@ fela kuti,
Voici pourquoi je vous demandais quelque étude universitaire sur le sujet :
En France il est 50 millions d’adultes : soyons sages et imaginons qu’il ne s’en trouve que la moitié en capacité de former un couple, ce qui nous offre une fourchette très basse, soit 25 millions.
45% des « mariages » finissant en divorce, selon votre théorème familial, cela nous fait 11 250 000 personnes : occultons les couples homosexuels dont les revendications sont récentes et divisons par 2 pour séparer les hommes, des femmes, puisque là aussi la F.M. n’est entrée en mixité qu’il y a peu. Soit 5 625 000 bonshommes... célibataires, divorcés, dépacsés, décapsulés, ce que vous voulez.
Or le GODF (maçonnerie sociétale) annonce 55 000 membres actifs environ. Actifs dans quels cuIs d’autrui, on ne le sait pas, mais cela ne fait que 1% de votre bazar...
À quelles tribus, sectes, gangs, associations (de malfaiteurs), assemblées et autres appartiennent donc vos disjonctés de la famille ancestrale qui se perd : soit les 5 570 000 bonshommes restants (si vous n’accusez pas, en plus, les femmes en responsabilité) ?
Passée la galéjade et votre agacement infondé, je vous invite à lire E. Todd afin de descendre de votre marronnier si vous souhaitez, pour le bien de la société, jouer les redresseurs de tort en bonne âme, science et conscience ; il explique assez bien ce « dérèglement » que d’aucuns appellent décadence en cherchant chez leurs voisins, (parfois chez la voisine - mariée -, je vous l’accorde) le poids de leur propre responsabilité.
Pour votre info., la troisième République était maçonnique à un point que vous ne vous imaginez guère, comparativement à notre siècle contemporain : pour autant si vous lisez quelques rituels accessibles sur le Net, vous constaterez que ceux qui en écrivaient la teneur (J-B A. Blatin 1841-1911 par exemple), étaient pour le moins patriarcaux avec un sens de la famille qui nous échappe désormais...
Par ici, dans cette région la plus méridionnale « de France » méditerranéenne où la famille - aux saveurs latines - est la plus encensée par les bons sens populaires d’ici et de là, se trouve être un particularisme que les notaires connaissent bien : détenir le record du plus grand nombre d’indivisions qui se soldent sur la longue durée et un coût exhorbitant, par un partage judiciaire, faute d’accords amiables.