ce n’est plus une cagnotte mais un pactole, ceci dit, le pathos s’atténuant, l’enquête judiciaire suit son cours, et révèle que :
ni nahel, ni florian M., le policier qui lui a tiré dessus, n’avaient de casier.
En revanche, l’un comme l’autre sont connus des services de police, nahel pour refus d’obtempérer, le policier pour exhibition sexuelle
(j’écris le prénom, mais j’aurai pu aussi écrire le mort et le vivant )
vérifiez l’info, même le parisien l’imprime
border line, ou pas border line ? est ce le fait ou l’interprétation de textes entourant un fait qui défini ce qui l’est ou ce qui ne l’est pas ?
je me montre donc je suis témoigne dans certaines circonstances de la présence d’un trouble narcissique socialement incongrue, ( zizi ou mercedes )
serions nous face à un le narcissisme primaire, c’est-à-dire l’investissement pulsionnel du sujet sur lui-même, sur cette image de lui à laquelle il s’identifie ?
En ce sens, la relation intersubjective ( ce qui se produit entre deux sujets humains ) est d’abord une relation imaginaire et duelle, où le moi est constitué comme un autre et autrui comme alter ego
c’est bien à cela que nous avons à faire, oui, non ?
Mais fondamentalement ce moi, ou cette image qu’est le moi, est ‘extérieur’ au sujet et ne peut donc avoir la prétention de le représenter complètement à lui-même
De là va procéder le narcissisme secondaire comme corollaire de
cette opération, par où le sujet commence à investir des objets extérieurs à lui,
objet différent et distinct de lui et à la fois un objet qui le représente ...( mercedes d’un coté, pétard de l’autre ) puisque c’est son propre moi, un objet qui est l’image pour ‘laquelle il se prend’, avec tout ce que ce processus comporte de leurre, d’aveuglement et d’aliénation
résumé : sans mercedes, nahel .... brave type, sans pétard, florian ... brave type
vous comprenez la difficulté de juger l’affaire, sans l’appuie des béquilles sociétales, l’une utilisant le registre victimaire, l’autre sécuritaire ?
me revient en mémoire le bon larron et le mauvais larron, " va, je te pardonne, car je sais par ou tu es passé pour en arriver là ou tu es " ( NSJC), reste a savoir ce qui va animer celui qui actuellement entre quatre murs touchant du doigt sa misère, je ne pense pas que l’argent puisse le conduire sur un bon chemin
voila c’est un peu long mais ici nous ne sommes pas sur twitter
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