La presse française (ici l’AFP, mère de toutes les désinformations), pro-ukrainienne à 99 %, reconnaît désormais à demi-mot que la situation des vassaux de l’OTAN est « très tendue ».
Et quand l’armée russe reprend l’initiative, c’est forcément « péniblement » (ici Le Monde, la « Pravda » française) :
Quant aux « confidences du conseiller militaire ukrainien au Financial Times », comprendre que c’est l’état-major de l’OTAN qui commande les forces ukrainiennes, ou plutôt, la chair à canon ukrainienne.
C’est désormais un secret de polichinelle. La Russie prépare activement une offensive majeure dans le sud et l’est de l’Ukraine, afin de prendre d’ici mars le contrôle complet des régions de Louhansk et Donetsk, qu’elle prétend avoir annexées mais qui lui échappent en grande partie.
Les autorités et renseignements ukrainiens en sont en tout cas persuadés. Dans un article mis en ligne ce lundi citant un conseiller attaché à l’armée ukrainienne, le Financial Times précise la date de ce coup de force imminent et les lieux où il se produirait.
Ce conseiller attaché à l’armée ukrainienne indique ainsi que les troupes russes déclencheront leur offensive dans les dix jours, fondant sa conviction « sur des renseignements très solides ». Quant au cadre de cette nouvelle agression, le consultant prévoit une attaque dans l’ouest de la province de Louhansk, entre les villes de Lyman – déjà théâtre de durs combats à l’automne – et de Kreminna.
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Les forces auxquelles les Ukrainiens devront faire face demeurent incertaines. Kyrylo Budanov, qui dirigeait jusqu’à présent les renseignements ukrainiens mais doit remplacer Oleksiy Reznikov à la tête du ministère de la Défense, a toutefois estimé que la Russie disposait au total de 326.000 combattants sur le front, dont une moitié ont reçu une formation de plusieurs mois.
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Il s’agit surtout de prendre de vitesse les Ukrainiens et leurs alliés occidentaux avant que les chars et les armements en provenance de la communauté internationale ne parviennent sur le champ de bataille. Enfin, selon une observation du think tank américain Institute for the Study of War, il faut accélérer les opérations avant les pluies du mois d’avril.
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