifrançais)
Leur vocabulaire et leur syntaxe ne sont pas les mêmes, quasi opposés :
Le Français va se défendre par le classicisme de son vocabulaire et de sa syntaxe utra française. (par exemple : "après que nous sommes partis" au lieu de "après que nous soyons partis" , ou "je suis allé" au lieu de "j’ai été")
Le républicain cosmopolite va se défendre par le noachisme de sa pensée donc de son vocabulaire et de sa (non) pensée : il ne va rien construire, il va répéter, et tout répéter en employant des anglicismes.
Le vrai totalitaire, c’est donc le républicain apatride (un pléonasme).
En effet, même lorsque le national est autoritaire, il n’est jamais totalitaire
Alors que le républicain surtout quand il se prétend tolérant, est un authentique totalitaire.
C’est pour cela que tous les francophones doivent bien écouter leurs compatriotes :
il y a ceux qui nous aiment, les patriotes
et ceux qui meditent notre extermination, les apatrides